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Les opposants aux LGV dénoncent le « gouffre financier » des projets en cours

16 Avr 2014

Mis à jour le 23 mai 2017

Deux collectifs opposés aux projets de lignes à grande vitesse (LGV)  dans le sud de la France ont dénoncé mi-avril  le "gouffre financier" des projets en cours, poussés selon eux par les "lobbys" du BTP et la "vanité" des élus.
Selon les calculs du collectif basque CADE et de la Coordination des opposants au Lyon-Turin, les LGV en prévision ne sont pas rentables, avec des coûts "systématiquement sous-estimés" et des fréquentations surestimées.
Le lancement des lignes du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO), qui comprend les lignes Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, a été confirmé par le gouvernement à l'automne dernier. La préfecture d'Aquitaine avait annoncé l'ouverture des enquêtes publiques pour juin 2014.
L'accord franco-italien validant la ligne Lyon-Turin, lancée en 2001 mais qui a pris du retard, a lui été approuvé par le Parlement français en novembre.
Les lignes du GPSO coûtent 56% plus cher que la LGV Méditerranée, pour un trafic moindre, selon les opposants, qui se basent sur les Lois d'orientation des transports et infrastructures (LOTI) et les données de Réseaux Ferrés de France (RFF). La ligne Bordeaux-Espagne coûterait 32 millions d'euros au kilomètre, un record, avec un nombre de passagers au kilomètre de 26.428, soit "le plus bas jamais atteint".

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