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 About ling jun jie

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Ewa

Les cars Macron proposent plus de destinations mais avec moins de fréquences

flixbus mobility check in free for editorial purposes

25 %. C’est, en pourcentage, la hausse de fréquentation des cars Macron au premier trimestre 2017, comparé à la même période de l’année précédente. Ce qui représente 1,35 million de voyageurs, apprend-on dans l’état des lieux trimestriel établi par l’Observatoire des transports et de la mobilité de l’Arafer. « Cependant, ce chiffre marque un recul de 13 % par rapport aux trois derniers moins de 2016. Cette baisse confirme l’effet saisonnier constaté pendant les premiers mois d’hiver », souligne l’autorité de régulation des activités ferroviaires et routières.
Peu à peu, les transporteurs réajustent leurs offres : les autocaristes ont à la fois ouvert plus de destinations (204 villes sont desservies, contre 180 fin 2016), en lançant notamment des destinations littorales avant la période estivale, et rationalisé les fréquences proposées en proposant moins de départs quotidiens (560 contre 724 au trimestre précédent).
Ces réajustements modifient le positionnement des opérateurs : si Flixbus continue d’afficher le réseau le plus diversifié en reliant plus des deux tiers des villes françaises desservies par des cars, c’est Ouibus qui propose désormais le plus de départs quotidiens parmi les trois principaux opérateurs (44 %), note l’Arafer.
Autre tendance : les transporteurs ont marqué une pause dans la remontée des tarifs enclenchée au deuxième trimestre. « Cette réactivité sur les prix traduit leur faculté à s’adapter à la demande en fonction l’intensité concurrentielle », note l’Arafer. L’annonce mi-juin de BlaBlaCar du lancement pendant les vacances d’été du « covoiturage solidaire à cinq euros » montre que la guerre des prix sur ces nouveaux créneaux est loin d’être terminée.

Ewa

Elles/ils ont dit

Les priorités d’Elisabeth Borne vont s’organiser autour des « besoins de mobilité de la vie quotidienne », a indiqué la nouvelle ministre des Transports, répondant à des questions de journalistes, le 16 juin, en marge du salon Viva Technology à Paris. « On a besoin, plus que jamais, de toutes les innovations pour améliorer rapidement les services de mobilité, apporter des solutions dans tous les territoires », a-t-elle précisé.
La ministre a également jugé « important de ne pas tabler uniquement sur des nouvelles infrastructures, d’abord parce qu’il y a des besoins très importants sur les réseaux existants ».
« Les gens aujourd’hui ne veulent pas qu’on leur dise “dans 15 ans ça ira mieux“, il faut qu’on soit capables d’être agiles et innovants et d’apporter des améliorations maintenant », a-t-elle insisté, estimant que « la contrainte financière est peut-être aussi l’occasion de penser autrement la mobilité ».
Sa feuille de route devrait être détaillée durant l’été. « Tous les ministres sont en train de préparer la leur, on va rendre notre copie et puis tout ça va être discuté avec le Premier ministre, et lui-même fait sa déclaration de politique générale début juillet, donc c’est dans la foulée que chaque ministre pourra présenter sa propre feuille de route », a-t-elle expliqué.

 

Guillaume Pepy. « Si nous voulons être l’assistant personnel des mobilités de chacun, nous devons avoir les bus, les autres trains, voire BlaBlaCar, car ce que les gens souhaitent, c’est avoir un site avec la plus large palette de choix possibles. Notre véritable métier c’est celui de place de marché », affirme le dirigeant de la SNCF à La Tribune , pour qui « le plus gros concurrent, c’est Google ! ».

 

Aurélien Taché. « Nous avons besoin de trains plus nombreux et plus réguliers », a expliqué le candidat LREM dans la Xe circonscription du Val-d’Oise le 13 juin à la ministre des Transports, Elisabeth Borne, arrivée par le RER en gare de Cergy-Saint-Christophe, pour échanger avec celui qui venait d’éliminer lors du 1er tour  le socialiste Dominique Lefèvre, patron de l’agglomération de Cergy-Pontoise. « Et il va falloir vraiment regarder le problème des deux opérateurs présents sur la ligne, via l’interconnexion entre la SNCF et la RATP à Nanterre. Je pense que nous avons des marges de manœuvre pour améliorer le RER A », a ajouté Aurélien Taché. Des propos repris le 14 juin dans le leparisien.fr.

 

Bruno Gazeau. « Si on veut réduire le prix du train de façon durable, la SNCF doit traiter les causes des surcoûts. Cela suppose de mettre en œuvre les principes d’exploitation du low cost de l’aérien en saturant l’utilisation du parc dimensionné pour couvrir les heures de pointe. Cela implique le maintien de circulation en heures creuses, en début de matinée, en fin de soirée, voire de nuit, le train en place assise restant nettement plus confortable et plus rapide que l’autocar ».

