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Ewa

Les Hauts-de-France lancent à leur tour un abonnement spécial télétravail

Logos TER Hauts-de-France

Pour s’adapter aux nouvelles habitudes de déplacements en TER liées au télétravail, la région des Hauts-de-France lance à partir du 1er mai, un nouvel abonnement. « Mon Abo 10 trajets » se compose d’un carnet pour 10 trajets, valable durant un mois glissant, sur un parcours défini au moment de l’achat. Il permet une réduction de 67 % par rapport au tarif de l’abonnement normal et il est éligible à la prime transport et permet donc de bénéficier d’un remboursement de 50 % par l’employeur.

Disponible aux distributeurs de billets régionaux et aux guichets de gares, il peut être chargé sur la carte Pass Pass en un ou plusieurs exemplaires sur la même carte.

Ces titres sont valables pour des trajets TER à l’intérieur des Hauts-de-France mais aussi vers Paris-­Nord, en empruntant des TER Hauts-de-France.

Ewa

Un ambitieux plan ferroviaire pour le Portugal

Après des décennies d’un -relatif- oubli du chemin de fer, les autorités portugaises ont récemment annoncé un ambitieux plan d’investissements de 12,6 milliards d’euros pour la modernisation du réseau ferroviaire, d’ici à 2030.

Parmi les projets prioritaires, la construction d’une ligne nouvelle entre Lisbonne et Porto doit permettre de faire le parcours en 1h15, c’est-à-dire en moitié moins de temps qu’actuellement. Ce ne sera pas une ligne à grande vitesse mais plutôt une “ligne à vitesse élevée”. Son coût est estimé en 4,5 milliards d’euros.

En complément, une nouvelle liaison entre Porto et la frontière espagnole est aussi prévue, permettant un parcours Porto-Vigo en une heure. Citons encore parmi d’autres projets, le “couloir international Sud”, déjà en construction, assurant une liaison plus directe des ports de Setúbal et Sines au réseau espagnol (frontière de Elvas/Badajoz).

D’autres investissements concernent l’électrification de lignes ou encore l’amélioration des accès par voie ferrée au port de Leixões, dans la banlieue de Porto.

Manuel Guedes-Vieira

Ewa

L’Occitanie cofinance une étude sur l’étoile ferroviaire toulousaine

Gare de Toulouse-Matabiau.

Le conseil régional d’Occitanie a voté un investissement de 927 000€ dans le cadre du CPER 2015-2020 afin de répondre à la hausse des besoins en déplacement par la modernisation de l’étoile ferroviaire toulousaine. Pour augmenter la capacité de la gare Matabiau, qui accueille 480 trains par jour, une étude de modernisation du remisage de 818 000€ sera financée à hauteur de 39% par la région. Par ailleurs, des études complémentaires à l’étude multimodale métropolitaine engagée pour soutenir l’ambition d’un RER/SEM (service express métropolitain) – étoile ferroviaire de Toulouse, d’un montant de 1,2 million d’euros, seront cofinancées à 50/50 par l’Etat et la Région. « Tout développement ultérieur de l’offre aux heures de pointe et de contre-pointe nécessitera la réalisation d’aménagements permettant d’augmenter la capacité du complexe ferroviaire de Toulouse Matabiau et des branches du nœud », indique la convention. Les scénarios d’ores et déjà définis s’appuient sur des dessertes diamétralisées et limitées aux haltes en interconnexion avec le métro. Trois personnes travailleront sur ces études pendant 24 mois au sein de SNCF Réseau.

L’association Rallumons l’étoile, qui milite pour la mise en place d’un RER sur l’étoile toulousaine, s’est félicitée de cette initiative volontariste mais s’est inquiétée auprès de la présidente de Région Carole Delga de l’absence de Tisséo Collectivités, pourtant en charge des transports en commun de l’agglomération. « Comment trouver un accord technique, politique et financier à l’avenir si Tisséo n’est pas pleinement associé à cette étude dès le début, y compris dans la définition de ses objectifs et dans son pilotage ? N’y a-t-il pas un risque que cette nouvelle étude ne permette pas d’aboutir à des choix partagés à la hauteur des enjeux, notamment dans le cadre du Contrat Etat-Région qui doit être signé à l’automne ? », s’interroge-t-elle dans un courrier, rappelant ses trois propositions pour une première étape du RER toulousain d’ici 2024 : tarification intégrée, lignes TER cadencées de 6h à minuit, meilleure coordination des bus avec les horaires des trains.

