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Ewa

Le centre bus de Lagny, une cathédrale industrielle

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A l'issue d'un projet de plus de dix ans, dont 4 de travaux, le nouveau centre bus de Lagny-Pyrénées (Paris XXe) a été inauguré le 7 mars.  

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Conçu sur 80 000 m² par l'architecte Brigitte Métra (lauréate du concours en 2005), comme une « cathédrale industrielle », selon ses propres termes, le nouveau bâtiment aux allures de large vaisseau fuselé abrite aussi des bureaux pour 1400 fonctionnaires du ministère de l'intérieur. Sur son toit sont prévus un collège et une crèche qui devraient être achevés en septembre 2017 ainsi qu'un jardin central. Sa couleur rouge est « un outil d'accroche », a encore dit l'architecte, qui s'est inspirée des bâtiments alentours comme les HBM en briques ou le lycée Hélène Boucher.

A ce titre, le nouveau centre bus modernisé et agrandi pour accueillir 184 autobus en stationnement « est emblématique de notre politique de valorisation immobilière et de mixité fonctionnelle », a précisé Feredj, directeur de l'immobilier à la RATP. « Nous souhaitons maintenir nos activités industrielles en centre-ville tout en construisant une ville dense, mixte et innovante », a renchéri Elisabeth Borne. La PdG a aussi rappelé l'engagement de l'entreprise à construire 2000 nouveaux logements d'ici 2024, dont au moins 50 % d'habitat social, en vertu du protocole signé fin 2014 avec la ville de Paris.

Le centre bus à proprement parler occupe trois niveaux et 45 000 m² pour partie enterrés, mais grâce aux failles ménagées dans le bâti, la lumière du jour éclaire ses ateliers de maintenance. Il accueille 700 employés. Il a bien sûr été pensé pour pouvoir abriter et entretenir les bus électriques que la RATP a promis de faire circuler dans la capitale dans les prochaines années. Valérie Pécresse, venue assister à l'inauguration, a salué la prouesse technique consistant à réunir du gas-oil au sous-sol et une crèche au-dessus. Ainsi qu'une réalisation « exemplaire : c'est beau, innovant, utile et ça n'a pas coûté cher », a souligné la présidente de région et du Stif. La RATP a en effet autofinancé 45 des 53 M€ qu'a coûté le centre bus, le Stif apportant le solde de 8 M€.

C. N.

Ewa

Le centre de maintenance du futur tram de Besançon inauguré

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Le Grand Besançon a inauguré, le 14 juin, le nouveau centre de maintenance du futur tramway de l’agglomération dont le lancement est prévu le 1er septembre. 

Le centre, uniquement dédié au tramway class= »NoSpacing » style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
– même le PCC est installé au dépôt de bus de Planoise –, s’étend sur 47000 m2, dont 6500 m² de bâtiments couverts : l’atelier de maintenance (4 600 m2) avec ses six voies spécifiques, l’atelier d’entretien de la voie (500 m2), la station de lavage des rames, utilisant en partie de l’eau collectée sur les toits (750 m2), les locaux techniques (750 m2 de bureaux, magasin, atelier électrique, vestiaire), et les locaux d’exploitation pour les 50 conducteurs (250 m2).

A l’extérieur, l’aire de remisage peut accueillir 20 rames sur 4 voies, extensible à 6 voies, si nécessaire.

Le montant des travaux s’élève à 12 millions d’euros. « Un coût relativement faible par rapport aux autres centres de maintenance », dit Philippe Héry, chef de projet bâtiments à la mission Tram du Grand Besançon. 

Ewa

Grand Paris : voici le futur atelier de la ligne 15

SMR  futur atelier de la ligne 15 à Champigny

La maquette du site de maintenance et de remisage des rames de la ligne 15 du Grand Paris Express a été présentée le mercredi 4 juin par Philippe Yvin, président du directoire de la Société du Grand Paris… La maquette du SMR était présentée sur le stand de la SGP au Salon de la nouvelle ville, organisé par l'Association des maires d'Ile-de-France (Amif), au parc floral de Vincennes. 

Il s'agit de  la « première infrastructure du GPE visible dans la version qui sera effectivement réalisée » a souligné Philippe Yvin.

Il sera complété, pour l'exploitation de la ligne 15, par un  site de maintenance des infrastructures, aux Ardoines. Six sites industriels en tout sont prévus pour assurer le fonctionnement du nouveau métro.

