Le difficile marché de la grande vitesse
05 Nov 2018
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Article présent dans le dossier : Les futurs concurrents de la SNCF
Sommaire
- Les futurs concurrents de la SNCF
- Le difficile marché de la grande vitesse
- Quand la SNCF fait la liste de ses concurrents potentiels
- Ceux qu'on devrait voir tout de suite
- Ceux qu'on devrait voir très vite
- Ceux qu'on pourrait voir plus tard
- « L’appel à manifestation d’intérêt nous a permis de mieux connaître les opérateurs »
- L’expérience britannique
- Les exploitants espagnols visent plutôt les relations transfrontalières
« Pas un opérateur ne s’intéresse raisonnablement à la grande vitesse. La SNCF est devenue très puissante et ses prix sont ultra-compétitifs », entend-on dire un peu partout. Certes, la SNCF, en inventant Ouigo (TGV à bas coût), inOui (TGV « value for money »), en étant à l’initiative de trains à grande vitesse internationaux, a pris une place énorme sur le marché le plus attractif d’Europe. Et a fait en sorte qu’il ne soit pas facile à un concurrent de se faufiler. Bon courage pour produire moins cher que Ouigo…
Mais Guillaume Pepy, le PDG de SNCF Mobilités, nuance le propos : les concurrents, à qui il reviendra de chercher de bonnes idées, ne manqueront pas d’en trouver. Qu’ils envisagent, par exemple des trains grande vitesse à très haute qualité de service, ou qu’ils proposent des relations que la SNCF n’a pas eu l’envie d’exploiter. Mais ce ne sera sans doute pas pour tout de suite.
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Retrouvez le dossier Les futurs concurrents de la SNCF dans le magazine VR&T n°617