fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Enedis et RATP partenaires pour l’électromobilité

Mis à jour le 20 mars 2018

L’Ile-de-France va « à marche forcée », comme dit Valérie Pécresse, vers un parc 100 % bus propres. A la RATP, le cap est toujours mis sur 2025. Préalable à l’arrivée massive des bus, la transformation des dépôts. Catherine Guillouard, PDG de la RATP, et Philippe Monloubou, président du directoire d’Enedis, ont signé ce mercredi 14 mars, avec Valérie Pécresse et Christophe Najdovski, un partenariat d’une durée de deux ans liant les deux entreprises. Le document a été signé au centre Belliard de la RATP où sont entretenus – parmi d’autres – les 23 Bluebus Bolloré desservant depuis un an la ligne 341. Bus « plébiscités », dit Catherine Guillouard par les passagers et par les conducteurs.

Le partenariat concerne la mutation de 17 des 25 dépôts franciliens de la RATP, pour qu’ils puissent accueillir 100 % de bus électriques. Il s’agit des dépôts situés en zone dense, les huit autres, plus périphériques, étant réservés à des bus au biogaz, ce qui nécessite aussi d’importants travaux. Chacun des dépôts à équiper pour les bus électriques devra disposer d’une puissance d’environ 10 MW, pour une moyenne de près de 200 bus par centre. Modèle de référence, fixé depuis le début, la recharge de nuit. L’idée, insistent Catherine Guillouard et Philippe Monloubou, ne consiste pas seulement à tirer des câbles, mais à partager et développer un vrai savoir-faire de l’électromobilité : partenariat industriel et intellectuel.

Le coût de l’adaptation, grosso modo et en moyenne, devrait avoisiner les 20 millions d’euros par centre. Un peu moins élevé pour les dépôts réservés aux bus au gaz. La RATP assume le financement de cette mutation, dans l’enveloppe du contrat avec Ile-de-France Mobilités. Comme il faut aller vite, Catherine Guillouard et Valérie Pécresse ont demandé à Nicolas Hulot un coup de pouce pour que les procédures liées à la sécurité soient accélérées. Accord de principe du ministre de la Transition écologique et solidaire.

Pour le matériel, le grand appel d’offres, lancé en début d’année, peut aller jusqu’à 400 millions d’euros et environ 1 000 bus. Sans donner de noms, on assure que de nombreux constructeurs ont retiré les dossiers en février. C’est à l’été que les offres devraient être remises pour une signature « l’an prochain », a dit Valérie Pécresse. En attendant les résultats du plus grand appel d’offres de ce type en Europe un autre, plus modeste, portant sur 80 bus électriques, doit incessamment être notifié par le Stif et la RATP. Marché partagé en deux : Heuliez et Bolloré l’ont emporté. Enfin, les touristes empruntant les bus à impériale Open Tour devraient eux aussi bénéficier de l’électromobilité. « On s’y prépare », dit Catherine Guillouard.

F. D.

Photo : Philippe Monloubou, Valérie Pécresse, Catherine Guillouard, Christophe Najdovski.

sur le même thème

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat