fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Les métros sur la voie de l’autonomie

12 Nov 2019

Dossiers > Les métros sur la voie de l’autonomie

Automatiser la conduite des métros n’est pas une idée neuve. A Paris, le pilotage automatique PA 135 fut introduit au début des années soixante-dix. Ce système assure la marche des trains de façon autonome d’une station à l’autre. Ainsi le conducteur n’intervient-il qu’en station, pour le « service voyageurs », en donnant l’autorisation de départ. Sur ce tout premier pilotage automatique, la marche des trains se trouve inscrite dans la voie, sous la forme de grecques dessinées par un câble inducteur qui court lui-même dans un tapis posé entre les deux files de rails. Comme les capteurs fixés sous la rame désirent toujours « voir » le même intervalle de temps s’écouler entre deux redans successifs de la grecque, il suffit donc de rapprocher ces redans pour engendrer un ralentissement ou de les éloigner pour provoquer une accélération. En approche d’un signal de cantonnement, deux grecques sont superposées à l’intérieur du tapis, l’une pour l’arrêt avant le signal et l’autre pour son franchissement à la vitesse limite de la ligne, seule étant alimentée la grecque qui correspond à l’indication alors portée par le signal. De conception purement analogique, à une époque où le numérique était encore dans les limbes, le PA 135 continue pourtant de donner entière satisfaction, et sa robustesse n’a jamais été prise en défaut. Toutefois, il présente deux inconvénients. Le premier réside dans l’interdépendance entre le dessin de la grecque et les performances en freinage et accélération du matériel roulant : si on change de type de rame, on doit alors aussi changer ...

Il vous reste 82% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Les métros sur la voie de l’autonomie dans le magazine VR&T n°629

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique