fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

La start-up Ubitransport lève 45 millions d’euros

  • ubitransport

    Une tablette fixée sur un pupitre près du poste de conduite permet de vendre et de valider les billets. Et d’envoyer ces données à l'opérateur ou la collectivité locale.

    © Ubitransport

  • equipe-ubitransport

    L'équipe d'Ubitransport.

    © Into the jungle

  • Jean-Paul-Medioni

    Jean-Paul Medioni, fondateur d'Ubitransport

    © Into the jungle

C’est sa première levée de fonds depuis sa création il y a sept ans : Ubitransport, spécialisée dans les systèmes de transport intelligents numériques, lève 45 millions d’euros avec l’entrée au capital d’Essling Expansion et la constitution d’un pool bancaire autour du Crédit Agricole.

La start-up mâconnaise a développé une solution billettique, de géolocalisation, d’information voyageurs et d’aide à l’exploitation des réseaux de transport basée sur la technologie du smartphone et du Cloud, « serveur dans les nuages », résume son fondateur, Jean-Paul Medioni. Avec « 2School » (transport scolaire), « 2Place » (urbain, interurbain) et depuis peu « 2Tad » (transport à la demande), les conducteurs sont équipés d’un smartphone ou d’une tablette fixés sur un pupitre près du poste de conduite permettant de vendre et de valider les billets. Et d’envoyer ces données aux opérateurs de transport (52% des clients d’Ubitransport) ou aux collectivités locales (48% des clients).

Deux millions d’euros pour les cars scolaires du Centre-Val de Loire

« Nous traitons en temps réel de nombreuses données que nous transmettons aux autorités organisatrices de transport ou opérateurs pour ajuster l’offre de transport : réorganiser les horaires de passage, optimiser les circuits ou le taux de remplissage d’un véhicule, explique Jean-Paul Medioni. Un outil peu coûteux pour les villes de taille moyenne, les réseaux périurbains ou ruraux, la desserte des zones peu denses », assure le fondateur de la start-up. Le transport scolaire de Saône-et-Loire a été son premier client, et c’est par le transport scolaire qu’après avoir convaincu 120 réseaux de transport, l’entreprise a gagné sa première région, le Centre-Val de Loire pour la rentrée 2018. Un investissement de deux millions d’euros. « Cinq à sept autres régions sont en ligne de mire », indique le porte-parole.

Aujourd’hui, Ubitransport escompte une plus forte visibilité grâce au récent référencement de ses outils dans le catalogue de la Centrale d’achat du transport public. La start-up compte 50 collaborateurs et a réalisé 10 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018, contre 50 000 euros en 2013. « Cette levée de fonds est un levier de transformation, nous voulons réaliser des acquisitions d’entreprises étrangères pour accélérer à l’international , en Amérique du Nord et en Europe notamment », indique Jean-Paul Medioni.

N. A.

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat