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Ewa

Billettique : commande groupée pour Brest, Lorient et Quimper

Les trois agglomérations ont constitué un groupement de commandes pour l?achat d?un même système de billettique pour leurs réseaux de transport public Les trois agglomérations, ainsi que le partenaire privé Keolis Brest, ont constitué un groupement de commandes pour l’achat d’un même système de billettique pour leurs réseaux de transport public, suivant la norme Korrigo. Développée par le conseil régional de Bretagne pour les TER de la SNCF, les cars du conseil général d’Ille-et-Vilaine, les bus et le métro de Rennes Métropole, cette carte multimodale a pour objectif de s’étendre à terme à l’ensemble des transports bretons. L’initiative revient à Brest Métropole Océane (BMO), désignée comme coordonnatrice.  « Notre expérience positive d’achat groupé avec Dijon pour le matériel roulant nous a confortés dans cette voie, déclare Antoine Stouff, directeur des déplacements de BMO. Nous avons sollicité d’autres collectivités bretonnes, mais seules Quimper et Lorient étaient sur des calendriers compatibles. » Ce groupement d’achat permet de doubler le coût du marché total, qui se situe entre 5 et 7 millions d’euros. Les trois agglomérations espèrent ainsi réaliser des économies d’échelle, mais également accroître l’image d’intermodalité de la carte des transports bretons. Les trois agglomérations et Keolis travaillent actuellement de concert à la réalisation d’un cahier des charges. L’appel d’offres sera lancé fin juin pour une décision finale en novembre. La mise en service est prévue pour juin 2012, en même temps que le tramway de Brest. C’est également à cette date que la région souhaite étendre le système Korrigo pour le TER aux trois agglomérations.
 

Sylvie LUNEAU

Ewa

Benex s?attaque au monopole de vente de billets de la Bahn

La compagnie veut reprendre le contrôle de ses opérations de billetterie qu?elle sous-traite actuellement à la DB. L?objectif est de réaliser des économies et de renforcer son image auprès de ses usagers C’est bientôt la fin d’une époque en Allemagne : d’ici la fin de l’année, la Deutsche Bahn ne sera plus la seule compagnie à assurer des opérations de billetterie en gare. A côté des guichets blanc et rouge de l’opérateur public, figureront désormais ceux de Benex.
La compagnie hambourgeoise vient d’annoncer qu’elle allait mettre sur pied son propre réseau de vente de titres de transport. Guichets automatiques, site Internet : l’opérateur veut reprendre la main sur une activité qu’elle sous-traitait jusqu’ici à la Bahn.
Car Benex estime aujourd’hui que les provisions réclamées par la compagnie publique pour assurer ce service sont trop élevées : entre 12 et 20 % du prix du billet. « Nous sommes pieds et poings liés à la Bahn, sans pouvoir exercer la moindre influence », déplore Wolfgang Dirksen, le directeur de la compagnie. En s’attaquant au monopole de la DB, elle entend diviser par deux les frais de billetterie. L’investissement de départ se chiffre à « plusieurs dizaines de millions d’euros, mais il sera vite rentabilisé », assure un porte-parole. « D’autant que la gestion de la DB est très opaque. »
Cette démarche témoigne aussi des ambitions de Benex : principal challenger de la DB, il contrôle déjà 6 % du trafic régional. Mais « l’opérateur qui monte » voit déjà plus loin et vise une part de marché de 10 % d’ici 2015, soit une capacité de transport de 60 millions de trains-km. Détenu par le fonds d’investissement INPP et la compagnie publique de transports Hamburger Hochbahn, Benex prévoit ainsi d’acheter jusqu’à 450 trains pour un montant de deux milliards d’euros.
En attendant, la vente des billets va lui permettre de renforcer son image auprès des usagers. « Nous entendons mieux conseiller et mieux prendre en charge nos voyageurs », poursuit le patron de Benex. « A l’avenir, il sera possible de réserver sa place, même sur des trajets de courte distance, et à un prix inférieur à celui d’aujourd’hui. » Dès le mois de décembre, les usagers pourront aussi acheter leur ticket via un téléphone portable.
Les premiers guichets seront installés dans les gares que la compagnie dessert à l’est de l’Allemagne sous la marque Odeg. Dans un deuxième temps, suivra la Bavière où Benex exploite plusieurs franchises sous la bannière Agilis.
 

