fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Trois scénarios pour enrayer le déclin du TGV

23 Juil 2014

Mis à jour le 23 mai 2017

La direction de la SNCF a présenté trois scénarios sur dix ans pour enrayer la baisse de rentabilité du TGV, le 21 juillet en conseil d'administration, rapporte le quotidien économique Les Echos à paraître du 24 juillet.
 "Le premier, assez irréaliste, imagine un repli du TGV sur une quarantaine de gares seulement. Le deuxième propose à l'inverse un développement tous azimuts de l'offre et une baisse des tarifs, mais accuse un déficit de financement de 400 millions par an", détaille Les Echos.
"Le troisième scénario, le plus probable, est dans la lignée des efforts réalisés aujourd'hui pour gagner en productivité, mais il ne permettrait toujours pas à la SNCF de financer le renouvellement, inéluctable à terme, du parc de rames TGV", ajoute le quotidien.
 Il souligne qu'avec cet exercice, la SNCF veut surtout "montrer que la situation actuelle, qui voit le TGV utiliser 40% de ses recettes commerciales pour financer le reste du système ferroviaire, n'est plus soutenable".
Sur l'exercice 2013, la SNCF avait dû passer 1,4 milliard d'euros de dépréciation de son parc de rames TGV, ce qui avait fait plonger le groupe dans le rouge: il avait accusé une perte nette de 180 millions d'euros, contre un bénéfice de 376 millions d'euros en 2012.

sur le même thème

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat