Désormais il est possible de réserver son billet de tramway Rhônexpress sur le site de la compagnie aérienne low cost Hop! Les voyageurs pourront ainsi se rendre directement au tram à la sortie de leur avion et rejoindre le centre-ville. En moins de 30 minutes, la navette relie tous les jours l'aéroport au centre d'affaires Lyon Part-Dieu, au centre historique de la ville en passant par la presqu'île, et à l'ensemble des infrastructures de transport de l'agglomération lyonnaise.
Rhônexpress a transporté 1 170 000 passagers en 2013. C'est le premier partenariat d'intermodalité pour Rhônexpress.
65 % des Français disent renoncer à un spectacle, un concert ou à une rencontre sportive face à la complexité d’organisation du voyage, révèle un… sondage Harris commandé par voyage-sncf.com. C’est, dit l’agence de voyage internet de la SNCF, ce qui l’a décidé à lancer Instants V, des offres de voyages regroupant un événement sportif ou culturel, une entrée dans un musée ou un parc d’attraction, et, bien sûr, le voyage en train qui va avec. Aujourd'hui, 80 % des clients de ces événements y vont en voiture.
Pour l’instant, seule une partie des packages proposés associent aussi l’hébergement et/ou le porte-à-porte, c’est-à-dire les transferts de la gare vers le lieu de l’événement. Voyages-sncf.com va travailler cette année pour proposer des offres tout compris en misant sur la simplicité de réservation. En cinq clics seulement, sur une même plateforme, la prestation sera accessible par un onglet sur le site VSC, permettant de trouver le meilleur train et le meilleur tarif, incluant les titres de réduction que le client possède déjà, associé à la destination de loisirs choisie. Limité au trajet TGV, le service doit rapidement s’ouvrir à tous les trains, Ouigo compris.
Pour construire cette plateforme, vingt personnes ont travaillé deux ans. Voyages-sncf insiste sur les partenariats qu’elle a noué avec les producteurs de spectacles, de concerts, les ligues sportives et surtout avec France Billet, filiale de la FNAC. VSC veut rapidement étendre ces packages à des clients étrangers, surfant sur l’attrait touristique de l’Hexagone. Des clients américains, chinois ou coréens, venus en avion, donc sans leurs voitures pour se déplacer. Le site garantit le remboursement du package en cas d’annulation du spectacle, sans suppléments ou assurance supplémentaire.
Avec les Instants V, voyages-sncf.com veut capter 10 % de clients en plus d’ici 2017, soit un million de nouveaux voyageurs.
La fraude ça coûte. C’est ce qui a sans doute motivé les élus de la communauté de communes Chauny-Tergnier (CCCT) à prendre des mesures contre cette pratique, lors d’un conseil communautaire, le 22 octobre dernier. La fraude ça coûte. C’est ce qui a sans doute motivé les élus de la communauté de communes Chauny-Tergnier (CCCT) à prendre des mesures contre cette pratique, lors d’un conseil communautaire, le 22 octobre dernier. A cette occasion, il a été confirmé que les billets non achetés par les voyageurs peu scrupuleux représentaient l’équivalent de 7 % des recettes. Certes, la somme n’est pas très élevée, d’autant moins que les recettes ne couvrent pas le coût des transports. Et les élus pourraient se féliciter de la réussite du réseau de transport en commun dont la qualité et l’adéquation pousseraient quelques voyageurs à enfreindre la loi. Le réseau avait été amélioré en décembre 2011. Mais le président de la CCCT, Jacques Desallangre a insisté auprès des élus du conseil pour dire que la fraude était très mal perçue par les usagers en règle qui, eux s’acquittent d’un titre de transport.
Les élus de la CCCT ont donc voté deux nouveaux niveaux de sanctions qui s’inspirent du barème RATP-SNCF en Ile-de-France. Une amende de 46 euros pour défaut de titre de transports et de 30,50 euros pour un titre non valable comme un billet non composté. Assortie d’une majoration de 30 euros pour non-paiement d’une amende dans un délai de trois semaines. La sanction ou simplement la crainte de la voir s’appliquer semble déjà faire effet : après quelques verbalisations, les agents des TACT constatent un retour à la normale.
Les habitants de l’agglomération du Puy-en-Velay prennent de plus en plus les bus Tudip : 8,1 % de hausse de la fréquentation entre 2009 et 2010, et 10,6 % sur trois ans. Les habitants de l’agglomération du Puy-en-Velay prennent de plus en plus les bus Tudip : 8,1 % de hausse de la fréquentation entre 2009 et 2010, et 10,6 % sur trois ans. C’est le résultat d’une offre qui s’étoffe, notamment avec le lancement du TAD, le 16 mars dernier (voir VR&T n° 517 du 6 avril 2011). Mais pas seulement. « Avec la ligne au quart d’heure, de nouveaux horaires et de nouvelles dessertes, on essaie de penser grand public », explique Willy Guieau, vice- président de la communauté d’agglomération du Puy-en-Velay. « Il faut chercher une alternative à la voiture, de nombreux foyers décident de n’en conserver qu’une pour la famille », poursuit-il. La plus forte hausse concerne l’augmentation des abonnements « jeunes ». Ils ont progressé de 20 % sur les quatre premiers mois de l’année 2011 par rapport à la même période de 2010. L’année dernière, justement, ils avaient connu une hausse de 7,68 % par rapport à 2009. Même bons résultats avec les abonnements « actifs ». Plus 15,10 % de fréquentation sur les quatre premiers mois de l’année 2011, et + 16,10 % en 2010. Ce qui surprend, c’est la baisse des abonnements « Age d’or », alors que la population du Puy-en-Velay est plutôt vieillissante. La Régie des transports de la communauté d’agglomération du Puy-en-Velay (RTCA) a vendu 2 209 carnets en 2010, alors qu’il s’en était vendu 2 291 en 2008. Parallèlement, l’achat de tickets à l’unité n’a progressé que de 2,41 % entre 2009 et 2010, même si la hausse est de 4,04 % sur les quatre premiers mois de 2011 par rapport à la même période de 2010. Ces bons résultats devraient encore être maintenus par la création d’une navette de centre-ville. Lancés le 1er juin, deux minibus de 20 places, accessibles aux PMR, vont circuler jusqu’au 30 septembre. Une autre expérience plus longue a débuté le 29 juin. Il s’agit de desservir Taulhac-près-le-Puy (plus six arrêts intermédiaires), difficile d’accès par les lignes régulières de bus, avec le service de TAD, le mercredi après-midi. Dans six mois, le 4 janvier 2012, la communauté d’agglomération décidera de pérenniser le service en fonction de la fréquentation.
Pour ses dix ans, la start-up du groupe SNCF veut désormais jouer dans la cour des grands et se revendique comme un groupe industriel du commerce digital. Surfant sur l’explosion du m-commerce (commerce mobile), elle multiplie les partenariats. Et mise résolument sur l’international. Avec 300 millions de volume d’affaires en mai, voyages-sncf.com vient de connaître son mois record. Certes, comme le reconnaît Yves Tyrode, son directeur général, c’est à relativiser car « avec les événements géopolitiques, les gens ont privilégié la France ». Cela illustre toutefois bien la croissance régulière des ventes depuis dix ans pour la société du groupe SNCF, qui est devenue la première agence de ligne en France. Et celle qui était apparue comme une start-up se voit désormais comme « un groupe industriel du commerce digital ». En 2010, le volume d’affaires, en progression de 18 %, a atteint 2,8 milliards d’euros, ce qui représente 36 % du chiffre d’affaires de la branche SNCF Voyages. C’est d’ailleurs avant tout le train qui tire ce volume à la hausse, qui y dépasse les 20 % en 2010 à 2,575 milliards d’euros, alors que le volume réalisé en tant qu’agence de voyage, exploitée avec Expedia, est en baisse de 4 %, ceci étant en particulier lié aux conséquences aériennes de l’éruption du volcan islandais. La croissance sur le train reste soutenue, puisqu’elle représente à nouveau 17,50 % depuis le début de l’année.
Significatif, dans ce contexte porteur, le volume de sa filiale TGV-europe.com, qui vend seulement des billets de trains dans 22 pays, bénéficie d’une hausse qui dépasse les 30 %. Yves Tyrode l’affirme, « notre grand levier de croissance est à l’international ». En cela, les propos du responsable de cette société du groupe SNCF font pleinement écho à ceux tout récemment tenus par Barbara Dalibard, directrice générale SNCF Voyages : « Il y a une véritable opportunité de développement de la grande vitesse dans les pays limitrophes. On surfe sur notre connaissance de la grande vitesse pour la développer ailleurs. C’est notre relais de croissance. » Reste à en retirer tous les bénéfices après s’être posé deux questions majeures : où se trouve la valeur ? Qui en profite ? Pour Barbara Dalibard, « dans un univers de plus en plus concurrentiel, pour vendre des billets à l’international de bout à bout, sans couture, la distribution va être un élément clé. La concurrence n’arrive pas forcément là où on l’attend », autrement dit chez les exploitants intéressés par le réseau national. « Il y a les distributeurs sur le net, les concurrents cachés, qui ont au moins autant d’impact. On risque de se retrouver à rémunérer des interfaces entre nous et le client. Par exemple nous payons cher Google, des millions d’euros, lorsque l’on clique pour acheter un voyage SNCF… Or je ne veux pas quelqu’un entre moi et mon client. »
Ceci d’autant plus que, selon Yves Tyrode, 2011 est « une année charnière pour le e-commerce en France ». Avec des opportunités à saisir avant les autres, en misant en particulier sur « l’explosion » du mobile. Depuis le début de l’année, le volume d’affaires atteint 20 millions d’euros, soit une hausse de 100 % par rapport aux mêmes mois de 2010. En ligne de mire également, le e-billet qui représente déjà un billet sur quatre vendus par voyages-sncf.com, soit trois fois plus qu’en 2010. Et la dématérialisation des billets, à l’instar de ce que Thalys doit généraliser en septembre, avec le titre de transport sur le mobile, est expérimentée sur Paris – Lille avant d’être déployée en 2012.
