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A quand les gares routières ?

03 Oct 2016

Gare , Infrastructure , Intermodalité , Interurbain

Dossiers > A quand les gares routières ?

L’explosion du trafic acheminé par les cars Macron rend de plus en plus criant le manque d’infrastructures pour accueillir les voyageurs. Pourtant, le système D pallie les insuffisances et peu à peu des règles sont en train de se mettre en place. Sous la houlette de l’Arafer, l’autorité de régulation du secteur.
Pas de banc, pas de toilettes, parfois même pas de panneaux qui indiquent qu’on se trouve dans une gare routière… Quand ils prennent un car pour se déplacer, les voyageurs n’ont pas toujours droit au strict minimum que devrait leur offrir toute gare digne de ce nom. Et cela alors même que le transport longue distance par autocar explose. En onze mois, les autocars Macron ont transporté 3,4 millions de personnes, selon le dernier bilan établi mi-septembre par l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer). De trimestre en trimestre, le trafic fait des bonds de 40 %, parfois presque de 50 %. « Le territoire est de plus en plus maillé : selon le dernier bilan de notre Observatoire portant sur l’activité du marché au deuxième trimestre 2016, le nombre de villes desservies par des autocars Macron a progressé de près de 30 %, soit près de 200 villes à fin juin 2016. Le marché est naissant mais l’offre se multiplie avec un millier de liaisons régulières selon notre dernier recensement, de sorte qu’il est difficile de dire si elle est limitée par l’absence de gares routières, à ce stade des connaissances sur ces infrastructures », commente Anne Yvrande-Billon, la vice-présidente de l’Arafer.
« Dans certains points d’arrêts, il n’y a même pas de totem servant de repère à nos clients, avec ne ...

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