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Et l’on reparle d’un rapprochement Alstom – Siemens…

15 Sep 2017

Alstom , Bombardier , Siemens

Gare de l'Est - Paris ICE et TGV

© Pascal Riffaud - Photorail

Mis à jour le 25 septembre 2017

Dans le feuilleton de la consolidation ferroviaire européenne, on en était resté, au début du mois d’août, aux réunions de conseils d’administration de Bombardier et de Siemens que l’on annonçait décisives… et qui ne l’ont pas été. L’hypothèse d’un rapprochement n’est pas enterrée, mais celle d’un accord Alstom – Siemens refait parler d’elle. D’autant qu’à la fin octobre l’actionnariat d’Alstom va évoluer. L’Etat a, rappelons-le, conditionné en 2014 son approbation de l’alliance entre General Electric et Alstom à un accord lui garantissant les « droits de gouvernance » nécessaires pour « garantir l’intérêt de long terme d’Alstom ». L’accord a consisté à donner des droits de vote à l’Etat, par le biais d’un prêt que lui a fait Bouygues de 20 % des actions du groupe. Ce qui fait de l’Etat le premier actionnaire d’Alstom, Bouygues étant le second avec les 8,3 % dont il continue à disposer totalement. Ce bail vient à échéance fin octobre. Trois solutions se présentent. L’Etat peut acheter (à 35 euros l’action), mais il cherche plutôt à céder ses participations, afin d’alimenter un fonds de soutien à l’innovation de dix milliards d’euros. Bouygues peut récupérer ses actions et redevenir actionnaire de référence. Mais Bouygues peut aussi céder ses actions à un acquéreur. Ce sera sans doute sous le regard vigilant de l’Etat. Après s’être donné les moyens de veiller à l’intérêt à long terme d’Alstom, il ne va pas s’en désintéresser du jour au lendemain. Mais quel acquéreur ? Emmanuel Macron veut renforcer les liens avec l’Allemagne, le premier ministre, Edouard Philippe, se dit germanophile, le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, est germanophile et phone à la fois… et la rumeur Siemens repart de plus belle. On ne sait pas quel en sera le résultat mais tout montre que, dans le contexte de montée en force de la concurrence asiatique, les groupes occidentaux ne peuvent pas rester en l’état. Comme le disait en juin Guillaume Pepy à Berlin, selon Les Echos : « S’il doit y avoir un rapprochement entre Siemens et Bombardier, entre Bombardier et Alstom, ou entre Alstom et Siemens, nous y serons favorables parce que nous pensons qu’il faut un industriel européen qui ait une taille suffisante pour faire face aux concurrents chinois, coréen, et demain indien. »

...

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