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Grasse a dû revoir la copie de son funiculaire

Mis à jour le 23 mai 2017

Un funiculaire va relier la gare excentrée au centre-ville à la mi-2013. Un premier projet avait échoué en raison de contraintes géologiques Plus touristique qu’un funiculaire, un téléphérique qui avait la préférence des Grassois a été jugé trop difficile à intégrer dans la « capitale » du parfum. Fin 2008, à l’issue de la première concertation préalable pour son projet de TCSP, le syndicat mixte des transports Sillages a donc opté pour un « funi » afin de relier sa gare excentrée au centre-ville. 110 m de dénivelé et une distance de 570 m. Mais malgré la relative « simplicité » d’un tel projet, prônée par les défenseurs du transport par câble, comme dans tout bon projet de TCSP, il y a des aléas. Ainsi, le projet présenté il y a un an et qui a reçu une aide de l’Etat de 5,5 millions d’euros dans le cadre de l’appel à projets du Grenelle de l’environnement a-t-il déjà évolué. Il comprenait une section de 350 m en tunnel. Or les sondages du sous-sol ont mis en évidence la présence de nappes d’eau, des contraintes entraînant des conséquences importantes sur le planning et les coûts.
Un nouveau projet au sol avec viaduc a donc été soumis à la concertation en janvier et février derniers. Il serait moins coûteux (40 millions d’euros au lieu de 53) et apparaît selon Sillages comme « la seule solution viable pour le projet », qui comprend toujours deux stations intermédiaires. Circulant sur voie unique, le funiculaire envisagé aura une capacité de 60 personnes et circulera toutes les 4 à 5 minutes de 6h à 23h, soit un débit maximal de 900 personnes par heure et par sens. La montée devra prendre de 4 à 5 minutes. Egalement aidé par l’Etat à hauteur de 900 000 euros parce qu’il permet de créer un pôle d’échanges avec les bus près de la gare, le projet est qualifié d’« irrévocable » par le président du syndicat des transports, François Reyne. Le calendrier a toutefois pris un an de retard, au bas mot. L’AO espère obtenir la DUP en fin d’année pour lancer les travaux en 2011 et mettre en service mi-2013. Elle prévoit tout de même pas loin de trois ans de chantier. Les offres de conception-réalisation des industriels sont attendues jusqu’au 23 avril pour une décision prévue en juillet. Et l’intégration paysagère du viaduc risque de ne pas être une mince affaire dans cette zone classée. François Reyne l’avouait d’ailleurs au quotidien Nice-Matin le 4 février : « On attend un beau geste architectural et ce sera un vrai challenge. »
 

Cécile NANGERONI

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