Le 9 juin, le président de la Fnaut s’est exprimé lors d’une conférence de presse sur la tarification Grandes lignes de la SNCF.

 

Ewa

Le train à crémaillère de La Rhune transformé d’ici 2022

train a cremaillere de la rhune

Le site touristique de La Rhune au Pays basque et son train à crémaillère vont être repensés : le conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques va y consacrer 36 millions d’euros. Le propriétaire des lieux veut en effet revoir les gares (parkings, contrôles, animations), mais aussi renouveler 70 % de la voie ferrée et acheter deux trains neufs (en renfort aux quatre existants) avec deux locomotives électriques-diesels : des appels d’offres seront donc lancés. Après un partenariat financier à boucler avec la région Aquitaine voire l’Etat, la Navarre et l’Europe, tout serait prêt pour 2022. Créée en 1924 et exploitée jusqu’en 2012 par Veolia, cette ligne reprise par le département a transporté 364 033 visiteurs en 2016 jusqu’à 905 mètres d’altitude.

Ewa

Ile-de-France Mobilités va s’afficher en bleu

© Patrick Laval - Photorail

Le 1er juillet, les rames Dualis du tout nouveau tram express T11 devraient grâce à des stickers arborer en bleu la nouvelle marque du Stif : Ile-de-France Mobilités. Un bleu pâle, pas inconnu, puisque, précise-t-on au cabinet de Valérie Pécresse, il s’agira de celui figurant aujourd’hui sur le logo du Stif à côté de l’orange dominant. (Notre photo le montre lors de la livraison par Alstom aux couleurs de la SNCF.)
Les Regio 2N, attendus sur la ligne R à la fin de l’année, devraient eux, être livrés par Bombardier aux nouvelles couleurs : avec le nouveau logo bien sûr, et une large bande du même bleu complétant le gris vif-argent apposé de plus en plus largement par le Stif sur les matériels. Exit le logo Stif et la liane courant le long de ces matériels. Quant aux logos des opérateurs, ils sont appelés à se faire plus discrets.
Les associations d’usagers s’inquiètent un peu du coût de ce changement de livrée et de logo. Qui devrait concerner aussi bien les matériels roulants que le papier à lettres ou le passe Navigo. Il se dit que le cabinet de Valérie Pécresse voudrait aller vite, pour symboliser au mieux la révolution des transports promise par la présidente du conseil régional et du Stif. Démenti formel, au cabinet de la présidente, où l’on assure que les choses vont se faire progressivement.
Quant à la nouvelle signalétique, conforme à la charte des modes du Stif, qui a notamment prévu la disparition du nom RER (voir notre Lettre confidentielle du 29 mai), elle devrait elle aussi apparaître le 1er juillet. Mais plus discrètement qu’on ne le pensait. Juste sur les documents imprimés concernant le nouveau service, la signalétique des trains et des gares restant inchangée.

F. D.

Ewa

Disparition d’un grand nom de la profession : François Heuliez

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François Heuliez est décédé le 9 juin à l’âge de 69 ans des suites d’une longue maladie. Fils de Pierre Heuliez (frère jumeau d’Henri Heuliez, président du Groupe Heuliez…

avant que son beau-fils Gérard Quéveau n’en prenne les rênes), François Heuliez est entré très tôt dans l’entreprise familiale. Il devient l’un des principaux responsables commerciaux de la filiale Heuliez Bus à la création de cette dernière en janvier 1980. En mai 1998, il rejoint Evobus France comme responsable commercial national Autobus de la marque Mercedes avant d’être nommé conseiller du président d’Evobus France en janvier 2006, jusqu’à son départ à la retraite en octobre 2007.

Ewa

RATP Dev renouvelé pour exploiter le réseau de Bourges

RATP Dev s’est vu renouveler la confiance du syndicat mixte intercommunal des transports urbains de Bourges à partir du 1er juillet pour une durée de cinq ans. Le chiffre d’affaires escompté s’élève à 70 millions d’euros. Plusieurs changements accompagnent ce renouvellement : une restructuration du réseau, la mise en place d’un service en soirée depuis la gare avec correspondance garantie, l’instauration d’une tarification solidaire en 2018 – accompagnant la mise en œuvre de la télébillettique – ainsi que le renouvellement de huit bus au gaz naturel venant compléter la trentaine du parc actuel (sur 65 bus au total) ainsi que de deux minibus.

