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 About ling jun jie

5 years experience in web development.

Ewa

Thierry Mallet succède à Jean-Pierre Farandou à la tête de l’UTP

Thierry Mallet PDG de Transdev

Le conseil d’administration de l’Union des transports publics a élu le 8 juin Thierry Mallet à la présidence. Le PDG de Transdev remplace Jean-Pierre Farandou, le patron de Keolis qui occupait ce poste depuis… deux ans. Les quatre vice-présidents sont Frédéric Baverez (Keolis), Marc Delayer (Agir), Pierre Izard (Epic SNCF) et François-Xavier Perin (RATP Dev).

Parmi les grands chantiers, l’UTP va poursuivre le travail engagé en vue de l’ouverture à la concurrence du transport ferroviaire régional de voyageurs et réfléchir à l’intégration « des nouvelles mobilités dans le modèle économique du transport urbain de demain ». Première concrétisation : l’évolution des statuts a été entérinée pour permettre à de nouveaux partenaires comme Indigo ou Smoove d’adhérer.

Ewa

Transdev noue un partenariat avec Delphi Automotive

Transdev a annoncé le 7 juin un partenariat commercial avec Delphi Automotive PLC, spécialiste des technologies de conduite autonome, pour développer un système global de transport autonome à la demande. « Ce système utilisera le logiciel de dispatch de Transdev (Universal routing engine, URE) et la plateforme de conduite autonome de Delphi (Centralized sensing, localization and planning, CSLP) développée par Delphi en partenariat avec Mobileye », ont expliqué les deux partenaires qui vont commencer à collaborer sur deux sites pilote en France : à Paris-Saclay et à Rouen Normandie. Ce seront « les premières expérimentations d’un service de mobilité sans conducteur à la demande sur routes ouvertes en Europe », souligne Yann Leriche, directeur de la performance de l’opérateur français de transport public.

« La collaboration avec Delphi permettra aux deux groupes de tester conjointement ce système global dans son intégralité : le dispatch, le contrôle-commande, l’architecture des capteurs, ainsi que l’intelligence du véhicule », précisent les deux entreprises dans un communiqué. Dans un premier temps, il y aura un conducteur dans les véhicules, mais très vite, espère Yann Leriche, il sera possible de commercialiser le service sans conducteur à bord.

Ewa

Le musée des Transports urbains de France s’ouvre au public

Le musée des Transports urbains de France ouvrira ses portes le 17 juin 2017 à Chelles en Seine-et-Marne. « Les visiteurs découvriront 67 des 141 véhicules de la collection : omnibus et tramways à chevaux, autobus, trolleybus, tramways électriques et à vapeur, de Paris et de province, de 1863 à nos jours », souligne l’Amtuir, une association de passionnés qui s’est installée à Chelles depuis 2008 pour restaurer et conserver des véhicules et des archives.
D. M.
https://www.facebook.com/amtuir.org

 

Ewa

Isilines vise la rentabilité dans un an

Après avoir revu son modèle fin 2016 en cherchant à mieux coller l’offre à la demande, la compagnie de cars isilines affirme avoir vu son trafic faire un bond de 80 % sur les cinq premiers mois de l’année comparé à la même période en 2016. Le prix moyen des billets a également augmenté de 20 %.

Dans le cadre de cette stratégie, la filiale de Transdev cherche à mutualiser sa flotte de transport avec celle dédié aux activités de transport à la demande de sa maison mère (celle-ci est d’ailleurs passée sous la bannière isilines), ce qui lui permet de pouvoir absorber la demande aux moments de pic de trafic.

Elle prévoit de multiplier par deux le nombre de places disponibles dans ses cars cet été : 1 000 destinations seront disponibles sur toute l’Europe avec 55 000 trajets possibles, indique-t-elle. Désormais Isilines pense être profitable en juillet 2018.

 

