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Guillaume Pepy « intuitivement » favorable à l’open access pour les TGV

Mis à jour le 30 juin 2017

Lors du colloque organisé aujourd’hui par l’Arafer sur l’ouverture à la concurrence dans le transport ferroviaire, Guillaume Pepy a réagi aux suggestions des sénateurs Hervé Maurey et Louis Nègre qui préparent une proposition de loi sur la libéralisation du secteur et se disent opposés à l’open access pour les TGV. Selon eux, un système de franchises serait une piste intéressante et permettrait d’éviter que les opérateurs ne desservent que les lignes rentables en désertant les autres.

Selon le PDG de SNCF Mobilités, c’est un sujet extrêmement compliqué et la France connaît une situation très spécifique. Actuellement dans notre pays, rappelle Guillaume Pepy, un TGV roule les deux tiers de son temps sur lignes classiques. Et on compte 187 gares TGV. «  En réalité, ce n’est pas un système TGV mais un système hybride de lignes à grande vitesse et de lignes classiques. Avec d’un côté les lignes qui gagnent de l’argent (un tiers) et de l’autre les lignes qui en perdent (les deux tiers)  », commente-t-il.

Si l’on veut accroître le trafic, diversifier les choix possibles pour les voyageurs et abaisser les coûts, alors, «  intuitivement  », ajoute le patron de la SNCF, « je pense que le système de l’open access est meilleur… mais ce n’est qu’une intuition ! » D’où son appel à un travail poussé des économistes sur le sujet pour évaluer chacun des modèles.

M.-H. P.

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