Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

Les premiers bus à hydrogène de France circuleront cet été dans les Hauts-de-France

bus2

Dans la course qui se jouait entre Lens et Pau, toutes deux désireuses d’être la première à lancer le premier bus à hydrogène de France, Lens a finalement pris la tête en inaugurant aujourd’hui la station à hydrogène dans la commune de Houdain (Pas-de-Calais). Et en s’apprêtant à lancer les premières circulations en juillet. Six bus à hydrogène Businova de Safra devraient alors desservir la ligne « Bulle 6 » reliant Auchel à Bruay-la-Buissière en 13,4 km.

« En conservant toute l’architecture du véhicule, Safra a adapté un système hydrogène sur son bus électrique, alimenté par un pack de batteries lithium-ion auquel a été greffée une pile à combustible à hydrogène fournie par Michelin, permettant ainsi d’offrir une autonomie supérieure à 300 kilomètres », indique dans un communiqué Transdev. Ces bus, présentés comme des BHNS (bus à haut niveau de service) pourront se recharger en 30 minutes. « Ils devraient parcourir 420 000 km annuels, tout en économisant plus de 530 tonnes de C02 par an », poursuit l’opérateur.

« La perspective de l’hydrogène sur le réseau Tadao, exploité par Transdev, a été le fruit d’un choix audacieux pour introduire une véritable innovation. Ce carburant pourrait bien être le carburant du futur dans les transports publics », a déclaré de son côté le jour de l’inauguration Laurent Duporge, le président du Syndicat mixte des transports Artois Gohelle.

Côté Pau, la collectivité devrait lancer ses BHNS à hydrogène à la fin de l’année, tandis que la RATP, qui vient de signer un protocole d’accord avec Solaris, annonce vouloir expérimenter l’hydrogène à partir du début 2020, pendant deux mois à Thiais dans le Val-de-Marne.

M.-H. P.

Ewa

Toulouse : du bus pour mieux connecter le futur téléphérique

telepheroque toulouse

Toulouse Métropole vient d’approuver une convention avec Tisséo Collectivités, lautorité organisatrice des transports de l’agglomération, gérés en régie, pour la réalisation d’aménagements de voirie entre la gare SNCF de Colomiers et le futur téléphérique, à l’Oncopole.

Une nouvelle ligne de bus de 15 km doit être mise en service en janvier 2021, quelques semaines après l’ouverture du téléphérique. Elle desservira 24 000 habitants et 50 000 emplois et pourra transporter environ 3 000 voyageurs par jour avec une fréquence en heure de pointe de 10 minutes. Elle permettra de connecter le téléphérique, le métro A et, à terme, la troisième ligne de métro, ainsi que le réseau ferré à Colomiers et les Linéo 2, 3, 4 et 5. Un investissement évalué à 3,15 M€ HT.

C. S.

Ewa

Flixbus va partir à l’assaut des Etats-Unis

Flixbus dans gare routière

Le leader allemand des bus longue distance s’apprête à lancer une offensive commerciale aux Etats-Unis à partir de l’été prochain. La compagnie munichoise, qui détient 90 % du marché en Allemagne après le retrait de plusieurs de ses concurrents, se dit prête à attaquer de front les deux grandes compagnies locales : Megabus et surtout Greyhound (900 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2016 et 55 millions de bénéfice opérationnel). Flixbus, qui compte faire des offres sur les mêmes lignes que ses concurrents, veut se démarquer par la qualité. « Notre arrivée sera bénéfique au marché américain. La qualité de l’offre n’est pas du tout la même [que la nôtre] », a expliqué Daniel Krauss, l’un des membres du directoire. Le Français Pierre Gourdain, qui a monté la filiale française, sera chargé de développer la société aux Etats-Unis.

