Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

 About ling jun jie

5 years experience in web development.

Ewa

Les transports de Perpignan prennent le nom de Sankeo

 

A l’occasion de l’arrivée de 3 nouveaux bus hybrides et dans la perspective d’une réorganisation qui sera dévoilée en 2018, le réseau CtPM (Compagnie des transports Perpignan Méditerranée) a été rebaptisé Sankeo. L’identité visuelle a également été revue, accompagnée par une campagne de communication autour du slogan « En route vers une nouvelle mobilité ». Perpignan Méditerranée Métropole et Vectalia Perpignan Méditerranée, le délégataire du réseau, qui souhaitent donner une image « plus durable et performante » à leurs transports, attendent 17 bus hybrides et 3 minibus électriques d’ici à 2021. Leur objectif est de « préparer le territoire à plus d’innovation, de modernité et d’intelligence, en cohérence avec le déploiement de la Smart City », indiquent-ils dans un communiqué.

Ewa

CarPostal France rachète Trans Azur en Provence

Le spécialiste des villes moyennes, CarPostal France, grignote tranquillement ses parts de marché. Après les Autocars Grindler rachetés fin 2015 en Isère, cette fois, c’est avec l’acquisition de Trans Azur qu’il renforce son implantation en Paca. Exploitant des réseaux urbains de Menton et de Salon-de-Provence depuis quatre ans, le groupe suisse développe ainsi son offre dans l’interurbain. Entreprise familiale fondée en 1961, Trans Azur (50 salariés, 45 véhicules) a réalisé un chiffre d’affaires de près de 4 millions d’euros en 2016 via une gamme complète de services (transport régulier, à la demande, scolaire, périscolaire, transport de personnel, occasionnel). Principaux clients : la métropole Aix-Marseille Provence et le département des Bouches-du-Rhône. Effective au 12 avril 2017, la reprise s’opérera dans la continuité, promet CarPostal France, avec le maintien des emplois et de la politique d’investissement, la phase de transition étant gérée par le dirigeant et fondateur de la PME, François Roux. Lequel estime que son acquéreur « respectera les valeurs historiques chères à l’entreprise, appréciées en interne et recherchées par les clients ».

 

Ewa

Europorte. Accord sur le temps de travail

« Europorte France et ses quatre organisations syndicales CGT, CFDT, SUD et CFTC, viennent de signer à l’unanimité un accord sur le temps de travail dans le cadre de la réforme ferroviaire », a indiqué dans un communiqué du 18 avril la filiale fret d’Eurotunnel.
Cet accord prévoit notamment « une meilleure visibilité des plannings », la création d’un compte épargne-temps et un observatoire trimestriel de suivi.

Ewa

Pas de candidat français pour la grande vitesse en Californie

A la date limite de remise des candidatures pour l’assistance à la mise en œuvre de la ligne ferroviaire à grande vitesse californienne… style= »margin-bottom: 0px; text-align: justify; font-size: 14px; line-height: normal; font-family: Georgia; color: rgb(50, 51, 51); -webkit-text-stroke-color: rgb(50, 51, 51); -webkit-text-stroke-width: initial; »>
cinq réponses avaient été reçues par la California High-Speed Rail Authority. Cette dernière cherche à conclure un partenariat avec un opérateur ferroviaire de classe mondiale pour l’assister au développement initial du train à grande vitesse, au niveau « système ». Une mission qui comprendra l’acquisition du matériel roulant, des voies, des équipements et des gares, mais aussi la responsabilité de la mise en service de l’exploitation sur la section entre la Silicon Valley et la Central Valley (phase 1). Le contrat, d’une valeur maximale de 30 millions de dollars (28,25 millions d’euros) sur six ans, devrait être signé l’été prochain.

Par ordre alphabétique, ces cinq candidats sont : China HSR ETO Consortium (China Railway International, Beijing Railway Administration, China Railway Eryuan Engineering Group et China Railway Corporation) ; DB International US (DB International USA, Deutsche Bahn AG, Alternate Concepts et HDR) ; FS First Rail Group (Ferrovie dello Stato Italiane S.p.A., FirstGroup plc, Trenitalia, Rete Ferroviaria Italiana S.p.A., CentoStazioni S.p.A., Italferr S.p.A. et McKinsey & Company Inc.) ; Renfe (Renfe Operadora, Globalvia Inversiones S.A.U. et Adif) ; et enfin Stagecoach Group (Stagecoach Group plc et Coach USA Administration).

Des candidats chinois, allemands, italiens, britanniques ou espagnols… Mais étrangement, pas de traces d’entreprises françaises ou japonaises dans les consortiums candidats. Certes, ce contrat initial n’est que très modeste en valeur, mais il a une grande importance stratégique pour les choix qui guideront la réalisation de la première « vraie » ligne à grande vitesse américaine.

Patrick Laval

Ewa

François Hollande : adieu, travaux, engins, trains, bus…

La tournée d’adieux du chef de l’etat doit le conduire mardi 18 avril à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), où il doit visiter Mecateamcluster… le cluster français de réalisation et maintenance des engins de travaux ferroviaires, qui regroupe une centaine de membres. Le cluster, né il y a cinq ans (durée que le président doit avoir en tête), va exposer au chef de l’Etat ses projets structurants : sa prochaine halle de maintenance, ou le Campus Mecateam, dont les travaux de construction doivent commencer en septembre. Un projet lauréat du programme d’investissements d’avenir, qui a reçu une aide de l’Etat de 2,2 millions d’euros.

Son tour de France a conduit François Hollande le 7 avril à Annonay (Ardèche) où il a visité l’usine d’Iveco. Pierre Lahutte, le président d’Iveco a profité de la visite pour faire passer quelques messages. Il a regretté une « tendance à la hausse d’acheter des véhicules à moindre coûts et fabriqués hors de l ‘Europe », qui « constituent une menace pour la filière française » De plus, a-t-il ajouté, reprenant une argumentation que l’on connaît, la filière « a investi de manière importante ces dernières années pour anticiper la transition énergétique et offrir des solutions propres et éprouvées qui rencontrent déjà un succès certain ». Or, «  l’engouement pour les véhicules électriques, tout à fait compréhensible, ouvre cependant la voie à de nouveaux acteurs sur le marché français, non soumis aux mêmes réglementations que l’industrie française, et dont le mode de financement et la traçabilité restent encore flous ». Messages adressés au locataire sortant de l’Elysée, qu’Iveco tentera de passer à coup sûr au prochain occupant…

F. D.

Ewa

Le prolongement de la Northern Line de Londres démarre

Alors que s’achève l’équipement du tunnel de Crossrail, un nouveau chantier de forage démarre sous Londres : le prolongement de la Northern Line du « Tube » de Londres… 

  entre Kennington et Battersea, soit 3,3 km desservant deux nouvelles stations. Comme son nom ne l’indique pas aux non-initiés, ce prolongement de la ligne noire du réseau londonien se situe au sud-ouest du centre-ville.

A un rythme de 30 m par jour maximum, deux tubes parallèles de 5,2 m de diamètre seront réalisés par deux tunneliers de 100 m fournis par NFM Technologies : Helen, qui vient de démarrer son forage, et Amy, qui doit commencer dans un mois. A ce rythme, le forage, réalisé par Ferrovial Agroman Laing O’Rourke, devrait être terminé en six mois. Estimé à 1,2 milliard de livres (1,4 milliard d’euros), ce prolongement sera essentiellement financé par le secteur privé, dans le cadre d’un package comprenant la création d’une zone d’activités, signé par le gouvernement britannique, le maire de Londres, les conseils des Boroughs de Wandsworth et Lambeth, ainsi que par la centrale de Battersea.

Ewa

Pas de gendarme européen contre le Dieselgate

Il n’y aura donc pas d’agence européenne indépendante chargée de la surveillance du marché automobile. Le Parlement européen n’a pas retenu, lors d’un vote le 4 avril cette proposition de la commission d’enquête parlementaire mise sur pied il y a un an dans la foulée du « Dieselgate ». Une petite majorité d’eurodéputés, menés essentiellement par les démocrates-chrétiens du PPE et par les Libéraux, s’y est opposée, mettant en avant les délais, la bureaucratie, les coûts. Les adeptes de l’agence, à l’image de la députée EELV Karima Delli, ont regretté, eux, « l’occasion manquée de doter l’Union d’un véritable gendarme européen qui aurait permis que la triche ne soit plus possible ».

Pour autant, les pouvoirs de Bruxelles sortent renforcés de la réforme. A l’avenir, la Commission européenne sera par exemple habilitée à superviser le travail des autorités nationales d’homologation et pourra effectuer elle-même – ou faire effectuer par des tiers indépendants – des essais et inspections de véhicules déjà mis sur le marché. En cas de problème, elle aura aussi le pouvoir de contraindre les constructeurs à prendre des « mesures correctives appropriées », parmi lesquelles le rappel des véhicules.

Et aux constructeurs qui falsifient les résultats des essais, l’exécutif européen pourra imposer des amendes qui vont jusque 30 000 euros par véhicule.

A la place de l’agence écartée par les députés, c’est un « forum » qui devrait voir le jour, présidé par la Commission. Les Etats y enverront leurs représentants, y compris des autorités chargées de la réception et de la surveillance du marché. Avec les ONG, les représentants de l’industrie et des consommateurs, ils débattront des résultats des contrôles et des évaluations et, le cas échéant, examineront des plaintes concernant d’éventuelles non-conformités.

Les règles votées par le Parlement prévoient aussi que les Etats devront contrôler annuellement au moins 20 % des modèles de véhicules mis sur le marché l’année précédente.

C’est maintenant au tour du Conseil des ministres d’arrêter sa position. Des négociations tripartites Parlement/Conseil/Commission pourront alors commencer pour s’entendre sur la version définitive de ce nouveau système d’homologation et de surveillance des véhicules.

Isabelle Smets

Ewa

Rail de traction : la RATP innove sur la ligne 5

La ligne 5 du métro parisien est fermée entre Bastille et Place-d’Italie, depuis le 15 avril et jusqu’à ce lundi 17 avril inclus. La RATP profite du week-end de Pâques pour remplacer 5 km de rail de traction

  en complément de 1 000 m déjà changés sur la section. La RATP a choisi un rail en alliage aluminium-acier, fourni par Brecknell & Willis (groupe Wabtec), assurant une meilleure conductivité par rapport à l’acier habituellement utilisé dans le métro parisien. Et la déperdition d’énergie sera moindre. On espère une économie de 100 megawatts par kilomètre et par an. Si c’est une innovation à la RATP, le troisième rail en alliage aluminium-acier est déjà utilisé par des réseaux européens.
F. D.

Ewa

Izy augmente ses capacités

Lancée il y a un an, Izy, l’offre low cost de Thalys a transporté plus de 400 000 voyageurs au total. Cette année, Izy va faire l’objet « de premiers ajustements » dans le double but de « rationaliser le modèle de production » et d’augmenter la capacité afin de mieux répondre à la demande sur certains horaires, explique Thalys dans un communiqué. Dès cet été, l’offre devrait ainsi augmenter de 6 %.

 

Ewa

Vélib’ : recours du groupement JCDecaux

JCDecaux a annoncé le 11 avril que le Groupement JCDecaux/RATP/SNCF a déposé un recours devant le juge des référés du tribunal administratif de Paris contre la décision d’attribution par la commission d’appel d’offres du Syndicat Autolib’ Vélib’ Métropole du marché Vélib’. Recours introduit, dit le communiqué de JCDecaux, « pour la défense des 315 collaborateurs qui participent au succès sans équivalent de Vélib’ depuis dix ans ». Recours déposé avant même la décision officielle du syndicat, prévue le 12 avril.