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Ewa

Transdev exploitera le réseau de bus de Melun Val de Seine

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Et de trois! Transdev a été « pressenti » pour exploiter les lignes de bus de l’agglomération de Melun Val de Seine. C’est le troisième lot gagné par le groupe de transport public après deux autres remportés en juillet dernier dans le cadre de l’ouverture à la concurrence du réseau de bus en grande et moyenne couronnes parisiennes. Un nouveau succès important pour Transdev, qui détenait jusqu’à présent la moitié de ce marche des bus « Optile ». Ce contrat de délégation de service public débutera au 1er août 2021 pour une durée de 5 ans. 

Rappelons que l’autorité organisatrice des mobilités franciliennes, IDFM, a redéfini 36 lots qu’elle ouvre à la concurrence, alors que jusqu’à présent les bus Optile faisaient l’objet de 140 contrats passés de gré à gré. L’ensemble des appels d’offres devrait avoir été lancé d’ici à la fin de l’année, les nouveaux délégataires devraient tous être connus mi-2022 et et les nouveaux contrats devraient tous devenir effectifs d’ici janvier 2023.

 

 

Ewa

Keolis remporte un nouveau contrat de bus aux Etats-Unis

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Depuis le 1er octobre, Keolis Transit America, la filiale américaine du groupe français, exploite le réseau de bus de Victor Valley, dans le Comté de San Bernardino en Californie du Sud. Ce contrat, gagné le 13 septembre dernier auprès de l’autorité organisatrice de transport de Victor Valley (Victor Valley Transport Authority), représente un chiffre d’affaires cumulé d’environ 110 millions d’euros.

D’une durée de cinq ans, avec une possibilité d’extension de cinq années supplémentaires, il prévoit l’exploitation et la maintenance d’un réseau de 114 bus, dont plus de 90 fonctionneront grâce aux énergies alternatives.

Avec ce contrat, Keolis continue d’accroître sa présence aux Etats-Unis après les récentes prolongations de ses contrats d’exploitation des réseaux de train de banlieue desservant Boston et Washington, et le gain d’un contrat de bus en Virginie.

Ewa

Gares & Connexions renforce ses liens avec l’AREP

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Marlène Dolveck, directrice générale de SNCF Gares & Connexions, est désormais également présidente du conseil de surveillance d’AREP.

raphael menard e1602159582689De son côté, Raphaël Ménard, président du directoire d’AREP, prend la direction de l’architecture et de l’environnement de la maison-mère, SNCF Gares & Connexions, une entité récemment créée et qui complète les sept autres directions de la SA.

« Ces deux nominations caractérisent la prise en compte de l’architecture et de l’environnement dans le cœur de métier de SNCF Gares & Connexions, le spécialiste de la gare« , explique un communiqué du gestionnaire des gares, en rappelant que tout récemment Philippe Bihouix a été nommé directeur général d’AREP. 

Ewa

La RATP dévoile sa nouvelle signature

La nouvelle campagne de communication de la RATP octobre 2020

“à demain”. C’est la nouvelle signature que la RATP a dévoilée le 5 octobre. « C’est une expression quotidienne, une invitation à se revoir. On se donne rendez-vous et on tient cette promesse », explique Mariah Camargo de Staal, responsable de l’unité Voyageurs et image en Île-de-France, de la RATP. « Nous avons choisi de montrer notre attachement aux voyageurs, c’est pourquoi nous avons retravaillé notre signature dans ce sens. Nous voulions montrer que le voyageur est placé au cœur de nos préoccupations. Cette signature doit incarner notre nouvelle posture “servicielle” », ajoute-t-elle.

On retrouve évidemment cette signature sous les différents portraits de voyageurs, pris sur le vif, qui composent la nouvelle campagne d’image. Chacun s’accompagne d’un slogan, « dans un langage populaire, direct, en connivence avec nos voyageurs » poursuit Mariah Camargo de Staal. Son équipe a opté pour une typographie, proche d’une écriture manuscrite, mais en majuscule. Cette typographie, spécialement créée pour la RATP, se décline en couleurs « pop » qui s’appliquent également au cadre qui entoure l’image, à la signature et au logo “visage”. Une première pour cette identité graphique qui, jusqu’à présent, ne portait que du vert jade et du bleu marine. On remarquera aussi l’absence du nom RATP. « Notre logo est tellement connu maintenant qu’on s’est autorisé à ne pas apposer le nom RATP ».

Cette campagne de communication, conçue avec l’agence Havas, va s’afficher sur 3 000 panneaux (850 panneaux de 2 m2 Clear Channel dans Paris) et écrans pendant 12 jours  dont 1 030 écrans numériques DOOH dans les transports en commun et 1980 affichages sur les quais du métro et du tramway. On la retrouvera aussi sur les mobiliers urbains parisiens, dans la presse papier francilienne. La RATP sera également présente sur les réseaux sociaux Twitter, Facebook, Instagram, LinkedIn et YouTube à travers trois vidéos dédiées.

Y. G. 

Ewa

Eliane Barbosa devient directrice des Opérations et des Territoires de Gares & Connexions

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Jusqu’alors directrice des Ressources humaines et du Management de SNCF Gares & Connexions, Eliane Barbosa est nommée directrice des Opérations et des Territoires. Elle est également membre du Comex.

Cette diplômée d’un master en ressources humaines du CNAM et d’un DESS en management des ressources humaines avait rejoint le groupe SNCF en 2001. Elle va désormais animer les 8 directions territoriales des gares (DTG) qui en pilotent l’exploitation, la maintenance ou les investissements. Elle devient de ce fait l’interlocutrice nationale des autorités organisatrices, à l’exception de l’Ile de France.

Ewa

Le plan de relance ferroviaire va profiter à l’Auvergne

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Le plan de relance ferroviaire commence à être décliné sur le plan régional : Auvergne-Rhône-Alpes et l’État ont signé, le 5 octobre, un accord pour investir 280 millions d’euros dans le réseau ferroviaire auvergnat, qui seront engagés sur les deux prochaines années. Ce qui représente une hausse de 130 % par rapport au contrat de plan Etat-Région (CPER), signé en juillet 2015, qui comportait un volet ferroviaire de 120 millions d’euros sur cinq ans, souligne la région, qui annonce qu’elle double ainsi sa participation.

130 millions d’euros pour Paris-Clermont-Ferrand 

Les investissements concernent en premier lieu la liaison ferroviaire Paris – Clermont-Ferrand. Sur cette ligne, un train sur deux arrive avec un retard de plus de cinq minutes entraînant une augmentation globale du temps de trajet. L’État consacrera 87 millions d’euros et la région 43 millions aux travaux qui doivent permettre de gagner 15 minutes sur les trajets avec arrêts, qui passeront de 3 h 30 à 3 h 15. Autres améliorations prévues : un aller-retour supplémentaire doit être créé d’ici 2021 (neuf allers-retours par jour contre huit actuellement) et la régularité des trains devrait passer à 90 % à horizon 2025,.

130 millions pour les petites lignes 

L’accord va également permettre d’accélérer l’investissement consacré aux petites lignes régionales qui représentent plus de 500 kilomètres. 130 millions d’euros supplémentaires vont ainsi être investis à parts égales par l’État et par la région (65 millions d’euros venant de la région, 65 millions d’euros de l’État). Déjà, en 2016, un plan de sauvetage des petites lignes auvergnates d’un montant total de 264 millions d’euros avait été annoncé, dont 125 millions d’euros par la Région. Plus de 120 millions d’euros ont déjà été investis sur ces lignes, dont 82 millions par la région.

20 millions pour le fret

Troisième volet du plan de relance : le fret. À l’horizon 2030, cinq lignes de fret ferroviaire sont menacées en Auvergne. La région et l’État ont donc décidé d’investir 20 millions d’euros, 10 millions d’euros chacun, pour rénover Volvic – Le Mont Dore (7,1 millions), Vichy – Puy-Guillaume (4 millions), Riom – Volvic (3,5 millions), Vichy – Cusset (3,5 millions) et La Ferté-Hauterive – Saint-Pourçain-sur-Sioule (2,6 millions). Ces investissements doivent permettre de transporter 1 million de tonnes de marchandises chaque année, soit près de 30 000 poids lourds évités et de « sauvegarder 1 500 emplois directs et indirects », estime la région.

