fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Rotterdam expérimente le péage positif

06 Avr 2015

Rotterdam , Pays-Bas

Mis à jour le 23 mai 2017

L’idée devrait plaire à Ségolène Royal, la ministre de l’Ecologie, qui déteste « l’écologie punitive ». BNV Mobility, filiale d’Egis, fait aux Pays-Bas, dans la région de Rotterdam, l’expérimentation auprès de 10 000 automobilistes volontaires du péage positif, dit aussi incitatif, ou encore péage à l’envers. Principe : l’automobiliste reçoit de l’argent au lieu d’en verser. A condition, on s’en doute, d’adopter des comportements jugés vertueux. Par exemple de prendre certains jours sa voiture aux heures creuses plutôt qu’aux heures pleines (trois euros de bonus par trajet décalé), ou, mieux encore, de prendre les transports en commun (cinq euros de bonus). Le dispositif repose pour l’essentiel sur des portiques et des caméras déjà installés pour la régulation du trafic, que complètent des caméras supplémentaires. L’idée est née du refus des Néerlandais d’acquitter un péage urbain. On peut juger que la société s’y retrouve, avec moins d’émission de CO2, et une optimisation de l’infrastructure routière dont l’usage est lissé dans le temps. Mais pour que le bilan soit plus directement rentable, ou coûte moins à la collectivité, l’idée est venue d’associer au dispositif un bouquet de services. Une idée à suivre en France, pour une utilisation positive et non « punitive » des portiques d’Ecomouv’ ?

...

L'accès à la totalité de l'article ( 202 mots) est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Vous avez déjà un compte ?

Connectez-vous

S’abonner à

Ville, Rail & Transports

ou

Acheter à la carte

Porte-monnaie électronique
à partir de 20 €

Je découvre les offres

sur le même thème

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat