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L’insolente santé d’Alstom

05 Juin 2017

Alstom , Résultat

Dossiers > L’insolente santé d’Alstom

Henri Poupart-Lafarge est serein. On le dit d’ailleurs d’un tempérament optimiste. Mais, indiscutablement, les résultats d’Alstom sont bons. Les premiers résultats d’Alstom pur et dur ferroviaire. Le chiffre d’affaires du groupe atteint les 7,3 milliards d’euros, en hausse de 40 % en cinq ans par rapport à l’activité Transport de l’ancien groupe. Dans le même temps, la profitabilité a quasiment doublé. Et le groupe va recommencer à verser des dividendes. Pour Henri Poupart-Lafarge, c’est le résultat d’une stratégie adoptée il y a cinq ans. La sienne. Il a pris la présidence d’Alstom Transport en juillet 2011, avant de devenir en février 2016 PDG du groupe, après la cession de Power à GE. Une stratégie qui a consisté à se rapprocher des clients, à élargir les prestations autour du ferroviaire pour proposer systèmes, signalisation, services, jusqu’à des systèmes complets, clés en main, qui intéressent les pays neufs dans le transport public. Cette stratégie d’élargissement a connu un nouveau développement, présenté à la Cité du Cinéma quelques jours avant la publication des résultats.

Pour l’exercice 2016-2017, les prises de commande ont atteint dix milliards d’euros. Comme en 2015-2016. Comme en 2014-2015. Les prises de commande, c’est un indicateur qu’Henri Poupart-Lafarge regarde avec plus d’attention encore que le carnet de commandes, qui s’élève tout de même à 34,8 milliards. Ces dix milliards, rapportés au chiffre d’affaires, offrent un bon ratio de 1,4. Il ne s’agit pas d’en faire un chiffre magique, ni même un objectif, mais c’est un bon indicateur. Il témoigne ...

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Retrouvez le dossier L’insolente santé d’Alstom dans le magazine VR&T n°600

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