Dans les mois et les années à venir, voyages-sncf.com compte fortement sur « l’explosion du m-commerce », avec ses applications sur les mobiles, les smartphones et plus récemment les tablettes numériques, pour développer son activité. Pour cela, la SNCF multiplie les applications et les partenariats. Comme les plus récents noués avec Microsoft, avec son application disponible sur Windows Phone 7 et l’intégration de la cartographie Bing Maps.
Et puis, il y a les réseaux sociaux, la « troisième révolution d’e-commerce ». Après Twitter, un partenariat vient ainsi d’être conclu avec Facebook et, notamment, l’application « petits voyages entre amis », pour faciliter l’organisation de voyages en petits groupes. Quant aux charters et voyages thématiques, l’offre vient d’être élargie grâce au partenariat noué avec Karavel-Promovacances. Histoire de garder, à la pointe des technologies, toujours un train d’avance.
Avec une hausse de 26,4 %, le prix moyen au kilomètre du TGV a augmenté, entre 2002 et 2009, deux fois plus vite que l’inflation. Avec une hausse de 26,4 %, le prix moyen au kilomètre du TGV a augmenté, entre 2002 et 2009, deux fois plus vite que l’inflation. Le quotidien Les Echos a révélé ces chiffres, tirés d’un rapport sur le modèle économique du TGV remis au printemps dernier par le cabinet d’audit Boston Consulting Group au gouvernement et à la direction de la SNCF. Ils s’appuient sur le « PMvk » (produit moyen par voyageur et par kilomètre), indicateur de référence habituellement gardé très secret par la SNCF. Cet indice aurait augmenté, en moyenne, de 3,4 % chaque année alors que l’inflation se situait sur la même période à 1,7 %.
Parallèlement, le prix moyen des billets — soit le chiffre d’affaires divisé par le nombre de voyageurs — suit une même tendance à la hausse, puisqu’il est passé en huit ans de 38,2 à 45,20 euros, soit une hausse de 18,4 %. Pour la SNCF, on compare toutefois ce qui ne l’est pas vraiment. Ainsi, ce ne serait pas le prix mais le « panier moyen » qui serait à la hausse, les billets étant achetés avec davantage de services. Interrogée par Les Echos, Barbara Dalibard, directrice générale chargée de SNCF Voyages, pointe trois explications majeures pour expliquer cette évolution des prix.
Au cours de ces « années dorées » pour la grande vitesse à la française, le taux de croissance de la première classe est deux fois plus élevé que celui de la seconde. De 1999 à 2009, la hausse du nombre de voyages est de 80 % en première classe et 38 % en seconde. Et puis, de nouvelles liaisons à grande vitesse, mettant par exemple Marseille à trois heures de Paris, ont offert de nouvelles perspectives face à l’aérien avec une clientèle moins à la recherche du plus petit prix, avec des « produits professionnels » plus chers. Enfin, comme le souligne Barbara Dalibard, « l’augmentation de l’offre TGV est passée ces dernières années par des trajets de plus courte distance ou des trajets internationaux, ce qui a mécaniquement renchéri le revenu au kilomètre ».
Si l’on ne prenait pas en compte ces trois effets majeurs, la hausse serait donc comparable, selon la SNCF, à celle de l’inflation. Avec environ 0,5 point de hausse des prix moyens au-dessus de l’inflation. Et la tendance serait même à une légère baisse si l’on incorpore l’offre iDTGV, filiale à bas prix de la SNCF. Barbara Dalibard s’engage d’ailleurs « à rester la grande vitesse la moins chère d’Europe ». Une allusion à l’étude réalisée par Ernst & Young pour le gouvernement et dont nous avions fait état début 2010, indiquant que les trains français étaient moins chers, notamment, que les trains allemands et espagnols.
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