fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Grande vitesse : Alstom, la stratégie non articulée

10 Juin 2010

Alstom , Grande vitesse

Mis à jour le 23 mai 2017

Ceci n’est pas un TGV. Ceci n’est – surtout pas – un AGV. Ceci est la nouvelle plateforme de train grande vitesse lancée tellement hâtivement par Alstom qu’il n’a pas pris le temps de lui trouver… un nom. Ce nouveau train présenté par le constructeur français sur l’appel d’offres des chemins de fer italiens (FS) qui veulent 50 trains à très grande vitesse a surpris son monde, y compris chez le constructeur français, dont certains cadres ignoraient l’invention. « C’est un nouveau train, bien sûr. Mais nous avons pioché dans notre banque d’organes pour trouver de quoi répondre au cahier des charges », a confié le président d’Alstom Transport, Philippe Mellier, au magazine Challenge. 400 km/h, 600 personnes assises dans un train de 200 m, un Meccano entre AGV et Pendolino. Et, surtout, la première rame non articulée à très grande vitesse d’Alstom. Selon les observateurs, à court terme, cette stratégie est une sorte de coup de poker pour s’imposer auprès de l’opérateur italien, qui ne voit pas le constructeur français – fournisseur de son concurrent NTV – d’un très bon œil. Ce n’est pas un hasard si les Italiens ont spécifié dans leur cahier des charges qu’ils voulaient une architecture conventionnelle. « Non articulé », cela veut dire « pas Alstom », traduit un observateur qui voit mal le constructeur français l’emporter face à Bombardier.

sur le même thème

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat