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Michèle Alliot-Marie conteste la validité des tracés de la LGV SEA

Mis à jour le 23 mai 2017

La députée UMP des Pyrénées-Atlantiques conteste la procédure de validation de deux tracés de la LGV Bordeaux – Toulouse et Bordeaux – Espagne via Hendaye. Michèle Alliot-Marie assure que la validation des tracés annoncée le 6 avril par RFF s’est faite sans l’aval du Premier ministre, avec des hauts fonctionnaires de Matignon et du ministère des Transports. L’ancienne ministre a d’ailleurs décrit François Fillon et Thierry Mariani comme « tombant des nues » lorsqu’elle leur avait parlé de la décision du 6 avril. Le Premier ministre a immédiatement rétorqué dans un communiqué que cette validation « a été prise en toute transparence » et « en plein accord avec le gouvernement ». Mais l’ex-ministre des Affaires étrangères persiste et signe : dans un courriel au quotidien Sud-Ouest rapporté par l’AFP, elle dit « comprendre que le Premier ministre se trouve dans une situation délicate par rapport à son cabinet » avec cette affaire. « Cependant, si François Fillon considère qu’il est normal que son directeur de cabinet contredise ses engagements et qu’un fonctionnaire prenne position sur un dossier important sans en avertir son ministre, c’est que lui et moi n’avons pas la même lecture des institutions républicaines […] ! Moi, je m’en tiens à une lecture gaulliste, en accord avec Nicolas Sarkozy, pour qui la technostructure ne doit jamais l’emporter sur les politiques. »     

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