« La technologie doit être au service d’une stratégie politique »
Isabelle Baraud-Serfaty, fondatrice d’Ibicity, agence de conseil en économie urbaine, et enseignante à Sciences Po, explique pourquoi elle prend ses distances avec la notion de ville intelligente, terme technique, selon elle. Avec la montée en puissance des plateformes numériques et la diffusion des smartphones, le pouvoir revient aux acteurs intermédiaires, estime-t-elle.Ville, Rail & Transports. Vous considérez que la notion de smart city est un peu dépassée. Pourquoi ?Isabelle Baraud-Serfaty.
Ce terme est apparu en 2010 quand IBM a lancé son programme Smarter cities. Cette période a marqué l’entrée en lice d’acteurs du numérique dans les villes. C’est un terme qui évoque une approche techno-solutionniste. Autrement dit, on pense que la technologie va forcémen
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