D. M.

 

Ewa

RATP Dev bien placé pour le tram de Casablanca

maroc casablanca abandonnerait son metro aerien pour quatre lignes de tram

La société Casa Transport a annoncé qu’à l’issue d’un dialogue compétitif, elle allait engager fin juin des négociations exclusives avec RATP Dev alors que deux autres candidats étaient en lice (Transdev et National Express-Alsa-ONCF). RATP Dev exploite déjà depuis 2012 et jusqu’en 2017 la première ligne de tramway de Casablanca. Le futur contrat qui doit être signé pour la période 2017-2029 concerne l’exploitation du réseau de tramway avec trois nouvelles lignes (soit un total de 76 km en 2022) et deux lignes de BHNS totalisant 22 km.

Ewa

Recomposition dans le monde politique des transports

A l’issue du premier tour des élections législatives, de nombreuses personnalités connues pour leur engagement dans les transports ont été soit directement mises sur la touche, soit mises en grande difficulté. C’est le…

cas du socialiste sortant Jean-Paul Chanteguet, qui était le président très investi de la commission Aménagement du territoire et du Développement durable de l’Assemblée nationale et qui a été sévèrement éliminé dans la première circonscription de l’Indre. Il est devancé de peu par la candidate du FN, Mylène Wunsch (14,05 %), tandis que François Jolivet, dissident LR, investi par La République en marche, surfe sur la vague (37,16 %).

A Montreuil et Bagnolet, le conseiller régional d’Ile-de-France Pierre Serne (EELV) ancien vice-président chargé des Transports est aussi sorti dès le premier tour avec un peu plus de 8 % des voix.

D’autres pourraient suivre dimanche prochain. Pourtant très implanté dans la IXe circonscription de la Gironde, le socialiste et spécialiste des transports Gilles Savary est en grande difficulté avec 17,38 % des voix, loin derrière la candidate LREM Sophie Mette (31,21 %).

A Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, ancienne ministre de l’Ecologie, est en ballottage très défavorable face au candidat de La République en marche, Gilles Le Gendre, dans la 2e circonscription.

Citons encore dans la première circonscription de la Meuse, l’incertitude pour l’UDI-PR Bertrand Pancher qui est au coude-à-coude avec Diana André (à 27,82 % pour le premier contre 27,42 % pour la seconde).

Ajoutons ceux qui ont choisi de ne pas se représenter : le socialiste Philippe Duron, qui n’a pas brigué de troisième mandat dans la première circonscription du Calvados, Frédéric Cuvillier, ex-secrétaire d’Etat socialiste aux Transports, qui a décidé de passer la main pour rester maire de Boulogne-sur-Mer et a manifesté son soutien à Emmanuel Macron ; Le Républicain Dominique Bussereau qui a décidé de ne pas se présenter pour se consacrer à sa fonction de président du conseil départemental de Charente-Maritime, un département qu’il dirige depuis 2008 ; Ou encore le député sortant de la Drôme, Hervé Mariton, qui a échoué sur le fil à se présenter à la primaire de la droite de novembre 2016, et a choisi de renoncer…

Ewa

Le casse-tête du retour du train de nuit Paris – Cerbère

Carole Delga a réussi à se faire entendre d’Alain Vidalies. Quelques jours avant de quitter le gouvernement, l’ancien secrétaire d’Etat aux Transports qui avait pourtant signé la disparition de tous les trains de nuit…

à l’exception de deux lignes jugées d’aménagement du territoire, est revenu sur sa décision pour le Paris – Cerbère : il a signé un accord avec la présidente de l’Occitanie permettant la reprise de la ligne de nuit Paris – Cerbère arrêtée depuis décembre dernier.

Au terme de cet accord, l’Etat s’engage sur deux ans à prendre en charge la moitié du déficit de ce train (évalué à 2,8 millions d’euros annuels), la région supportant l’autre moitié.

Pour SNCF Intercités, cette décision s’apparente à un véritable casse-tête : il lui faut obtenir des sillons de la part de SNCF Réseau qui demande en général un délai de deux ans pour cela… A ce jour, elle n’avait toujours pas obtenu de sillons permettant d’arriver à une heure correcte à Cerbère. Autre souci à régler : trouver des conducteurs alors qu’elle en manque, mais aussi du matériel disponible…

Du coup, le train doit théoriquement démarrer le 2 juillet, mais aucun billet n’est encore en vente… Il est prévu qu’il circule quotidiennement pendant la saison haute, puis uniquement le week-end en basse saison.

Si la région se dit tout de même satisfaite, elle estime que son combat n’est pas fini. Elle réclame toujours la réouverture de la ligne de nuit desservant Tarbes – Hendaye. Mais jusqu’à présent, l’Etat n’a pas voulu céder sur ce point, arguant qu’avec l’ouverture en juillet de la LGV Paris – Bordeaux, cette liaison perdait de son intérêt.