Antoine?HEULARD

Ewa

L?Oise lance un PPP pour la billettique et l?information multimodale

Le Syndicat mixte des transports collectifs de l?Oise vient de signer un contrat de partenariat public-privé avec le groupement des deux sociétés spécialisées en information voyageurs et billettique Afin de faciliter les déplacements, le Syndicat mixte des transports collectifs de l’Oise (SMTCO) vient de signer un contrat de partenariat public-privé (PPP) avec le groupement des deux sociétés spécialisées en information voyageurs et billettique, Cityway et ERG, pour la création, le financement et l’exploitation de son projet Sismo (système innovant pour informer et faciliter l’usage des transports collectifs publics dans l’Oise). Cette signature d’un contrat de 12 ans intervient à l’issue d’une procédure de mise en concurrence. Le projet consiste en un système intégré de billettique multimodale (carte à puce) et une plateforme d’information multimodale.
Les fonctionnalités souhaitées sont nombreuses, allant du comptage des voyageurs au SAEIV, en passant par une agence de mobilité, un site Internet avec calcul d’itinéraires, la gestion de la réservation du TAD, du covoiturage, des taxis, et un observatoire de la mobilité. Le tout à mettre en place progressivement entre cet été et mars 2012. Sur le territoire du département, treize AOT sont concernées et autant d’exploitants.
Parmi les difficultés, le projet doit intégrer la possibilité d’interopérabilité des titres de transport avec le Navigo francilien et ceux des départements voisins de l’Oise. Pour cette mission globale (financement, conception, exploitation), le SMTCO paiera une redevance annuelle moyenne de 2,9 millions d’euros sur 12 ans. L’investissement du partenaire privé pour équiper tous les réseaux de transport collectif de l’Oise (500 cars départementaux, 25 cars régionaux, 120 bus urbains, 35 minibus et véhicules légers TAD, panneaux d’information aux principaux arrêts, 90 000 cartes sans contact, postes de vente…) représente plus de 8 millions d’euros.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

En un an, la carte Liberté adoptée par 20 000 personnes à Tours

Lancée en janvier 2009, la carte Liberté du réseau tourangeau Fil bleu (Keolis) a pour particularité de fonctionner en post-paiement Carte sans contact comme la Navigo francilienne, la carte Liberté permet de payer ses trajets par prélèvement bancaire le 15 du mois suivant. Destinée aux abonnés comme aux voyageurs occasionnels, elle a été distribuée à 20 000 exemplaires. Avantages : plus besoin d’acheter ses titres à l’avance, impossibilité de se retrouver avec une carte sans titres de transport crédités et, de plus, la certitude de bénéficier du tarif le plus avantageux. En effet, le coût d’un trajet unique est de 1,05 euro au lieu de 1,25 euro, et l’abonnement devenant plus économique au-delà de 30 voyages mensuels, le client qui passe ce seuil se voit immédiatement proposer un abonnement. La moitié des détenteurs de la carte Liberté sont ainsi des abonnés. Par ailleurs, Fil bleu estime que 40 % des voyageurs occasionnels qui ont choisi la nouvelle formule billettique ont accru leur mobilité. Ils font en moyenne douze trajets par mois, c’est plus que les utilisateurs de carnets de tickets. A Tours, l’initiative a pu voir le jour grâce au soutien de la mairie (la carte est distribuée gratuitement), et le groupe Keolis envisage de la déployer ailleurs. Il la propose même dans ses réponses aux appels d’offres. Le produit sera proposé à Brest, où Keolis a été reconduit à l’automne dernier, puis peut-être à Lyon. Le post-paiement permet en effet de développer l’usage occasionnel du transport public. A terme, la carte pourrait aussi devenir intermodale et donner accès aux TER.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

Le boom des billets d?occasion

En réponse à la crise et aux tarifs SNCF, les voyageurs deviennent de plus en plus adeptes de « la débrouille ». Une aubaine pour les sites de revente des billets Avec la crise et des tarifs SNCF qui augmentent régulièrement et qui sont jugés globalement opaques et élevés, les voyageurs se tournent de plus en plus vers le système D. Et ce sont les sites de revente des billets d’occasion qui se frottent les mains : ils ont vu leur fréquentation plus que doubler en 2009. Ainsi Zepass.com affiche-t-il un record de 113 200 billets vendus contre 52 900 en 2008, soit une hausse de 114 %. Quant à kelbillet.com , près de 110 000 billets s’y sont échangés contre moins de 50 000 en 2008, soit 120 % de croissance. Les billets sont revendus sur Zepass.com avec une décote moyenne de 15 % sur leur valeur initiale, elle-même souvent promotionnelle. Ainsi le prix de revente moyen d’un Paris – Marseille s’est établi à 40,14 euros en décembre, soit la moitié du nouveau tarif Loisir 2de classe (82,40 euros). Selon ces sites spécialisés, la tendance devrait se poursuivre. Le fondateur de kelbillet.com Yann Raoul pronostique « entre 30 et 50 % d’augmentation », tandis que Zepass.com table lui sur le doublement de son volume de transactions, en 2010. « Les tarifs TGV Loisir augmentent, alors que ceux des billets promotionnels non échangeables et non remboursables sont gelés, explique Quentin Schaepelynck, son fondateur. Le différentiel entre les tarifs promotionnels et les tarifs standard va donc s’accroître, et il sera encore plus tentant financièrement de réserver ses billets de train plusieurs mois à l’avance, avec tous les risques d’annulation que cela implique. »
Cécile NANGERONI

Ewa

Grenoble teste la vente par Internet

Depuis le 20 novembre, un panel de 300 clients, dont 70 % d?abonnés, expérimentent pendant trois mois l?achat sur Internet de leurs tickets Tag, le réseau urbain de Grenoble Depuis le 20 novembre, un panel de 300 clients, dont 70 % d’abonnés, expérimentent pendant trois mois l’achat sur Internet de leurs tickets Tag, le réseau urbain de Grenoble. Les applications développées par Transdev pour le réseau de Montpellier (dont l’expérimentation commerciale a débuté en octobre 2009) et pour le réseau grenoblois constituent « une première en France, puisqu’elles permettent d’effectuer de chez soi le paiement et le rechargement de son titre de transport sur un site sécurisé », explique-on chez Transdev. Une première déclinée aussi à Strasbourg. Le système nécessite l’utilisation soit d’une clé USB, soit d’un lecteur de cartes se connectant au port USB de l’ordinateur. La première est nominative et fait ensuite office de titre de transport, tandis que le second permet de recharger les cartes de toute la famille, qu’elle soit Tag ou Oùra! (le titre multimodal). Sur le site du transporteur, le client dispose ensuite d’un espace personnel où consulter le contenu de sa carte ou de sa clé, mais aussi le temps d’attente des bus ou trams aux arrêts sélectionnés. Autant de services qui avaient été plébiscités lors de l’expérimentation Mobitag (un produit identique mais sur téléphone mobile) menée en 2007 avec Bouygues Telecom. 100 clients testeront la clé USB personnalisée, les 200 autres un lecteur de cartes. Le grand public devrait bénéficier de ce nouveau service de vente à distance à partir de juin 2010.
 

Cécile?NANGERONI

Ewa

KorriGo à la conquête de la Bretagne

Dans la région de Rennes, plus de 150 000 personnes ont désormais la « carte bretonne des déplacements » dans leur portefeuille Baptisé KorriGo, l’équivalent local du Navigo francilien et de l’OùRA rhônalpin a été lancé en mars 2006 sur le réseau Star. Bien sûr, les usagers ont eu un peu de mal à se faire à la validation systématique de leur titre de transport au début, mais ce pass qui ressemble à une carte de crédit est maintenant rentré dans les mœurs. Il ne sert pas qu’aux abonnés, puisque le carnet de dix tickets (électroniques, en l’espèce) est moins cher avec. KorriGo permet de charger plusieurs tickets ou abonnements sur le même support, facilitant le passage d’un mode à l’autre sans repasser à la caisse. Depuis son apparition sur le réseau urbain rennais, la carte KorriGo a été introduite (fin 2006) sur les TER de l’étoile ferroviaire de Rennes puis (à la rentrée 2007) sur les cars Illenoo du conseil général d’Ille-et-Vilaine. Depuis janvier 2009, la région Bretagne a étendu son périmètre KorriGo jusqu’à Saint-Malo, Dinan, Saint-Brieuc, Vannes et Châteaubriant, ainsi que sur la ligne transversale Dol-Dinan-Lamballe. L’objectif du conseil régional est de couvrir à terme toute la Bretagne. En ce qui concerne les transports urbains, Brest et Lorient, notamment, réfléchissent à son adoption. A noter que la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a rendu public en juin un avertissement à l’encontre de la société Keolis Rennes, notant que s’il existait bien une version anonyme de KorriGo, celle-ci coûtait plus cher que le pass nominatif (selon l’âge de l’utilisateur) et que seuls des tickets à l’unité pouvaient y être chargés, et non un abonnement. La Cnil reprochait aussi à l’exploitant de n’avoir pas suffisamment « vendu » la version anonyme. Des mesures correctives ont depuis été apportées, cette dernière ayant été améliorée. Mais la nouvelle formule n’est valable que sur le réseau Star, ne peut pas être reconstituée en cas de perte ou de vol et ne permet de charger que des titres à tarif normal : difficile en effet de vendre un abonnement jeunes ou personnes âgées sans connaître la date de naissance du voyageur !
 