Catherine Stern

Ewa

La SNCF sur le point de céder Ermewa pour plus de 3 milliards d’euros

ermewa logo rs

Le groupe ferroviaire national est sur le point de céder sa filiale à 100 % Ermewa, spécialiste de la location de wagons, a annoncé la SNCF dans un communiqué le 23 avril. L’opération devrait se monter à 3,3 milliards d’euros, selon Les Echos du 21 avril. Un conseil d’administration de la SNCF devrait en effet approuver cette vente en l’accordant au tandem formé par la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) et par DWS, la société de gestion d’actifs de Deutsche Bank. C’est ce groupement qui a été le plus généreux des six candidats au rachat présélectionnés, précise le quotidien économique.

Depuis plusieurs mois, la SNCF, malmenée par la crise, réfléchit à des cessions de filiales pour rétablir ses comptes et financer sa dette. Le groupe a pour objectif de parvenir à l’équilibre financier à l’horizon 2024, conformément à la loi de réforme ferroviaire de 2018.

Ewa

Gares & Connexions est dans une impasse financière selon la Cour des comptes

Metz gare

Dans son précédent rapport dévoilé il y a un mois, qui saluait la gestion de la crise sanitaire par la SNCF, la Cour des comptes relevait déjà les limites du modèle économique du système ferroviaire, aggravées par la pandémie. Elle publie aujourd’hui un nouveau rapport sur l’activité de Gares & Connexions pour en pointer les faiblesses.

Les auteurs du rapport critiquent tout particulièrement les insuffisances en matière d’offre et de qualité de service. Si le maillage sur le territoire des 3000 gares gérées par Gares & Connexions est « cohérent », « offrant assez bonne proximité », leur classification (gares d’intérêt national, régional, local) basée sur le nombre de voyageurs accueillis et le trafic ne permet pas une gestion pertinente en termes de cohérence de tarification. « Ainsi, à Lyon Part-Dieu, la redevance par départ/train s’établissait en 2020 à 106,10 € pour un train national, contre 197,94€ à Meuse TGV », relève le gendarme des finances publiques. « Cette hétérogénéité des tarifs, qui n’est pas justifiée par des différences dans la nature des services offerts aux transporteurs dans les gares concernées, se traduit par des effets contre- productifs pour l’ensemble du système, en particulier dans les très grandes gares », ajoute-t-il.

Enfin, Gares & Connexions n’évalue pas suffisamment la qualité, ou sinon de façon peu pertinente et peu incitative, estime la Cour des comptes qui préconise une nouvelle classification distinguant les très grandes gares, les gares spécifiquement dédiées au TGV, les gares de ville avec un trafic régional important, les gares de proximité et les haltes ferroviaires, sur le modèle de certains autres pays européens.

Un modèle économique à revoir

Mais surtout, le modèle économique est à revoir, affirme la Cour. La filiale de SNCF Réseau perçoit en effet deux types de redevances : des redevances « régulées », versées par les transporteurs pour chaque départ de train. Son montant, sous le contrôle de l’Autorité de régulation des transports, doit correspondre aux charges supportées par Gares & Connexion. Il s’est élevé à 737 millions d’euros en 2019. Gares & Connexions perçoit aussi des redevances non régulées, essentiellement liées aux commerces en gare et calculées en fonction de leurs chiffres d’affaires (394 millions d’euros en 2019).

En théorie, ce modèle permet à la fois de couvrir les charges et de financer les investissements. Mais en pratique, non seulement il n’incite pas à la réalisation de gains de productivité (Gares & Connexions est assurée de voir ses charges couvertes) mais aussi, il est construit pour bénéficier aux transporteurs, puisqu’il met en place un mécanisme de rétrocession aux transporteurs de la moitié des bénéfices réalisés grâce aux activités non régulées. Il s’est ainsi traduit l’année dernière par un déficit de 66 millions d’euros supporté par Gares & Connexions.
Pour la Cour, il « ne permet pas à Gares et Connexions de disposer des moyens financiers nécessaires » alors que les besoins d’investissements vont continuer de croître. « En effet, Gares et Connexions s’est vu transférer, au 1er janvier 2020, la gestion des quais, des passerelles d’accès aux quais ainsi que des grandes halles voyageurs. Précédemment gérés par SNCF Réseau, ces actifs exigeront des investissements considérables pour être maintenus en bonne condition opérationnelle : leur transfert a ainsi plus que doublé les besoins d’investissements annuels de Gares et Connexions, qui prévoit d’investir plus de 1 Md€ chaque année entre 2020 et 2024 », expliquent les « Sages » de la rue Cambon. « De plus, les marges de manœuvre de l’entreprise en matière d’endettement sont limitées, tandis que le recours à des partenariats avec des financeurs privés pour financer de grands projets de développement a montré ses limites : une grande part de la valeur générée par les projets bénéficie ensuite aux partenaires privés qui ont contribué à leur financement », ajoutent-ils.