Ewa

Des panneaux photovoltaïques sur les dépôts des tramways de Strasbourg

CTS Des panneaux photovoltaïques sur les dépôts des tramways de Strasbourg

La Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) va installer 15 000 mètres carrés de panneaux photovoltaïques sur les toits de ses unités de production de Cronenbourg et de la Kibitzenau. Les équipements permettront de produire 2,87 mégawatts-crête (MWc), soit l’équivalent de la consommation électrique moyenne de 340 foyers.
La mise en œuvre des installations et leur exploitation seront confiées à Quadran, entreprise française spécialisée dans la production d’électricité à partir d’énergies renouvelables. L’opérateur régional Electricité de Strasbourg s’est engagé à racheter l’énergie produite pendant 20 ans. Le montant de l’investissement (trois millions d’euros) restera à charge de Quadran, avec une fin de chantier prévue en juin 2019.
Sur le dépôt (bus et trams) de Cronenbourg, les panneaux photovoltaïques remplaceront les couvertures existantes en toile de tente, posées il y a 25 ans et arrivées en fin de vie. Sur l’autre site de la CTS dans le quartier de la Kibitzenau, les panneaux couvriront une aire de stationnement des bus et le parking des salariés. « Ce projet contribue à la rénovation de sites que la CTS aurait dû renouveler elle-même », résume son président Alain Fontanel. Pour Alain Jund, vice-président de l’Eurométropole en charge de l’Environnement, il s’agit avant tout de « promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables dans l’agglomération ». Les panneaux photovoltaïques de la CTS constituent un bond en avant : ils représenteront à eux seuls un tiers des équipements en place à Strasbourg.

Olivier Mirguet

Ewa

Tisséo équipera son troisième dépôt pour le GNV

Présentation du bus GNV Citaro au dépôt Tisséo de Langlade 11 juillet 2017

Pour remplacer ses bus diesel et répondre aux obligations légales sur les véhicules à faibles émissions découlant de la loi de transition énergétique, Tisséo-Collectivités a décidé de miser sur le GNV plutôt que sur l’hybride. 60 bus articulés Citaro 2 GNV équiperont ses lignes à haut niveau de service Linéo d’ici 2019, dont 27 sont en service depuis le mois de septembre. Deux de ses dépôts (Atlanta au nord et Langlade au sud) sont déjà équipés pour l’approvisionnement en gaz comprimé de ses bus, qui représentent près de la moitié de sa flotte (263 sur 540). Le dépôt de Langlade vient de bénéficier d’une extension de 58 postes de compression. La centrale de compression, qui alimente actuellement 165 bus, sera capable de monter jusqu’à 290. Pour faire face à cette montée en puissance du GNV, les élus de Tisséo-Collectivités ont aussi décidé en septembre d’équiper le troisième dépôt, celui de Colomiers, à l’ouest de l’agglomération, à l’horizon 2020-2021, pour un coût estimé entre quatre et huit millions d’euros. La loi imposant une fraction de gaz renouvelable d’au minimum 20 % en 2020 et 30 % en 2025, Tisséo travaille aussi à l’introduction du biogaz avec la région Occitanie et GRDF.

Catherine Sanson-Stern

Ewa

Keolis continuera à exploiter le réseau Star à Rennes

bus place de la republique de rennes 5618280893

Le conseil de Rennes Métropole a approuvé le 19 octobre le choix de Keolis pour la gestion de son réseau de transport. La nouvelle DSP qui commencera à partir du 1er  janvier couvre une période de sept ans et représente un chiffre d’affaires de 960 millions d’euros. Comparé à l’ancienne délégation qui avait déjà été confiée à Keolis, le contrat intègre de nouveaux services : l’exploitation de la ligne B du métro, le développement de la location longue durée de vélos à assistance électrique (VAE), la création d’un service de location courte durée de différents types de vélos, la gestion de la maison du vélo ainsi que le développement d’un service de covoiturage dynamique. Rennes Métropole, qui souhaite une offre globale de services de mobilités en proposant « de réelles alternatives à la voiture solo, au travers du développement des transports collectifs, des services vélos et des solutions de covoiturage », explique la collectivité.
Au cours du contrat, l’offre de transport progressera pour les communes extra-urbaines (hors Rennes, Cesson-Sévigné, Chantepie, Saint-Grégoire, Saint-Jacques-de-la-Lande) grâce à la mise en service de la ligne b, rappelle la métropole en précisant que le réseau de bus sera restructuré lors de la mise en service de la ligne B prévue en 2020.

Des efforts porteront aussi sur l’innovation : Keolis va tester huit bus électriques Bolloré entre 2018 et 2020, avant que la collectivité ne fasse ses choix en matière de motorisation, électrique ou biogaz.

Ewa

RATP Dev va gérer les transports de Lorient

Lorient

Lorient Agglomération a choisi, le 17 octobre, RATP Dev pour la gestion de son réseau de bus et bateaux à partir de janvier prochain. Ce contrat devrait générer plus de 167 millions d’euros sur la durée du contrat qui est de cinq ans.

