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Alstom parie sur l’Asie centrale

03 Oct 2017

Dossiers > Alstom parie sur l’Asie centrale

Depuis son siège régional d’Astana, au Kazakhstan, le groupe français vise l’Asie Centrale et le Caucase. Malgré les déboires des cours du pétrole, les ressources du Kazakhstan sont considérables. Et le grand projet chinois de Routes de la soie pourrait conforter les ambitions d’un pays qui, pris entre deux ogres, ne veut pas se contenter de jouer les Petits Poucets.

Le cours du pétrole s’est effondré, la monnaie avec. Dévalué deux fois, en 2014 et 2015, le tenge a perdu la moitié de sa valeur. Comme le rouble. Les hydrocarbures ne sont pas seuls en cause. Les sanctions frappant la Russie après l’annexion de la Crimée ont entraîné le Kazakhstan dont l’économie reste étroitement liée à celle de l’ancienne république sœur. Les années 2015 et 2016 ont été très dures, et bien des projets arrêtés. Au Kazakhstan tout comme en Russie, Alstom a fait le gros dos, poursuivi la réalisation des commandes déjà passées en attendant la reprise, qui, pense-t-on, ne peut que venir. Aujourd’hui, on parle de stabilisation. Et certains projets redémarrent.

Reprise ? Les besoins sont énormes. Certes, le Kazakhstan n’est pas la Russie, mais le pays, qui s’étend de la mer Caspienne à la frontière chinoise, est tout de même le neuvième au monde en superficie, juste derrière l’Inde et l’Argentine. Près de 15 000 km de voies ferrées, dont un tiers sont électrifiées, en font un pays à ne pas négliger. Cinq fois vaste comme la France, il est aussi trois fois et demie moins peuplé. Les deux ...

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Retrouvez le dossier Alstom parie sur l’Asie centrale dans le magazine VR&T n°604

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