Gares & Connexions se retrouve donc « dans une impasse financière », affirme la Cour qui recommande de revoir les fondements du modèle économique du gestionnaire des gares. Ce qui passe notamment selon elle par la suppression du mécanisme de rétrocession des bénéfices aux transporteurs. Mais aussi, et surtout, par la prise en charge par l’État de ses responsabilités : « Aujourd’hui, l’État ne prend pas en charge le financement d’obligations dont il est pourtant responsable, pour un patrimoine qui lui appartient et dont Gares et Connexions n’est qu’affectataire ». Les comparaisons avec ce que fait l’État allemand ne sont pas flatteuses : en 2019, les subventions versées par l’État pour contribuer au financement des investissements en gares représentaient 32,7 M€, tandis que l’État fédéral allemand en accordait 362 M€.

La Cour espère que la négociation du contrat de performance entre l’État et la société anonyme Gares et Connexions représentera l’occasion « d’exprimer la stratégie choisie pour financer le réseau des gares (refonte du modèle économique, recherche d’autres formes de financement dont subventions de l’État) », tout en donnant aussi une place aux collectivités territoriales.

MHP

 

Ewa

L’UFC-Que Choisir soutient un seuil de quatre heures pour substituer le train à l’avion

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Alors que les députés doivent voter solennellement, le 4 mai, le projet de loi Climat et Résilience, suite à son examen en première lecture, l’UFC-Que Choisir est revenu sur l’article fixant à 2 h 30 le seuil d’interdiction des vols intérieurs lorsqu’une alternative existe par train. L’association de défense des consommateurs estime que cette disposition n’aboutira qu’à « un gain environnemental dérisoire », puisque seules cinq lignes (Paris – Bordeaux, Pari – Lyon, Paris – Nantes, Paris – Rennes et Lyon – Marseille), seraient supprimées, soit au total 12 % du trafic intérieur en France. Mais les réductions d’émissions de CO2 ne représenteraient que 3,5 % du transport aérien métropolitain, en raison des exemptions prévues pour les vols en correspondance.

L’association demande aux parlementaires de revenir aux propositions de la Convention citoyenne sur le climat qui fixaient le seuil à quatre heures. Dix-huit lignes aériennes seraient alors concernées, dont Paris – Marseille, aboutissant à une baisse des émissions de carbone de l’aérien de 12,5 %.

Ce sera bientôt au tour des sénateurs de se prononcer, le texte devant arriver vers la mi-juin au Palais du Luxembourg.

Ewa

Le gouvernement conforte la démarche de CARE de développer une filière ferroviaire de PME

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La démarche de l’association CARE (Compétitivité Accompagnement Rail Emploi) qui s’efforce de développer une filière française de PME-PMI autour des grands groupes ferroviaires, a été retenue début avril par le Premier ministre, lors du Conseil national de l’Industrie, « en raison de sa capacité à consolider la solidarité avec les PME », explique CARE dans un communiqué.

Une première consécration pour l’association qui a déjà réussi, depuis sa création en juillet 2020, à constituer une « grappe » de six entreprises dans les Hauts-de-France, sous-traitantes d’Alstom et de Bombardier.

« Nous avons sélectionné un premier groupe de six entreprises régionales des Hauts-de-France qui bénéficient, pendant un an, d’un accompagnement pour améliorer leurs performances en matière de délais de livraison, de qualité des pièces fournies ou de conditions de travail. L’accompagnement est confié à un expert du secteur ferroviaire, indépendant des entreprises parties prenantes mais aussi de CARE. Cela permet à chacun de s’exprimer en toute franchise mais aussi en confidentialité. C’est donc beaucoup mieux perçu qu’un audit qualité qui serait déclenché par le donneur d’ordres », explique Jean-Pierre Audoux, le président de CARE et ancien délégué général de la FIF (Fédération des industries ferroviaires). Et il poursuit : « Il faut convaincre ces petites entreprises locales de ne pas avoir peur de postuler comme sous-traitant, et convaincre les grandes entreprises que ces PME-PMI peuvent être d’excellentes partenaires. Leur proximité géographique offre une meilleure réactivité en cas de problème, et réduit de toute façon les délais de livraison par rapport à des sous-traitants étrangers. Ce qui compense en partie les différences de coûts ».

CARE poursuit son travail dans d’autres régions, en Bourgogne-Franche-Comté autour de la filière hydrogène, ainsi qu’en Auvergne-Rhône-Alpes, ou en Occitanie. Au moins quatre régions devraient ainsi participer financièrement à la création de ces grappes d’entreprises, en apportant la moitié des 175 000 d’euros nécessaires à leur constitution, le reste provenant des grandes entreprises.

Yann Goubin

Ewa

La concurrence s’intensifie sur le marché parisien du scooter électrique en libre service

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Les Parisiens connaissaient déjà les trottinettes et les vélos électriques de Lime. Ils vont pouvoir emprunter les scooters électriques que l’opérateur a lancés le 7 avril. Avec une centaine d’engins dans un premier temps, Lime veut rapidement en déployer un millier dans la capitale.
L’entreprise au logo en forme de tranche de citron vert élargit ainsi son offre «de transports doux, sûrs, abordables», en plus des vélos Jump, rouge fluo, qu’Uber avait apportés en prenant une participation, en mai 2020 dans Lime alors en difficultés financières, et les trottinettes que Lime a déjà déployées sous son nom et pour lesquelles il a été retenus par la Ville de Paris aux côtés de deux autres opérateurs.
Lime pense pouvoir couvrir une grande partie des besoins de mobilité des Parisiens et tenter de convertir les automobilistes à des modes doux en jouant sur son offre, les trottinettes étant utilisées pour des déplacements en moyenne de 2 km, les vélos sur 5 km et les scooters sur 8 à 9 km.
Pourtant, le moment n’est pas le plus propice pour se lancer, avec la baisse de la micromobilité liée à la crise sanitaire. « Lime enregistre deux trajets par jour et par engin depuis le début du mois pour les vélos comme pour les trottinettes. C’était trois plus avant la pandémie », indique l’entreprise. « Mais cela nous suffit pour atteindre l’équilibre d’exploitation », assure-t-elle.
Par ailleurs, la concurrence s’intensifie sur le bitume parisien. Lime entre en concurrence avec Cityscoot, jusqu’à présent le seul sur le marché avec ses scooters électriques en libre-service. Bertrand Fleurose, le fondateur et président de l’entreprise, avait annoncé, en février 2020, une flotte entre 4300 et 4800 véhicules à la fin 2020 pour anticiper une hausse des utilisations après l’arrêt en novembre 2019 des activités de Coup, une filiale de Bosch. En abandonnant la partie, Coup avait déclaré ne pas être suffisamment rentable.
Les deux opérateurs devraient aussi probablement partager le marché avec un troisième concurrent, Tier Mobility, l’une des trois entreprises autorisées par la Ville de Paris, fin septembre 2020, à exploiter des trottinettes dans la ville, moyennant une redevance. « Pour le moment, Tier est en réflexion sur la possibilité de lancer une telle offre dans les villes dans lesquelles elle est implantée », répond l’entreprise.
Tier Mobility avait racheté les quelque 5 000 scooters que Coup exploitait avant sa cessation d’activité, à Berlin, Paris et Madrid. Et l’opérateur de préciser : « Nous sommes en train d’évaluer les prochains déploiements avec ses scooters TIER (ex-COUP). Les projets pilotes lancés dans quatre villes allemandes (Berlin, Cologne, Munich et Hambourg) ont eu un beau succès, et nous sommes est en train de réfléchir aux prochaines implantations ».
Yann Goubin

Ewa

IDFM va dédommager les étudiants titulaires d’un forfait Imagine R

© Ile-de-France Mobilités

Ile-de-France Mobilités a approuvé le 14 avril la décision de dédommager, à hauteur de 85 euros, les étudiants titulaires d’un forfait Imagine R. En raison de la crise sanitaire et de l’organisation à distance des cours, les étudiants ont significativement réduit leurs déplacements mais ils ne peuvent pas suspendre leur abonnement (d’un coût de 342 euros hors frais de dossier), indique l’autorité régionale des transports, en estimant que cette mesure devrait bénéficier à 500 000 étudiants.

Pour pouvoir bénéficier de ce dédommagement, il suffira de se connecter sur la plateforme dédiée mondedommagementimaginer.fr, accessible depuis son ordinateur, sa tablette ou son smartphone, sera mise en ligne à partir du 22 avril 2021 et les étudiants pourront y faire leur demande jusqu’au 21 juin 2021 à 23h59.

Ewa

La fin du carnet de métro parisien prévue au 1er semestre 2022

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Au cours de son conseil d’administration  le 14 avril, Ile-de-France Mobilités a aussi approuvé l’arrêt de la vente des carnets de tickets de métro « papier » au cours du premier semestre 2022, ceux-ci devant être remplacés par des cartes.

Un « plan d’arrêt progressif » de leur vente « prévoit un accompagnement des usagers vers les produits tarifaires disponibles sur la carte Navigo Easy, les smartphones et le contrat Navigo Liberté+ », indique la délibération votée par les administrateurs d’IDFM.

La carte Navigo Easy permet d’acheter des tickets à l’unité ou en carnet. Elle est vendue 2 euros, rentabilisés au premier achat puisque les carnets de dix tickets sont vendus 2 euros plus cher.

La carte Navigo Liberté+ est une formule d’abonnement permettant d’accéder au réseau –à l’exception notable des RER et trains hors de Paris–, les trajets comptabilisés étant facturés le mois suivant.

Le ticket à l’unité, lui, restera en vente pour les voyages exceptionnels, a précisé un porte parole de l’autorité organisatrice des transport.