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 About ling jun jie

5 years experience in web development.

Ewa

Henriette Chaubon devient la médiatrice de la SNCF

 


 

Diplômée de l’École nationale de la magistrature, Henriette Chaubon a été désignée le 28 avril médiatrice de la SNCF en remplacement de Bernard Cieutat, qui part à la retraite.


Elle a débuté sa carrière en 1980 comme juge au Tribunal de grande instance de Chartres, où elle est restée jusqu’en 1982. Conseillère à la Cour de cassation où elle siège à la Chambre criminelle depuis 2013, elle aussi membre du Comité de règlement des différends et des sanctions de la Commission de régulation de l’énergie, et présidente de l’Observatoire de la récidive et de la désistance. Elle a également occupé plusieurs postes à responsabilité au ministère de la Justice entre 1982 et 1999. Et elle connaît bien la SNCF pour en avoir été la directrice juridique de 2003 à 2013.

Ewa

Stéphane Chéry nouveau directeur de la Communication externe à la SNCF

Jusqu’alors directeur de la stratégie digitale d’Airbus Helicopters, Stéphane Chéry rejoint Mathias Vicherat au poste de directeur de la Communication externe et de la marque du groupe.

Diplômé d’un DESS de communication et d’une maîtrise d’histoire politique à la Sorbonne, Stéphane Chéry a d’abord été journaliste pigiste à La République du Centre, avant de rejoindre le conseil général du Loiret puis de s’occuper des relations avec la presse pour EDF, puis pour la direction générale de la gendarmerie nationale. Il devient ensuite consultant chez Accenture, puis s’occupe de nouveau de communication chez Publicis avant de rejoindre Airbus.

Ewa

Cure de jouvence pour l’axe Nîmes – Toulouse

Une série d’opérations lourdes pour 120 millions d’euros sur fonds propres SNCF Réseau sont programmées pour le week-end de l’Ascension sur l’axe Nîmes – Toulouse. class= »Texte-courant–VR-T-« >
Nîmes – Montpellier sera fermé du vendredi 26 mai à 14h au dimanche 28 à 14h (48 heures) ; Montpellier – Narbonne le 27 (24 heures) ; Narbonne – Toulouse du 25 à 6h au 28 à 15h30 (81 heures 30 minutes). « Tout le service voyageurs est suspendu dans ce creux de long week-end, avec substitution par autocars, mais sur réservation », explique Frédéric Guichard, directeur adjoint Occitanie de SNCF-Mobilités. Les lignes vers Alès et Quillan ne sont pas impactées, seule l’amorce de celle du Grau-du-Roi est portée de Nîmes-Ville à Saint-Césaire.

Pour 200 agents SNCF et 180 du privé, l’Ascension sera longue. « Dix-sept aiguillages trentenaires sont remplacés, à 400 000 euros l’unité, livrée posée », précise Hilaire Hautem, directeur adjoint Occitanie de SNCF Réseau : cinq (plus neuf appareils de dilatation) à Nîmes-Ouest, les autres à Marcorignan, Lézignan, Moux (Aude). A Aigues-Vives, Saint-Brès, Les Mazes, les quais sont rabotés pour dégager le gabarit des engins qui en 2018 renouvelleront les voies Nîmes – Montpellier.

A Sète, le pont-rail basculant Foch, dit « de la Bordigue », construit en 1932 (150 trains/jour, trois levées/jour l’été), recevra des appareils de dilatation et appuis neufs pour éviter le signalement par les capteurs d’alignement de mauvaises positions à l’impact commercial massif. A Narbonne, le faisceau ouest sera neutralisé pour la consolidation par la ville des piles du pont de la RN113, fermé depuis décembre 2014, et la voie C rectifiée. A Toulouse-Matabiau, un drain entre les voies 4 et 5 avec renouvellement partiel est prévu.

Viendront en novembre d’autres échanges d’aiguillages à Montpellier, Port-La-Nouvelle et Castelnaudary. Après fermeture en mars de Villefranche – Latour-de-Carol pour travaux de voies, c’est en mai-juin au tour d’Alès – Langogne et La Bastide – Mende pour consolidation d’ouvrages. Fin 2017 sera renouvelée Bon-Encontre – Saint-Christie (Agen – Auch, fret). Avant mise en service du contournement Nîmes – Montpellier (CNM) en décembre 2017, des opérations nocturnes finaliseront ses jonctions à Lattes et Jonquières.

