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2016, mauvais cru pour la ponctualité des trains

06 Avr 2017

Mis à jour le 23 mai 2017

Selon l’autorité de la qualité de service dans les transports, qui a publié le 30 mars son rapport annuel sur la qualité de service lors du Haut comité de la qualité de service dans les transports (HCQST), la ponctualité des trains ne s’est pas améliorée en 2016. « Le secteur a connu de fortes intempéries ainsi qu’un mouvement social national en juin 2016. Par ailleurs, les mesures de sûreté nécessaires dans le contexte actuel peuvent aussi contribuer à ces résultats », explique en préambule l’autorité. Ainsi les retards des TGV enregistrent-ils une forte hausse, passant de 0,8 % à 11,5 %, en raison principalement de causes externes au transport et des problèmes d’infrastructures, « toutes les deux représentant 29 % » qui expliquent les principaux retards.

Du côté des Intercités, 14, 6 % des trains étaient en retard, contre 12,2 % en 2015. L’AQST souligne les raisons liées à la gestion du trafic (35 %), celles dites externes (23 %) et celles dites infrastructures (18 %). Les taux de retards croissent aussi pour les TER, passant en moyenne de 9 % à 9,8 %, mais avec de fortes disparités selon les régions, allant de 5,1 % dans le Grand Est à 15,1 % en Paca. Enfin, les RER et Transilien affichent également des taux de ponctualité contrastés. Les lignes RER affichent toutes des baisses, en particulier les lignes A et D, notamment en raison de leur fort trafic. Côté Transilien, ce sont les lignes N (Montparnasse), P (Paris-Est) et R (Paris Sud-Est) qui sont les plus dégradées. Tandis que les lignes L (Saint-Lazare) et K (Paris Nord) s’améliorent grâce à une restructuration des horaires pour la première, de nouveaux trains pour la seconde.

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