Ewa

RATP. Florence Javoy, nouvelle secrétaire générale de la Fondation groupe RATP

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Florence Javoy a rejoint le groupe RATP le 1er juin 2017 pour devenir la nouvelle secrétaire générale de la Fondation groupe RATP. Cette fondation s’attache à développer des liens avec les territoires où le groupe est implanté, en soutenant des projets locaux favorisant l’accès à l’emploi, à l’éducation et à la culture.
Florence Javoy est docteure en médecine et ingénieure de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Elle est, par ailleurs diplômée du Master 2 de Gestion publique (Université Paris-Dauphine/Ecole nationale d’administration).
Depuis 2000, elle travaillait au CNRS où elle a tout d’abord contribué à la création de Science & Décision, service d’information scientifique orienté vers l’aide à la décision publique, qu’elle dirigera (Université d’Evry-Val-d’Essonne). Elle rejoint ensuite comme responsable de la Médiation scientifique et de la Communication le Centre de sociologie de l’innovation (Mines-ParisTech), laboratoire dont les thèmes d’intérêt comptent la démocratie technique et la constitution des collectifs. Enfin, elle sera nommée directrice administrative du laboratoire de biologie du développement (Université Pierre et Marie Curie).
Florence Javoy avait commencé son parcours professionnel dans le domaine de la médecine et de la recherche clinique, notamment à l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris. En 1997, elle fut nommée conseillère technique au cabinet du ministre de l’Education nationale, de la recherche et de la technologie, responsable de dossiers relatifs à la recherche en sciences du vivant, à la propriété industrielle et à l’interface science et société.

Ewa

Keolis déploie le M-ticket sur la totalité du réseau d’Orléans

Le M-Ticket, un titre de transport acheté et validé sur mobile, est déployé depuis le 6 juin sur la totalité du réseau orléanais.Grâce à son smartphone, le voyageur peut valider directement son titre dématérialisé dans le bus ou le tramway, via le scan d’un code-barres 2D. Cette technologie a été développée par Kisio Digital, la filiale numérique de Keolis dans le cadre d’un partenariat noué avec Masabi, spécialiste des solutions M-Ticket, et Voyages-sncf.com Technologies.

 

Ewa

Le RER B va mal, Valérie Pécresse met en cause la SGP

A la suite d’incidents à répétition sur le RER B, le conseil du Stif a entendu, le 30 mai, les dirigeants de la RATP et de la SNCF, en l’occurrence Philippe Martin (DG adjoint de la RATP) et Alain Krakovitch (DG du Transilien). Valérie Pécresse a présenté dans la foulée à la presse des premières mesures, en pointant du doigt les travaux du Grand Paris Express. A Arcueil, ces travaux pour la future gare de correspondance entre ligne 15 Sud du Grand Paris et RER B sont en cours, et la RATP a fait le choix d’un ralentissement des circulations, à 30 km/h ; sur 500 mètres, tout en maintenant 20 trains par heure et par sens, devenus tous omnibus. Résultat de cette grille horaire tendue, le moindre incident a de larges répercussions. La branche de Saint-Rémy-les-Chevreuse du RER B n’a plus que 76 % de régularité, et celle de Robinson 63,5 %. « Intenable », dit Valérie Pécresse. Rude coup pour un RER où l’on avait réussi, rappelle Philippe Martin, en créant un poste de commandement unique, à gagner sept points de régularité en deux ans. Le dernier mois de mars a été catastrophique, avec 40 incidents majeurs sur la ligne, soit trois fois plus que d’habitude… Malheureusement, il n’y a pas grand-chose à faire d’ici l’été, qui devrait amener une détente avec les vacances. A la rentrée de septembre, Valérie Pécresse demande qu’on rétablisse 15 trains semi-directs pour Saint-Remy, ou que la desserte du plateau de Saclay soit renforcée, mais le service normal ne devrait être retrouvé qu’en novembre, après le ripage, à Arcueil, d’un ouvrage d’art sous les voies du RER. Or, le problème ne peut que se présenter à nouveau. Pour assurer de bonnes correspondances avec les RER, les gares du métro Grand Paris Express (métro profond comme on le sait) vont le plus souvent se placer sous les gares et les voies du RER. Et il y a 29 gares en correspondance.

Deux solutions se présentent. Ralentir comme l’a fait la RATP à Arcueil, ou fermer entièrement les circulations le week-end comme l’a fait la SNCF à Clamart, opération qui doit s’achever avec le ripage d’un ouvrage d’art sous les voies du RER en août. L’opération fermeture le week-end n’a rien d’édénique, mais elle a plutôt la préférence de la présidente de région, qui demande de toute façon que l’on sanctuarise pour les voyageurs l’heure de pointe en semaine. Reste que, selon Valérie Pécresse, une meilleure coordination des travaux avec la SGP s’impose. Remarque qui n’est pas du goût de la Société du Grand Paris, où l’on brandit comme un étendard la « coconstruction » et où l’on assure que, de comité technique en comité de pilotage puis en comité de suivi des chantiers, tout est fait, gare par gare, pour que tous les partenaires soient associés à la conception comme à la réalisation des chantiers. A commencer par le Stif, sans qui la SGP ne peut quasiment rien faire sans avoir l’aval du Stif… Reste qu’il vaudrait mieux s’entendre assez vite. Valérie Pécresse, qui a autorité sur les services de transport, mais pas directement sur la SGP (ce qu’elle regrette), entend profiter de son siège au conseil d’administration de la société pour peser dans les décisions. On est parti pour dix ans de chantier, rappelle-t-elle et il n’est pour elle « pas question que la construction d’un métro destiné à faciliter la vie impacte le vécu des voyageurs franciliens ».

F. D.

Ewa

La LGV Le Mans – Rennes inaugurée le 20 juin

C’est, selon nos informations, le 20 juin que Eiffage Rail Europe (ERE) doit remettre à SNCF Réseau la ligne nouvelle que la société a construite et qu’elle va désormais maintenir. Ce qui doit donner lieu à une inauguration…

de l’infrastructure, identique à celle qui avait été organisée en février pour la ligne Tours – Bordeaux. François Hollande, alors président de la République, avait présidé cette cérémonie. Pour la ligne Le Mans – Rennes, c’est Jean-Yves Le Drian qui devrait officier. Un ministre de l’Europe et des Affaires étrangères qui a démissionné vendredi 2 juin de la présidence de la région Bretagne.
Reste à peaufiner maintenant l’inauguration conjointe des services à grande vitesse sur les deux lignes Atlantique. Avec une forte inconnue. Les festivités sont prévues le 1er juillet, veille de la mise en service commercial. Emmanuel Macron viendra-t-il ? Comme Mitterrand inaugurant peu de temps après son élection le TGV Paris Sud-Est ? A la veille de la Pentecôte, la décision n’était à notre connaissance pas encore prise.

Juste après les législatives, la cérémonie pourrait bien tomber politiquement, permettant de célébrer une France à l’image de la majorité présidentielle que souhaite Emmanuel Macron. Une des deux LGV mène à Bordeaux, et Bordeaux c’est Juppé, figure d’une droite plutôt « bienveillante » envers le nouveau pouvoir. L’autre conduit à Rennes, capitale d’une Bretagne socialiste qui a largement voté Macron. Une belle image de la politique « et de droite et de gauche » voulue par le nouveau président. Et puis le TGV, disent à l’envi les responsables de la SNCF, émet par voyageur transporté 50 fois moins de C02 qu’un avion et 20 fois moins qu’une voiture individuelle. Un bel atout de la France dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Reste que le grand parcours prévu pour les trains inauguraux est un peu lourd pour un agenda présidentiel. Départ le matin de Paris – Montparnasse, fête à Bordeaux, train en grande partie par la ligne classique pour aller jusqu’à Rennes, fête à Rennes, et retour par la LGV… Et la grande peur des organisateurs est que l’Elysée au dernier moment joue à « chamboule-tout », comme a dit Fabius en intronisant Macron…

F. D.

 

Ewa

La SNCF à la recherche de la gorge profonde

Le buzz du week-end de l’Ascension, ce fut inOui. Le nom du service du TGV quand il atteint un certain niveau, mais pas le nouveau nom du TGV, comme l’ont annoncé certains journaux. Distinction…

pas facile à comprendre, ni à expliquer. La SNCF semblait prise au dépourvu et son message brouillé, alors que les médias recouraient pour les commentaires aux experts en marketing et à radio-trottoir. Et que les moqueries se multipliaient sur les réseaux sociaux.

Comment en est-on arrivé là ? Le 23 mai au matin, la SNCF informait son conseil d’administration et devait tenir dans la foulée une conférence de presse. L’attentat de Manchester l’a amenée à reporter sa présentation. Le 26 mai, Le Parisien éventait l’affaire, obligeant l’entreprise à sortir précipitamment son bulletin interne Temps Réel pour informer les cheminots avant qu’ils ne l’apprennent dans la presse.

Ce n’est pas la première fois que Le Parisien bénéficie de fuites sur la SNCF et désorganise toute sa com. Mais cette fois-ci, l’épisode a provoqué la fureur au plus haut niveau. Désormais, a prévenu Guillaume Pepy, nous nous débrouillerons pour que cela n’arrive plus. Une enquête « d’éthique » est ouverte pour savoir qui a fourni à la presse des données qui devaient rester confidentielles, au mépris des règles de l’entreprise. Si elle aboutit, des sanctions devraient tomber.

En attendant, ce raté de communication a conduit le président du directoire de la SNCF à se placer de nouveau en première ligne malgré son annonce, il y a quelques mois, de son souhait de se mettre en retrait des médias.

M.-H. P