Côté RVB, après Narbonne – Montpellier en 2015, l’Occitanie a vu de janvier à mars ceux de Carcassonne – Castelnaudary et de la VU vers Limoux. Suivront début 2018, grâce au report du fret sur le CNM, le RVB de nuit Nîmes – Montpellier, en 2019 de Narbonne – Perpignan. En Haute-Garonne, Boussens – Saint Gaudens sera traité fin 2017.

Michel Gabriel LEON

Ewa

Keolis recense trois attentes universelles en matière de mobilité digitale

A l’occasion du forum Netexplo, événement annuel sur l’innovation digitale, Keolis a révélé les résultats de son premier Observatoire international des mobilités digitales. En partenariat avec l’observatoire placé sous l’égide des Nations-Unies, le groupe de transport a scruté les pratiques numériques dans 13 smart cities des 5 continents. Et ce dans la pure tradition des enquêtes de marketing territorial, les Keoscopies. « Notre secteur d’activité – pas seulement le transport collectif, mais tout l’écosystème de la mobilité individuelle et partagée – est fortement impacté par le numérique », a rappelé Jean-Pierre Farandou, président de Keolis. Soulignant que « l’innovation est dans l’ADN » du groupe, il estime : « Notre rôle est aussi de donner aux collectivités une compréhension fine des attentes des voyageurs en la matière ».

Cette démarche d’exploration internationale – passant par Hongkong, Dubaï, Hyderabad, Tokyo, Sao Paulo ou Lyon, notamment – a permis d’analyser 400 innovations et de constater qu’il existe trois attentes universelles, partout sur la planète. « L’impératif du temps réel, l’hyperpersonnalisation et le coaching pas à pas d’un bout à l’autre de son déplacement, a énuméré Bernard Tabary, directeur International de Keolis. On ne peut plus considérer un agrégat de voyageurs, géré comme un flux dans sa globalité parce qu’ils ont une attente d’un traitement individualisé ». Ces trois attentes, la filiale transports urbains de la SNCF estime qu’elles font partie des « dix fondamentaux de l’expérience client de la smart mobility », qui démarre par l’organisation du déplacement, et se poursuit lors du trajet que l’on souhaite réaliser en toute quiétude et de manière humanisée.

A cet égard, l’information en temps réel « est devenue un basique, estime Kara Livingstone, directrice marketing groupe. Elle se doit d’être sur des supports diversifiés, conceptualisés – indiquant par exemple “tournez devant le Mac Do“ plutôt que “dirigez-vous vers le nord“ et collaborative grâce au crowdsourcing ». 67 appli, allant de l’indispensable au plus disruptif ont été identifiées, dont « email my boss » au Cap en Afrique du Sud, qui permet d’envoyer automatiquement un message de retard à son patron ou sa nounou en cas d’imprévu.

En matière de sécurité, les 32 solutions examinées ont permis de remarquer la montée en puissance des fonctionnalités anti-agression et particulièrement du bouton “Help !“ qui géolocalise le voyageur et lui permet de dialoguer en visioconférence (à Hyderabad notamment) ou le shake my phone à Singapour qui permet d’appeler à l’aide en secouant le smartphone. « On a même vu à Netexplo, une application à Pékin qui utilise les poignées de bus comme détecteur de votre pouls, et de son évolution au fil des jours afin de faire de la prévention santé…», raconte encore Bernard Tabary

Troisième domaine, la collaboration. Ou « comment garder une mobilité humanisée à l’ère de la digitalisation, de la robotisation et de la désintermédiation ? » interroge Kara Livingstone. Cette fois, 59 solutions ont été recensées, avec par exemple le bouchomètre à Abidjan, « un Waze local qui s’est créé sans aucune cartographie », relate le directeur international. Ou encore Kappo à Santiago du Chili qui utilise les cyclistes volontaires pour analyser la qualité de l’air et dresser la carte de la pollution atmosphérique. Après avoir dressé un panorama mondial des attentes en matière de mobilité digitale, le groupe estime que ces outils permettent de « réussir la simplification, le sentiment de bien être, la personnalisation et l’humanisation », affirme la directrice marketing.