Yann Goubin

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IDFM revoit son calendrier d’ouverture à la concurrence des bus Optile

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Longtemps évoquée, l’ouverture à la concurrence des bus Optile devient réalité. Ile-de-France Mobilités (IDFM) a défini 38 lots de lignes de bus en grande couronne qui vont tous être proposés à la concurrence, alors que jusqu’à présent 140 contrats étaient passés de gré à gré.

Deux premiers lots (soit 400 lignes de bus) ont déjà été attribués le 8 juillet dernier à Transdev. Le 8 octobre, un conseil d’administration d’IDFM devrait attribuer de nouveaux lots. Toutefois, même si l’autorité organisatrice maintient son objectif de lancer tous ses appels d’offres d’ici à la fin 2020 (aujourd’hui, la moitié des appels d’offres a été passée), elle a finalement décidé de ralentir le pas et l’ensemble des nouveaux contrats ne démarrera pas en janvier 2021 comme prévu. « Nous avons revu un peu notre calendrier pour ne pas trop se précipiter et laisser le temps aux opérateurs de se préparer. Nous connaîtrons tous les opérateur mi-2022, tous les contrats auront ainsi été attribués fin 2022« , explique à VRT Laurent Probst, le directeur général d’IDFM.

Ce n’est pas seulement la crise du Coronavirus qui a incité à desserrer le calendrier mais aussi les reproches des opérateurs de transport, notamment les plus petits, qui s’inquiétaient d’un rythme à marche forcée, qui les pénalisait. Ces doléances ont été reprises par l’Autorité de la Concurrence qui, dans son avis du 16 septembre, demandait à IDFM de ralentir. L’Autorité  juge en effet que “la concentration des appels d’offres associée à un rythme accéléré du processus au deuxième semestre 2020, est de nature à limiter la capacité de réponse de certains opérateurs qui n’ont pas les capacités pour répondre simultanément à de nombreux appels d’offres“. D’où un risque, ajoute-t-elle, “d’une forme de barrière à l’entrée pour certains opérateurs“. Le message a donc été bien reçue par l’autorité organisatrice des mobilités franciliennes, qui va laisser plus de temps aux opérateurs pour répondre.

MH P 

Pour en savoir plus sur l’ouverture à la concurrence en Ile-de-France, retrouvez-nous le jeudi 8 octobre à 17 heures, Espace Saint-Martin 75003, à l’occasion de nos Grands Prix de la Région Capitale (ici)

 

 

Ewa

Marseille lance la location de vélos électriques longue durée

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La métropole Aix-Marseille-Provence, qui souhaite soutenir l’usage du vélo, lance aujourd’hui un service de location de bicyclettes électriques longue durée (12 mois).  Le service baptisé « levélo+ » prévoit 1 000 vélos cette année, puis 1 000 de plus en 2021. Trois modèles sont disponibles : un urbain, un pliant et un “familial“ avec deux sièges enfants.

Les tarifs vont de 20 à  39 euros par mois pendant un an pour les usagers classiques (20 euros pour les bénéficiaires des minima sociaux, 24 euros pour le tarif combiné pass annuel intégral, étudiants et seniors). L’exploitation est confiée à la Régie des transports des Bouches-du-Rhône (RDT13) à travers dix boutiques mobiles « levélo+ » réparties dans l’agglo pour distribuer et reprendre les vélos. Le coût d’exploitation annuel est estimé à 740 000 euros par an pour une flotte de 2000 vélos.

Ewa

Jérôme Tolot va succéder à Joël Lebreton à la présidence du Conseil de surveillance de Keolis

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Directeur général des Chantiers du Cardinal depuis 2017, Jérôme Tolot a été nommé le 2 octobre administrateur de Keolis. Il prendra la présidence du Conseil de surveillance de Keolis à partir du 1er janvier, succédant à ce poste à Joël Lebreton.

