fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble

03 Jan 2017

Automobile , Diesel , Ecomobilité , Politique des Transports , Pollution

Dossiers > Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble

Paris et Grenoble sont les premières à mettre en place une zone à circulation restreinte. Progressivement, les véhicules les plus polluants seront bannis de leur territoire. Un dispositif permis par la loi sur la transition énergétique qui vise principalement à accélérer le renouvellement du parc de transport français.

Enfin, des villes se lancent ! Paris et Grenoble passent au cap en matière de lutte contre la pollution, en mettant en place, les premières, une zone à circulation restreinte (ZCR). Paris l’a fait en juillet 2015, Grenoble en novembre 2016. Sous couvert, jusqu’à présent, d’une action pédagogique.

Ce mois-ci marque une étape supplémentaire : il devient obligatoire pour les automobilistes qui veulent circuler dans ces villes, de montrer patte blanche en arborant sur leur pare-brise l’une des fameuses pastilles Crit’Air. Soit six pastilles dont la couleur change en fonction de la motorisation et de l’entrée en circulation du véhicule. Et qui ont été créées par la loi sur la transition énergétique. Ces pastilles doivent permettre à Paris et à Grenoble d’interdire les véhicules les plus polluants, soit lors de pics de pollution, soit progressivement dans le temps en fonction de leur date d’immatriculation. 20 autres collectivités, qui ont répondu à l’appel à projets « Villes respirables en cinq ans », du ministère de l’Ecologie, devraient prendre des mesures similaires à l’avenir (voir ci-dessous).

Alors qu’il était initialement prévu que ces pastilles soient achetées sur la base du volontariat, Ségolène Royal est finalement revenue sur ce principe en annonçant le 3 décembre que « les élus et les préfets pourront les rendre obligatoires dans les zones couvertes par un plan de ...

Il vous reste 71% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble dans le magazine VR&T n°595

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique