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Ewa

Le corps de l’ingénieur enseveli lors d’un chantier ferroviaire à Massy retrouvé

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Le corps de l’ingénieur SNCF, mort enseveli lors d’un éboulement sur un chantier à Massy (Essonne) le 25 juillet dernier, a été retrouvé cinq jours plus tard, a indiqué hier à l’AFP la procureure d’Evry, Caroline Nisand.

La recherche du corps a été compliquée par l’environnement difficile et dangereux du lieu de l’accident, selon les sapeurs-pompiers de l’Essonne et le parquet.

Une instruction a été ouverte pour « recherche des causes de la disparition » de cet ingénieur de SNCF Réseau, enseveli dimanche par l’éboulement d’un chantier de forage à proximité des voies, sur le chantier SNCF d’un pont au niveau de la gare de Massy-Palaiseau.

Cet accident mortel avait entraîné l’interruption du trafic des TGV dimanche en fin d’après-midi entre la gare de Paris-Montparnasse et le Sud-Ouest. Le trafic avait repris dimanche soir avant de revenir à la normale dès lundi matin.

Ewa

Pertes de 780 millions d’euros pour la SNCF au premier semestre

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Les effets de la crise pandémique se font toujours fortement sentir sur la SNCF qui affiche une perte de 780 millions d’euros au premier semestre. En cause tout particulièrement la fréquentation des TGV, à la peine avec les restrictions et les incertitudes de ces derniers mois. Toutefois, note la compagnie ferroviaire, le trafic ferroviaire de voyageurs longue distance a progressé de 2 % à fin mai comparé à 2020, une année également perturbée par la crise.

Les activités conventionnées connaissent un plus fort rebond : le chiffre d’affaires de Transilien a augmenté de 21% et celui de TER de 16%. L’activité logistique de Geodis progresse de 21 % et le transport ferroviaire de marchandises de 13 % comparé à 2020.

Le plan d’économies mis en oeuvre, qui a atteint 830 millions d’euros au milieu de l’année sur un objectif d’1,3 milliard, a permis de limiter les effets de la crise sanitaire, commente le groupe.

Ewa

Keolis continuera à exploiter les transports publics de Châteauroux

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Le conseil communautaire de l’agglomération de Châteauroux a décidé de renouveler, à partir de janvier prochain et pour six nouvelles années, le contrat de Keolis pour exploiter le réseau de transports publics Horizon. Le contrat représente un chiffre d’affaires cumulé de 36 millions d’euros.

Keolis, qui aura pour objectif de faire croître la fréquentation de 18 % de ce réseau structuré autour de 12 lignes urbaines et 3 lignes de transport à la demande, devra notamment mettre en service six bus à hydrogène d’ici 2024.

Ewa

« Nous dénonçons le manque de réciprocité sur le marché ferroviaire européen ». Interview de Nick Brooks, secrétaire général de Allrail

Nick Brooks, secrétaire général de Allrail

Quatre mois après s’être opposée à une aide de la SNCF à sa filiale Eurostar, les opérateurs ferroviaires européens réunis au sein de l’association Allrail se sont plaint de tentatives, selon eux, du gouvernement néerlandais de faire pression sur les autorités régionales allemandes pour qu’elles aident financièrement Abellio, la filiale de l’opérateur publique NS. Nick Brooks, le secrétaire général, explique la position de son association.

Ville, Rail & Transports : Que reprochez-vous au gouvernement néerlandais?

Nick Brooks : Nous ne sommes pas contre des aides financières accordées par des autorités publiques à des opérateurs, surtout s’il y a des dépenses supplémentaires imprévues du fait de la crise actuelle de Covid. Mais cela doit être fait de manière équitable et non discriminatoire, et de façon proportionnée, au profit de tous les opérateurs ferroviaires exécutant des contrats ferroviaires régionaux.

Or, ce n’était pas du tout l’état d’esprit du courrier du  ministre néerlandais des Transports lorsqu’il a écrit récemment pour faire pression sur les Etats régionaux en Allemagne afin d’aider Abellio, la filiale à 100 % de son opérateur ferroviaire historique NS. Il n’a pas mentionné les autres opérateurs.

Dans l’espace ferroviaire unique de l’Union européenne, il est inquiétant de voir des ministres des Transports agir au nom de leurs opérateurs publics. Si les gouvernements décident de contrats et de subventions, ne devraient-ils pas être neutres? Si nous avons des preuves claires que les gouvernements préfèrent leurs opérateurs publics, cela dissuadera les opérateurs privés d’investir en raison des risques liés à la concurrence directe avec les entités gouvernementales.

Last but not least, nous reprochons au gouvernement néerlandais d’autoriser son opérateur historique NS à s’implanter sur d’autres marchés européens ouverts depuis 2003, tout en prévoyant, dans le même temps, de protéger NS aux Pays-Bas jusqu’en 2035. Il a en effet prévu de poursuivre l’attribution directe de marchés à NS, à hauteur de 95 % du marché intérieur néerlandais, pour une nouvelle période allant de 2025 à 2035, tout en permettant à NS d’aller conquérir des marchés à l’extérieur. Ce manque flagrant de réciprocité sape totalement l’espace ferroviaire européen unique. L’Union n’a aucun droit moral de critiquer d’autres parties du monde, (comme par exemple la Chine pour son manque de réciprocité), alors qu’elle permet activement que cela se produise au sein du marché unique européen.

VRT : Quelles sont les conséquences sur le marché ferroviaire allemand?

N. B. : L’Allemagne a grandement bénéficié de l’ouverture à la concurrence du marché local et régional du transport ferroviaire de passagers : la qualité a été améliorée à un moindre coût pour le contribuable. C’est ce que l’on appelle le dividende de la concurrence.

Par conséquent, il est important que les autorités locales et régionales allemandes mettent en oeuvre un cadre approprié attractif pour les opérateurs privés, assurant une stabilité des coûts sur une longue période, avec un mécanisme d’indemnisation en cas d’imprévu accessible à tous les opérateurs de manière équitable et non discriminatoire.

Il existe un risque si une filiale d’un opérateur historique étranger pénètre sur le marché avec des offres attrayantes qui ne sont pas financièrement viables sur le long terme. Les plans d’affaires doivent être réalistes. Si le gain de parts de marché est une nécessité absolue, il doit être clair qu’il ne faut pas répéter les expériences récentes d’Abellio et de Keolis, dont les offres n’étaient pas viables financièrement. Des engagements clairs doivent être pris dans ce sens pour éviter de répéter ces scénarios.

VRT : Allez-vous porter plainte?

N. B. : C’est toujours la dernière étape à franchir, une fois seulement que toutes les autres options envisageables ont été tentées. Pour le moment, nous cherchons à l’éviter.

Propos recueillis par Marie-Hélène Poingt

Ewa

Pourquoi le rapport Duron plaide en faveur d’une hausse des tarifs des transports publics

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Satisfaction des élus après la publication du rapport Duron remis mi-juillet au ministre des Transports. Ce rapport, qui propose des mesures pour renforcer le modèle économique des transports publics mis à mal par la crise sanitaire, recense pas moins de 48 recommandations pour y parvenir. Ces recommandations, qui englobent de nombreux sujets, reprennent largement des demandes formulées depuis des années par la profession (par exemple une TVA abaissée à 5,5 %). Mais elles vont aussi au-delà.

Les élus se réjouissent ainsi du jugement des auteurs du rapport qui pointent la différence de traitement par l’État entre Île-de-France Mobilités et les autorités organisatrices des mobilités en province, moins soutenues. « En particulier, la non-individualisation du versement mobilité dans les recettes fiscales des collectivités ainsi que la non prise en compte des AOM qui ne sont pas propriétaires de leurs recettes tarifaires se sont traduites par une indemnisation très faible pour une grande majorité des AOM de province« , rappelle le Groupement des autorités responsables des transports (GART ) qui se félicite de la recommandation de rétablir «  »l’équité dans ce domaine » . D’autant que le rapport propose aussi « la rétroactivité des compensations de versement mobilité ainsi que le maintien des avances remboursables pour les pertes de recettes tarifaires pour 2021 voire la possibilité d’une aide directe de l’État pour compenser la moitié de ces pertes« , ajoute le GART qui plaidait pour de telles mesures.Même satisfaction à propos de la suggestion de doubler l’enveloppe du 4ème Appel à Projets pour les TSCP et les PEM qui est actuellement de 500 M€ (450 M€ prévu par le PLF 2020, auxquels s’ajoutent 50 M€ introduits par le Sénat dans le cadre de la LFR2021).

A plus long terme, la mission présidée par Philippe Duron, préconise un dispositif pérenne pour renforcer le modèle économique des transports publics, qui aura besoin de mettre en oeuvre un important programme d’investissements, « de nature à renforcer leur attractivité et accélérer la décarbonation du secteur« . Ces besoins d’investissements sont évalués à près de 20 milliards d’euros pour 36 AOM représentant 25 % de la population citadine.

Des mesures pour limiter la gratuité 

Dans ce cadre, le rapport estime qu’une augmentation du prix payé par les utilisateurs est souhaitable, ce qui reviendrait à inverser la tendance de ces dernières années, la part de l’usager dans le financement des transports publics n’ayant  cessé de diminuer alors que les coûts augmentaient. « Cette inflexion sera d’autant plus légitime et acceptée que la qualité du service sera améliorée et qu’une régulation des transports individuels motorisés visant à décourager l’autosolisme sera mise en place« , précisent les auteurs du rapport.

Par ailleurs, le versement mobilité (VM) doit non seulement être pérennisé, mais aussi plafonné dans le cas où une collectivité décide de rendre gratuits les transports publics. estiment-il. « Sa place doit rester équilibrée par rapport aux ressources tarifaires, ce qui nous a conduit à proposer l’étude d’une limitation de son plafond pour les AOM qui ne font pas contribuer les usagers ou les AOM de plus de 200 000 habitants quand le ratio des recettes sur dépenses est inférieur à 30 % », précisent-ils. La gratuité peut en effet avoir pour conséquence de réduire l’offre ainsi que le développement et la modernisation des réseaux de transports, explique la mission Duron. « La gratuité pourrait par ailleurs interroger les employeurs, contributeurs du Versement Mobilité, auxquels on demande de maintenir leur effort alors que les déplacements domicile-travail ne représentent que le tiers des voyages et que le télétravail pourrait encore réduire cette proportion« , souligne-t-elle. 

Enfin, le rapport explore d’autres pistes comme le fléchage d’une partie de la TICPE  vers les AOM, ou bien son remplacement, plus tard, par une redevance kilométrique. Il suggère aussi de mettre en place une taxation des livraisons via les plateformes de commerce en ligne ou encore de recourir à l’écotaxe, comme la collectivité d’Alsace l’a déjà décidé.

Le GART souhaiterait toutefois « que le Gouvernement aille plus loin en prévoyant des instruments financiers et des aides directes pour accompagner les AOM dans l’indispensable transition énergétique des flottes de cars et de bus« . Les préconisations seront partagées avec les associations d’élus et les parties prenantes d’ici la fin de l’année“, s’est borné à indiquer pour le moment le ministère des Transports. 

MH P

 

 

 

Ewa

SNCF au Féminin devient SNCF Mixité

Anne-Sophie Nomblot, présidente de SNCF au féminin

Dix ans après sa création, le réseau SNCF au Féminin s’est donné un nouveau nom, SNCF Mixité, pour mieux marquer ses objectifs : après avoir oeuvré pour plus d’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, il souhaite parvenir à plus de mixité au sein des différents métiers de la SNCF et s’ouvrir davantage aux hommes, comme l’explique la lettre d’information interne Les Infos du 13 juillet. Actuellement, seuls 19 % des membres du réseau sont des hommes. Sous l’impulsion de sa présidente, Anne-Sophie Nomblot, SNCF Mixité vise plus d’adhésions masculines, notamment parmi les non cadres très minoritaires.

Ewa

Le tunnel du prolongement de la ligne 11 du métro parisien est terminé

Ligne 11, future station Serge Gainsbourg
Sofia a terminé son travail. Le tunnelier, chargé de creuser le prolongement de la ligne 11 du métro parisien au-delà de Mairie des Lilas, actuel terminus, a percé la paroi est de la future gare Serge Gainsbourg le 16 juillet. Ce sera la première des 6 nouvelles stations de ce prolongement de 6 km, avec Place Carnot (correspondance avec le T1), Montreuil-Hôpital, La Dhuys, Coteaux-Beauclair, et Rosny-Bois-Perrier (correspondance avec le RER E, la future ligne 15, et une importante station Veligo).
Le creusement, réalisé par le groupement Alliance associant NGE Génie civil (mandataire), Demathieu et Bard, Pizzarotti et Implenia, a été terminé dans les temps, malgré l’arrêt des travaux pendant deux mois à cause de la Covid. « Nous avons fait fonctionner Sofia 24 h/24 h depuis la reprise du travail après le premier confinement », explique Pierre Florent, directeur du projet à la RATP.
« Le très gros œuvre est maintenant achevé », poursuit Pierre Florent, y compris le viaduc de 600 m au-delà de la station La Dhuys pour franchir la vallée de Rosny. Il accueillera même une station Coteaux-Beauclair, en aérien, ce qui n’était pas arrivé depuis près d’un siècle.
Après la fin du percement, la prochaine étape consistera à évacuer le tunnelier. « D’habitude, ce type d’opération prend 4 mois, mais nous allons la raccourcir à deux mois et demi ». Ce sera chose faite d’ici fin septembre. Il s’agit de libérer le tunnel au plus vite pour poursuivre son équipement et installer notamment la voie ferrée. Elle sera posée mi-2022. Mais elle a déjà été installée vers le nouveau terminus de Rosny et dans le futur atelier, même s’il n’est pas terminé. C’est là que sera testé le futur matériel M14 semi-automatique qui commencera par circuler sur la partie ancienne de la ligne dès 2022. Les tests vont aussi commencer sur la ligne 1 d’ici quelques semaines. La quarantaine de M14 commandées en deux tranches, une première de 20 suivie d’une seconde de 19, remplacera les MP59, le plus vieux matériel en service à la RATP.
Composées de 5 voitures, les M14 permettront d’augmenter la capacité de 25 % par rapport aux 4 voitures des anciennes rames. Ces nouvelles rames nécessitent toutefois des aménagements qui sont en cours dans les stations existantes de la 11.
La mise en service commerciale de la ligne prolongée est prévue à la fin de l’année 2023. Le coût du prolongement s’élève à 1,084 milliard, financé par la région Île-de-France (500,3 millions), la Société du Grand Paris (305,3 millions), l’État (214,4 millions) et le département de Seine-Saint-Denis (64 millions).
Yann Goubin

Ewa

Pourquoi Mobicoop et Rezo Pouce ont fusionné

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Les coopératives de mobilités, Mobicoop et Rezo Pouce, ont décidé de s’unir. « Puisque nous offrons le même service, et que nous sommes toutes deux des coopératives d’intérêt collectif, nous n’avions aucun intérêt à être concurrentes », explique Bastien Sibille, le président de Mobicoop. L’événement a été officialisé le 19 juin, et la nouvelle coopérative a pris le nom de Mobicoop.
La coopérative propose aux collectivités de mettre en place un système de covoiturage à l’échelle de leur territoire, sans prendre de commissions sur les trajets. Le conducteur et le voyageur se mettent d’accord sur le prix du trajet sans intermédiation de la plateforme. Mobicoop se rémunère en vendant aux collectivités sa solution logicielle.
La coopérative affirme ne pas vouloir concurrencer les transports en commun d’un territoire mais souhaite proposer une alternative quand il n’y en a pas, notamment en milieu rural. Avec 500 000 utilisateurs, elle est présente dans 4 métropoles, 5 régions, ainsi que dans 100 communautés de communes. Soit un total de 2600 communes.
Y. G.

Ewa

Keolis continuera à exploiter les transports publics de la Communauté d’Agglomération du Haguenau

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Son contrat étant renouvelé à partir du 1er août, Keolis continuera à exploiter et à maintenir le réseau de transports publics de la Communauté d’Agglomération du Haguenau. Dans le cadre de cette nouvelle délégation de service public, Keolis Haguenau devra desservir, d’ici à 2022, 36 communes au lieu de 5 actuellement, soit 56 000 habitants de plus. Dans ce but, le réseau RITMO va s’enrichir d’une nouvelle ligne urbaine ainsi que de trois nouvelles lignes interurbaines. Il intègrera aussi les transports scolaires, qui étaient jusqu’alors gérés par la région Grand Est, et un service de transport à la demande couvrant trois nouvelles communes (Bischwiller, Brumath et Val-de-Moder).

Parmi d’autres nouveautés, deux bus électriques doivent être mis en service, l’information voyageur doit être améliorée et un système billettique sans contact sera lancé.

Le nouveau contrat, qui durera 7 ans, doit générer 31 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Ewa

Bruxelles vise la fin des voitures à moteur thermique en 2035

Bruxelles

Dans le cadre du Pacte vert pour l’Europe, la Commission a présenté hier un ensemble de propositions visant à adapter les politiques de l’Union en matière de climat, d’énergie, d’utilisation des terres, de transport et de fiscalité afin de permettre à l’Union de réduire ses émissions nettes de gaz à effet de serre d’au moins 55 % d’ici à 2030, par rapport aux niveaux de 1990. Parmi ces mesures, elle a décidé la mise en place de normes plus strictes en matière d’émissions de CO2 pour les voitures et les camionnettes. Elle compte imposer une réduction des émissions moyennes des voitures neuves de 55 % à partir de 2030 et de 100 % à partir de 2035 par rapport aux niveaux de 2021. « En conséquence, toutes les voitures neuves immatriculées à partir de 2035 seront des véhicules à émissions nulles« , indique la Commission. Parallèlement, les Etats membres devront « accroître leur capacité de recharge au rythme des ventes de véhicules à émissions nulles et d’installer des points de recharge et de ravitaillement à intervalles réguliers sur les grands axes routiers: tous les 60 kilomètres pour la recharge électrique et tous les 150 kilomètres pour le ravitaillement en hydrogène« , précise-t-elle.