Réalisé en partenariat avec Rennes Métropole

Ewa

La Haute-Normandie fédère dix AO dans une billettique interopérable

Le conseil régional de Haute-Normandie a confié à ACS, début juillet 2009, la conception et le déploiement d?une solution billettique complète qui assurera l?interopérabilité des transports sur l?ensemble du territoire A la tête d’un groupement d’achats fédérant dix autorités organisatrices, le conseil régional de Haute-Normandie a confié à ACS, début juillet 2009, la conception et le déploiement d’une solution billettique complète qui assurera l’interopérabilité des transports sur l’ensemble du territoire. Le contrat prévoit la fourniture d’un système innovant, composé de deux entités. A savoir : un système billettique mutualisé, qui centralisera l’exploitation des équipements de distribution, de validation et de contrôle, et une structure d’exploitation commune qui pilotera les moyens de vente en ligne et à distance et assurera la compensation financière entre opérateurs. Cette dernière sera interfacée avec les systèmes billettiques du réseau urbain de Rouen et des trains régionaux de la SNCF. Ultérieurement, son architecture ouverte permettra d’intégrer d’autres partenaires.
Le système sera mutualisé entre les dix réseaux membres du groupement d’achats – parmi lesquels les cars TER, les bus interurbains départementaux de l’Eure et de la Seine-Maritime, ainsi que les réseaux urbains des agglomérations de Fécamp, Evreux, Elbeuf ou Dieppe. L’interopérabilité reposera sur la carte sans contact Atoumod, permettant de charger les abonnements régionaux ou combinés, les cartes à valeur et à tarification zonale et les titres locaux. Cette carte sera rechargeable par Internet. Le calendrier de déploiement prévoit la mise en service des deux systèmes centraux en mai 2011 et que l’ensemble soit opérationnel en septembre 2012.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

A Belfort, le paiement différé dope la fréquentation

La billettique en général et le post-paiement en particulier permettent de bien connaître tous ses clients, et donc de faire du marketing direct, en adaptant le message au profil du client et à ses habitudes Un an après sa mise en œuvre, le Certu a évalué les effets du post-paiement sur le nouveau réseau Optymo du territoire de Belfort. Bilan : près d’un million de voyages supplémentaires et une hausse de fréquentation de 25 %. Concrètement, après l’acquisition gratuite d’une carte à puce, le voyageur circule librement sur le réseau belfortain et reçoit, le 10 du mois, la facture correspondant aux trajets effectués le mois précédent. Le tarif avait au préalable été simplifié avec une zone unique à 0,80 euro le trajet, plafonné à 31 euros par mois. Avantages du post-paiement : moduler les tarifs (en accordant des réductions a posteriori) ; adapter la facturation à la situation, notamment en cas de grève (seules les personnes prenant le bus ces jours là sont remboursées). La post-facturation permet aussi de mettre en place facilement des actions commerciales sur une journée ou de moduler les tarifs selon les heures de la journée. « D’une manière générale, le post-paiement est un outil majeur facilitant l’usage des transports collectifs, conclut le Certu. La billettique en général et le post-paiement en particulier permettent de bien connaître tous ses clients, et donc de faire du marketing direct, en adaptant le message au profil du client et à ses habitudes. » D’autres réseaux pourraient bien s’inspirer de cette réussite.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

L?abonnement Kartatoo fonctionne partout

Depuis le 9 septembre, l’abonnement mensuel zonal et intermodal du Languedoc-Roussillon, Kartatoo, fonctionne sur l’intégralité du territoire régional Kartatoo permet d’emprunter de façon illimitée à la fois les transports urbains et les TER pour les trajets domicile – travail ou lieu d’études. L’Hérault, le Gard, l’Aude et les Pyrénées-Orientales étaient déjà desservis, la Lozère l’est aujourd’hui. Lancé par la région en avril 2007, ce titre permet jusqu’à 38 % d’économie sur le cumul des abonnements. Ainsi, par exemple, un Kartatoo Etudes entre Narbonne et Carcassonne coûte 81,50 euros par mois, alors que l’achat de trois abonnements (train et deux réseaux urbains) revient à 118,40 euros (soit 31 % de réduction). Autre avantage : l’octroi d’une réduction de 50 % pour tout achat d’un autre billet de TER en Languedoc-Roussillon, région où la fréquentation des TER (18 000 voyageurs par jour) s’est accrue de 30 % en cinq ans. Fin juillet, Kartatoo totalisait 3 913 abonnés. L’enquête réalisée en 2008 a montré qu’un abonné sur cinq ne prenait pas le train avant la création de la carte. Plus de la moitié des scolaires et les deux tiers des actifs se sont abonnés à un réseau de transport urbain en adhérant à Kartatoo, qui se décline désormais aussi en version titre annuel. La prochaine évolution prévue est un passage prochain à la billettique, avec comme objectif l’interopérabilité des systèmes d’ici 2012. L’utilisateur pourra alors valider directement dans les trains, mais aussi dans le tramway de Montpellier, les bus de Nîmes ou de Perpignan.
 

Cécile NANGERONI