Face à la digitalisation croissante, on observe diverses attitudes dans les territoires. Allant de ceux qui ont leur application institutionnelle et propriétaire et souhaitent qu’elle soit une référence absolue – à l’instar de Dubaï ou Hong Kong qui ont des appli très riches – à ceux préférant déléguer aux “pure players“ via une politique d’open data, comme Londres, Montréal ou Melbroune. « Plus de 500 appli utilisent les données de TfL, souligne Bernard Tabary. D’où une confusion sur leur pertinence pour les voyageurs… ». Mais partout, un constat : « l’imagination est sans limite ».

C. N.

Ewa

La SNCF, Virgin et Stagecoach s’unissent pour lancer l’exploitation de la HS2

Outre-Manche, les rumeurs évoquaient un rapprochement avec la Renfe, mais c’est avec la SNCF que Virgin et Stagecoach ont présenté une réponse commune à « l’expression d’intérêt » pour la future franchise West Coast Partnership (WCP). Au sein du consortium ainsi formé, la SNCF pèse 30 %, contre 20 % et 50 % respectivement pour Virgin et Stagecoach, les exploitants actuels de la West Coast Main Line (WCML) sous la marque Virgin Trains. Le nouveau consortium se porte ainsi candidat à l’appel d’offres pour exploiter la WCML entre Londres, Birmingham, le nord-ouest de l’Angleterre et l’Ecosse à partir de 2019, puis pour mettre en service et exploiter la première phase de la ligne à grande vitesse High Speed 2 (HS2), qui reliera Londres à Birmingham à partir de 2026.

Pour l’appel d’offres de la franchise WCP, qui devrait être publié d’ici la fin de l’année, s’est ainsi formé un consortium alliant l’expérience sur la WCML (vingt ans de présence pour Virgin Trains) et l’expérience sur la grande vitesse ferroviaire (bientôt quarante ans pour la SNCF). « Notre implication confère au consortium une véritable crédibilité » indique Mathias Emmerich, Directeur Délégué SNCF Sécurité et Performance : « Notre expertise et notre savoir-faire en la matière nous permettront, si nous sommes retenus, de réussir une mise en œuvre complexe avec notamment l’acceptation des nouvelles rames,  l’organisation du plan de transport, la préparation de la transition en s’assurant de la mise en conformité de la ligne, l’articulation des horaires avec les dessertes locales etc. » De quoi élargir les perspectives de la SNCF à l’international, alors qu’en France « nous n’avons pas pour le moment en perspective de nouveaux lancements » de l’aveu de Mathias Emmerich. Mais si l’on s’en tient aux chiffres donnés par ce dernier, le défi est de taille : « on peut estimer le potentiel à près de 50 millions de voyages par an, soit l’équivalent de la moitié de ce que représente le TGV en France ». A condition de prendre encore des parts à l’aérien ou de créer de nouveaux besoins de déplacements.

Ewa

La double vie des véhicules de service de la SNCF

Après plusieurs mois d’expérimentation avec Ouicar, la SNCF a décidé de louer ses propres véhicules de service aux voyageurs qui arrivent en gare.

Depuis septembre 2016, le service de location Ouicar équipe plusieurs dizaines de voitures de la SNCF avec la technologie Ouicar Connect, permettant aux voyageurs de s’installer à bord de la voiture sans échange de clés. Ces véhicules étant utilisés par les agents de la SNCF en semaine, ils sont disponibles le week-end à un tarif compétitif : entre 15 et 26 euros par jour, explique la société nationale dans un communiqué. « Soit 30 à 40 % inférieurs à ceux pratiqués par les loueurs professionnels », précise-t-elle. Une douzaine de gares les proposent, notamment en Bretagne, qui a été la première à accueillir l’expérimentation.

 

Ewa

Le Stif teste des bus à impériale

Test bus à impériale Stif

Dans le cadre du Grand Paris des bus, le Stif et Albatrans (Transdev) ont décidé d’expérimenter pendant six mois l’utilisation de deux autocars à deux niveaux sur la ligne Express 91-03. Avec des temps de trajet de plusieurs dizaines de minutes sur les lignes express permettant de relier les pôles économiques régionaux, la qualité de service y est une priorité. Ces nouveaux véhicules sont climatisés, dotés d’un plafond de verre et disposent d’une vingtaine de sièges supplémentaires. La ligne 91-03 relie le Sud Essonne depuis Dourdan, à la gare de Massy-Palaiseau via l’autoroute A10 et la gare autoroutière de Bris-sous-Forges en 30 minutes, contre 1 heure 15 en train. Après trois semaines de test, l’opérateur a rendu compte des premiers retours positifs des voyageurs à Stéphane Beaudet, vice-président Transport de la région Ile-de-France en visite sur place le 20 avril.

Ewa

CarPostal France renforce ses activités à Saint-Etienne

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Et quatre ans de plus ! Les transports urbains de Saint-Etienne Métropole (Stas) viennent de renouveler le contrat de sous-traitance confié à CarPostal pour six lignes régulières du réseau. Créée en 2012 suite à la reprise du groupe Rochette

la filiale CarPostal Loire, qui opère des services de transport régulier, occasionnel et touristique dans la Loire, le Rhône et la Saône-et-Loire, affrète ses véhicules pour la Stas depuis cette même date, année du renouvellement de la DSP à Transdev pour neuf ans.

Suite à la consultation lancée fin 2016 pour la période allant de septembre 2017 au 30 juin 2021, la Stas a choisi CarPostal pour exploiter deux lots en saluant notamment la robustesse de l’exploitation proposée par le groupe suisse. Il s’agit du bus n° 5, ligne structurante de la métropole stéphanoise qui relie Rive-de-Gier et Saint-Chamond au centre-ville de Saint-Etienne (25 km), qui sera, comme auparavant, exploitée en partenariat avec Keolis. Ainsi que de cinq lignes régulières supplémentaires sur le secteur de Firminy.

Suite à ces gains, l’entreprise renouvellera une partie de son parc – l’acquisition de 11 véhicules portera à 20 le nombre de véhicules dédiés à la sous-traitance urbaine – et recrutera une dizaine de conducteurs supplémentaires. CarPostal Loire a réalisé 9,7 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2016 avec 141 véhicules et 153 collaborateurs (ETP). Représentant un chiffre d’affaires de 2,7 millions d’euros par an, ces deux lots augmenteront de 20 % l’activité de son site stéphanois.

C. N.

Ewa

De nouveaux horizons pour voyages-sncf.com

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La direction du site de voyages de la SNCF, voyages-sncf.com (VSC) dresse un bilan « solide et satisfaisant » de l’année passée : en 2016, le nombre de billets vendus a augmenté de 3,6 % en atteignant 86 millions d’unités Avec une croissance forte réalisée en France : +4,4 %. Toutefois, le volume d’affaires se tasse de 1,4 % à 4,1 milliards d’euros (contre 4,3 milliards en 2015). En cause : les ventes low cost qui deviennent de plus en plus nombreuses, tant avec le TGV Ouigo qu’avec les cars iDBus. La dépense moyenne a de ce fait régressé l’année dernière, explique Franck Gervais, le directeur de VSC. Mais, ajoute-t-il, « le panier moyen se stabilise en 2017 ».
Pour relancer l’activité, VSC va passer « à l’offensive cette année ». En commençant par accentuer les efforts pour vendre les destinations régionales, ce qu’il fait depuis le début de l’année : 4 millions de billets de TER ont été vendus au premier trimestre. Dans ce but, il est prévu d’ouvrir un site Internet par région, qui pourront accueillir des partenaires désireux de promouvoir l’offre régionale. Avec ce dispositif, VSC table sur plus de 40 millions d’euros de volume d’affaires supplémentaires par an d’ici à 2019. Le voyagiste va aussi prendre une participation dans la start-up touristique marseillaise RendezvousCheznous.com, ce qui permettra de mettre en relation des touristes et des professionnels. Une première pour la filiale de la SNCF, souligne Franck Gervais. Et pour faciliter la vie de ses clients, VSC prépare d’ici cet été une disposition permettant de planifier ses déplacements de porte à porte.
Le site Internet de la SNCF parie aussi sur « l’intelligence artificielle/conversationnelle ». L’entreprise a constitué une équipe de huit personnes qui travaillent sur ce sujet. Plus globalement l’entreprise embauche, surtout des profils techniques et marketing : après avoir recruté 150 personnes en 2016, VSC, qui emploie désormais 1 200 personnes, s’apprête à en embaucher 150 de plus cette année.