M.-H. P.

Ewa

Indigo à la conquête du marché du stationnement « on street »

En créant Streeteo, filiale dédiée à la gestion du stationnement sur voirie dans la perspective de la mise en œuvre de la loi Maptam au 1er janvier prochain, Indigo espère s’imposer sur cet important…

marché dont l’entreprise a déjà conquis plusieurs places. Créée le 1er juin dernier, la filiale est dirigée par Paul Coiffard, jusqu’alors directeur des régions nord et est d’Indigo. Son adjoint, Maxime Autran, dans le métier depuis sept ans, a fait ses armes dans le stationnement dépénalisé sur voirie en Grande-Bretagne pendant quatre ans et était jusqu’à présent directeur voirie d’Indigo. Présent dans 16 pays avec un chiffre d’affaires 2016 de 860 millions d’euros, le groupe gère déjà 154 contrats (dont 50 incluent le contrôle et le recouvrement) « on-street », comme disent les pros, par opposition au « off-street » du marché historique des parkings. Soit quelque 2 500 km de places de stationnement, 22 000 horodateurs et 1 000 agents de contrôle.

Les horodateurs, c’est bien, mais y adjoindre le contrôle comme le permet la décentralisation et dépénalisation du stationnement, c’est encore mieux. Après Metz, conquis en décembre 2016, qui fait figure de ville-pilote, d’autres collectivités ont récemment signé avec Indigo des contrats qui tombent de facto dans l’escarcelle de la toute nouvelle filiale Streeteo : Beauvais dans l’Oise, ainsi que Nogent-sur-Marne et Alfortville dans le Val-de-Marne. Les offres peuvent être déposées sous le nom d’Indigo, qui bénéficie de son réseau de directions régionales, la filiale se chargeant principalement de l’opérationnel (recrutement des agents de contrôles si nécessaire, mise en place du système de contrôle et de recouvrement, etc.) une fois le contrat signé.

A la clé d’une gestion externalisée du stationnement, soulignent les directeurs, des avantages pour toute la collectivité. D’abord pour les communes et leurs regroupements qui voient les recettes augmenter, « grâce à une tarification adaptée, un taux de respect amélioré, sachant qu’il oscille en France entre 15 et 70 % et qu’on atteint facilement 85 % avec des contrôles automatisés grâce à des véhicules équipés de caméras lecteurs de plaques d’immatriculation comme nous les pratiquons à Madrid », liste Paul Coiffard. « On renforce le taux de rotation des véhicules, donc la disponibilité des places, donc la fluidité du trafic et on améliore un peu la pollution atmosphérique », détaille de son côté Maxime Autran.

Mais des atouts aussi pour les automobilistes qui devraient moins tourner en rond – on estime à 30 % la proportion de voitures qui circulent à la recherche de stationnement en ville – disposent de moyens de paiements facilités (via smartphone notamment), peuvent allonger ou réduire leur durée de stationnement en un clic… On peut aussi proposer du guidage prédictif vers les zones disponibles, comme le fait la start-up OPnGO partenaire d’Indigo à Metz. « On estime avoir réduit à 10 % du trafic le flux de véhicules qui cherchent une place dans la capitale espagnole », assure le directeur général adjoint de Streeteo. A Madrid, Indigo gère en effet toute la panoplie du stationnement depuis 2013.

La plupart des grandes agglomérations se sont préparées à la gestion du stationnement payant sur voirie. Plusieurs ont lancé des appels d’offres pour des marchés de prestations de services ou des délégations de service public : à Strasbourg, Bordeaux ou Montpellier où le groupe s’est positionné, la réponse est attendue très prochainement. On attend bientôt Nice ou Marseille, en tout environ 25 appels d’offres auxquels le groupe entend se porter candidat. A Paris, où la mairie a scindé le marché de six ans en trois lots géographiques d’environ 45 000 places chacun, le groupe s’attend à une réponse dans les toutes prochaines semaines. Il a fait une offre sur chaque lot et affronte les autres grands du secteur : Effia, Urbis Park, EM Park et SAGS. Indigo a proposé comme à Madrid des véhicules propres – hybrides ou électriques – pour le précontrôle avec lecteur automatique de plaque d’immatriculation (Lapi). « Notre métier devient de plus en plus technologique », souligne le directeur général. Une des raisons pour lesquelles Streeteo s’adjoint les services de sociétés innovantes comme Coppernic et Q2C (solutions complètes sur toute la chaîne, du paiement au recouvrement en passant par le contrôle), GenetEc (reconnaissance de plaques minéralogiques) ou Docapost, filiale numérique de La Poste, pour ne citer qu’elles…

Cécile NANGERONI