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Grand Paris : une étude réévalue à la hausse le trafic de la ligne 18

Perspective de la gare CEA Saint-Aubin (juillet 2017)

© Société du Grand Paris / Atelier Novembre

Un problème informatique a entravé l’envoi de notre Lettre confidentielle. Nous prions nos lecteurs de bien vouloir nous en excuser. Les informations de la Lettre sont publiées sur le site (voir aussi les liens en dessous de l’article sur la ligne 18).

 

Et si l’on avait sous-estimé le trafic de la future ligne 18 ? Guy Bourgeois en est certain. Et, pour lui, les 150 000 voyageurs par jour que la SGP a retenu à l’horizon 2030 pour la ligne dans son ensemble, d’aéroport d’Orly à Versailles-Chantier, sont une « hypothèse basse ». Pourquoi cette réévaluation ? Selon l’ancien directeur de la Stratégie de la RATP, et ancien directeur général de l’Inrets, les modèles utilisés par Ile-de-France Mobilités (Antonin) et par la RATP (Global) sont « sans nul doute, ce qui se fait de mieux pour la partie centrale, dense et homogène du territoire francilien ». Mais ils ne sont pas adaptés « aux territoires hétérogènes des périphéries urbaines ». Guy Bourgeois considère de plus, nous dit-il, que « les modèles actuels ne savent pas prendre en compte les nouveaux services de mobilité, et notamment ceux que les véhicules autonomes partagés vont pouvoir offrir ». C’est à l’occasion d’une étude faite pour Saint-Quentin en Yvelines, sur la desserte des gares et end dimensions des parkings relais, que Guy Bourgeois a eu l’idée de généraliser son propos. Et, même si ce n’était pas la vocation première de son étude, le modèle qu’il a développé, Optirel, lui, a permis d’évaluer le trafic potentiel de la ligne 18. Or nous dit-il, « je me suis alors aperçu que les prévisions officielles étaient très sous-évaluées ». Guy Bourgeois, qui nous a donné en avant-première les résultats de son étude, s’appuiera sur cet exemple pour la communication qu’il s’apprête à faire au prochain congrès d’Atec-ITS en janvier 2018.
Les « serpents de charge » prévus selon Global et selon Antonin, remarque-t-il, « diffèrent très sensiblement ». Dans les deux cas, les prévisions sont établies à l’horizon 2030, date prévue pour l’ouverture complète de la ligne jusqu’à Versailles, en évaluant le trafic à l’heure de pointe du matin (HPM), tous motifs de déplacement confondus. Mais, s’ils diffèrent, les deux « modèles arrivent à la même conclusion : la ligne sera utile sur sa partie Est, beaucoup moins sur sa partie Ouest ». Guy Bourgeois arrivent à des conclusions différentes. Notamment parce qu’il juge que la station Guyancourt de la ligne sera la plus chargée. Résultat : « Le chiffre prévisionnel de 150 000 voyageurs par jour retenu par la SGP, qui a fortement réévalué la prévision initiale du Stif de 105 000 voyageurs par jour, apparaît comme une hypothèse basse. »
Un résultat qu’il a communiqué à Jean-Claude Prager, directeur des Etudes économiques de la Société du Grand Paris, ravi de l’aubaine. A la SGP, on remarque d’ailleurs que les modèles ont tendance à sous-estimer les demandes de trafic induites par les offres nouvelles. Et de prendre pour exemple le T2 dont le trafic a explosé.
Les résultats de l’étude seront examinés à la loupe par les parties prenantes. Dont les trois nouveaux députés du territoire, Amélie de Montchalin, Cédric Villani et Jean-Noël Barrot. En coordination avec les maires et les associations qui ont déposé des recours en Conseil d’Etat contre la déclaration d’utilité publique de la ligne 18 du Grand Paris Express, ils organisent, le samedi 18 novembre sur le plateau de Saclay, un débat d’experts sur le projet. En se fondant sur les nouvelles orientations gouvernementales en matière de transports : la priorité accordée à la rénovation du réseau existant et aux transports « du quotidien » ; la « pause » sur des projets de nouvelles lignes ; et la volonté d’abandonner les promesses non financées. Franchement pas sur la même ligne que la SGP.

...

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