RATP Dev va donc remplacer Keolis qui gère actuellement le réseau CTRL desservant plus de 200 000 habitants dans les 25 communes de Lorient Agglomération. Avec l’ambition de développer la fréquentation. « L’offre présentée par RATP Dev, appuyée sur les particularités du territoire, répond de manière appropriée aux exigences de Lorient Agglomération pour l’accompagnement dans la future restructuration du réseau, apporte les garanties de qualité de service et de relations à l’usager et décrit clairement l’approche méthodique du dialogue social », explique RATP Dev dans un communiqué. « Jacqueline Jury, précédemment directrice de la Compagnie des Transports du Boulonnais (CTB), filiale de RATP Dev qui exploite le réseau urbain de Boulogne-sur-Mer, prendra la tête du réseau » est-il également précisé.

Ewa

Bilan estival satisfaisant pour la SNCF

17844 HiRes TGVarrivalatstationwithpassengersBordeauxFranceaugust2006 ALS006CS5918

Malgré la grande panne de Montparnasse et l’incendie d’Aubagne qui ont perturbé l’été de la SNCF, les signaux sont au vert selon la société nationale. Durant le premier semestre, le chiffre d’affaires a augmenté de 3,7 % comparé à la même période de l’année précédente. L’été s’est poursuivi sur cette même tendance positive. Tout confondu, le nombre de billets vendus par SNCF Voyages a augmenté de 21 % cet été.

Le TGV Ouigo affiche une hausse de trafic de 20 %, tandis que le nombre de passagers transportés par Ouibus a fait un bond de 50 % (un million de passagers en plus), mais au prix d’un déficit conséquent (l’année dernière, les pertes de Ouibus atteignaient 45 millions d’euros).

Le trafic enregistré par les deux nouvelles LGV mises en service le 1er juillet est même plus élevé que prévu : le nombre de voyageurs a crû de 25 % sur la liaison Paris – Bordeaux et de 20 % entre Paris et Rennes. Ce qui correspond à un million de voyageurs en plus par rapport à l’été dernier. La régularité toutefois laisse à désirer : elle tourne autour de 87,6 % sur la LGV Atlantique. La SNCF l’explique par le fait que la mise en service des TGV s’est accompagnée par le basculement de 40 % des horaires, chamboulant l’exploitation.

M.-H. P.

Ewa

La RATP affiche un résultat semestriel en forte hausse

Ligne 2 du métro RATP

Sur les six premiers mois de l’année, la RATP a vu son résultat net bondir de plus de 50 % à 132 millions d’euros. Sa capacité d’autofinancement s’élève à 488 millions d’euros (en hausse de 57 millions d’euros par rapport à juin 2016).

En revanche, son chiffre d’affaires ne s’accroît que légèrement : +1,1 % (plus de 2,8 milliards de chiffres d’affaires sur les six premiers mois 2017). Mais il s’inscrit en positif après une année de recul : en 2016, le chiffre d’affaires avait régressé de 2 % comparé à l’année précédente.

La croissance de l’activité est homogène entre la RATP et ses filiales, note le groupe. En Ile-de-France, le trafic augmente légèrement de 0,7 %, essentiellement grâce au RER et au tramway. « Le retour des touristes et occasionnels est également notable par rapport à 2016 », indique encore la RATP dans un communiqué.

Le groupe, qui s’est fixé l’objectif d’un chiffre d’affaires de sept milliards d’euros en 2020, attend d’ici à la fin de l’année le résultat d’appels d’offres importants, notamment ceux relatifs aux métros de Doha et de Riyad.

Ewa

Pau choisit le bus à hydrogène pour sa ligne BHNS

Bus à Pau

La communauté d’agglomération de Pau Béarn Pyrénées a fixé son choix le 31 août sur les véhicules de sa ligne BHNS en cours de construction : pour un investissement global de 18 millions d’euros, elle commande huit bus électriques (coût 13,5 millions) alimentés à l’hydrogène au constructeur belge Van Hool. L’hydrogène sera fourni sur place par Engie via une installation au sein même du dépôt. Dans cette ville de 80 000 habitants, la ligne reliant la gare à l’hôpital devrait être prête en 2019. Sa voisine Bayonne a, pour sa part, retenu des bus électriques fabriqués par la société Irizar d’Ormaiztegi (Pays basque espagnol). Pour ce « tram-bus », deux lignes BHNS sont prévues dont la première sera prête dans deux ans.