Né en 1952, diplômé de de l’INSEAD, de l’Institut d’Études Politiques de Paris et titulaire d’un DESS d’économie, Jérôme Tolot connaît bien les collectivités locales en France et à l’international, ayant auparavant occupé les fonctions d’administrateur et directeur général de Suez Energie Services (devenue Engie Energie Services) et de directeur général adjoint d’Engie, membre du comité exécutif et administrateur de Suez. Il a aussi occupé des responsabilités à la Lyonnaise des Eaux, au cabinet de conseil McKinsey, à la banque Indosuez et au groupe Degrémont.

Avec cette nomination, qui été précédée le 24 août par l’arrivée de Marie-Ange Debon à la tête de Keolis, le chapitre qui s’était ouvert sur la gouvernance de Keolis, après le limogeage brutal de Patrick Jeantet début juin, est clos.

 

Ewa

Le métro du Grand Paris se dévoile

Métro du Grand Paris

Une étape symboliquement importante. C’est avec ces mots que Thierry Dallard, le président du directoire de la Société du Grand Paris, a présenté les futures rames qui rouleront sur les lignes 15, 16 et 17 du Grand Paris, dont une maquette grandeur nature est exposée à la Fabrique du Métro à Saint-Ouen (en Seine-Saint-Denis) à partir du 3 octobre*. « C’est le fruit de plusieurs années de travail », a résumé Henri Poupart-Lafarge, le PDG d’Alstom qui s’est vu attribuer il y a deux ans un contrat portant sur la conception et la fourniture de quelque 1 000 voitures avec des rames de six voitures pour la ligne 15 et de trois voitures pour les lignes 16 et 17.

Conçu à partir de la gamme Métropolis d’Alstom, ce nouveau métro automatique pourra circuler à une vitesse beaucoup plus élevée que le métro parisien : entre 55 et 65 km/h suivant les lignes, avec des pointes pouvant atteindre 110 km/h du fait des inter-stations importantes (le métro parisien circule entre 21 et 27 km, sauf sur la ligne 14 où il atteint près de 40 km/h).

Les rames, d’un grand gabarit (avec des voitures de 2,8 m de large, proche de celui d’un RER), sont ouvertes sur toute la longueur du train, facilitant la circulation d’une voiture à l’autre. Chaque voiture est équipée de trois larges portes et donne une impression d’espace avec peu de places assises. 500 à 1 000 passagers pourront être transportées selon les versions. Avec un code couleur : à côté des sièges bleus, les plus nombreux, les places rouges sont réservées aux voyageurs prioritaires. « Les dossiers des sièges remontent haut pour assurer plus de confort et les formes d’accoudoirs sont arrondis. Tout ce qui concerne la préhension part de très haut et va très bas (nous avons pensé aux enfants). Tout a été pensé dans les moindres détails », souligne Xavier Allard, le directeur du design chez Alstom.

« Nous voulions un espace le plus large possible et l’ambiance la plus lumineuse pour donner une impression de sécurité et de propreté », explique Régine Charvet Pello du cabinet RCP, qui a participé à l’écriture du cahier des charges pour le design. Les extrémités des trains sont totalement ouvertes grâce à des pare-brises panoramiques. Une prouesse technique, selon Xavier Allard. « Il y a eu tout un travail de reprise de caisse pour aboutir à cet espace avant totalement ouvert », raconte le patron du design chez Alstom. « Les sièges sont suspendus pour laisser le sol entièrement accessible », ajoute-t-il. Toujours dans cet objectif de donner une impression d’espace, ce qui facilitera du même coup le nettoyage.

Ce métro sera également sous surveillance avec six caméras installées dans chaque voiture et des interphones pour contacter les agents au cas où… Sur toute la longueur du train, des écrans informeront les voyageurs sur le plan de la ligne, les horaires d’arrivée… Les taux de remplissage seront même communiqués pour permettre aux voyageurs de bien se placer sur les quais.

« Ce sera une vitrine pour Alstom », se réjouit Henri Poupart-Lafarge qui annonce les premiers essais l’année prochaine et les premières livraisons à partir de 2023-2024.  Rien qu’avec ce contrat, le constructeur français estime avoir devant lui une dizaine d’années de travail.

M.-H. P.

* Portes ouvertes chaque premier samedi du mois, ainsi que visites sur réservation 

(https://www.societedugrandparis.fr/fabrique)