Le SMR sera édifié à Champigny-sur-Marne. Il reviendra à 152 millions d'euros. La SGP en a confié la maîtrise d'œuvre à Egis Bâtiment et à Richez_Associés. Le site hébergera également le PCC de la ligne. Le SMR sera, selon Philippe Yvin, le « premier site industriel au monde à intégrer l'automatisation dans la maintenance des trains. » Le SMR de Champigny sera relié à la ligne par un tunnel à 2 voies de 2,4 km de long.

Les acquisitions foncières seront terminées à la fin de ce mois de juin. Opération « pas évidente à mettre en œuvre » selon Dominique Adenot, maire de Champigny. Il fallait en effet trouver 9 hectares pour implanter le site, qui jouxtera un parc de 18 ha.. Le bâtiment lui-même s'étendra sur un espace « équivalent à l'Esplanade des Invalides » a souligné Raphaël Ruppert, de Richez & Associés. Le maire de Champigny se réjouit que sa ville accueille cette « vitrine mondiale de la technologie française ». Le SMR représentera 450 emplois. Et Dominique Adenot compte que le lycée Max Dormoy puise développer à cette occasion une filière de formation professionnelle formant une génération nouvelle de techniciens. 

FD

Ewa

Ile-de-France : Le tramway T8 en service dès la fin de l’année

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Dès la fin de l'année 2014, la RATP mettra en service son 8e tramway sur le réseau Ile-de-France… style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Le T8   reliera la Porte de Paris située à Saint-Denis, à Épinay-sur-Seine et Villetaneuse : tronc commun sur Saint-Denis et deux branches, l’une desservant Épinay-sur-Seine, l’autre Villetaneuse. D'une longueur de 8,45 km le T8 ou Tram'Y, nom qui se réfère à son tracé, comporte 17 stations.

Le 26 mai, la RATP a inauguré le site de maintenance et de remisage du tramway T8 implanté à Villetaneuse. A terme, 130 personnes travailleront sur le site dont la conception a fait l'objet d'une démarche environnementale : isolation thermique, recyclage des eaux, 144 panneaux photovoltaïques et des toitures végétalisées.

Au total, la RATP mettra en service 20 Citadis sur le tronçon. Les premières rames ont commencé à être livrées au dépôt, le transfert s'effectuera au rythme de 3 par mois.

La Ratp transportera 55 000 voyageurs par jour, soit 16 millions en un an.

Ewa

Axiom Rail entretient le parc ECR

L?atelier Axiom Rail, près de Rouen, assure depuis quelques mois la maintenance des locomotives d?ECR. Qui l?a choisi en raison de la proximité de ses trafics Le 18 septembre, l’atelier Axiom Rail d’Alizay (sud-est de Rouen) a reçu deux premières locomotives électriques Bombardier Traxx MS, initialement propriété de son unique client Euro Cargo Rail (ECR). Ouvert le 6 juin 2008, le dépôt a accueilli ses premiers engins dans la foulée. Dédié à l’entretien du parc ECR (105 locomotives d’ici fin 2009), le site a été choisi en fonction des flux de trafic de l’opérateur. Les unités opérationnelles (UO) de Rouen et de Calais, deux des plus importantes base d’ECR, sont à proximité. Aujourd’hui, 7 techniciens britanniques et 14 français travaillent dans cet atelier situé au croisement de la ligne Paris – Rouen et de la voie unique qui desservait Gisors. Quatre voies, dont deux équipées de fosses de visite et une d’un système de levage, traversent le bâtiment. Une zone de stockage complète les installations mais ne comporte que quelques pièces usuelles. D’autres sous-ensembles sont remisés en Grande-Bretagne et expédiés sur demande, en 24 heures, par camion. En ce qui concerne les G 1000, G 1206 et G 2000, le constructeur Vossloh assure la livraison de pièces détachées depuis son propre réseau. Alizay est ainsi équipé pour réaliser la maintenance curative ainsi que les cinq types d’examens préventifs. A court terme, divers travaux sont prévus, comme la réfection des voies ou l’adjonction d’un système de levage complémentaire. Le « maintenance control » d’ECR assure la coordination entre l’entretien et la production. L’objectif est que cette dernière soit la moins impactée possible. Une conférence quotidienne entre les deux parties fait le point sur l’état d’avancement des travaux, les délais de remise des engins à l’exploitation, les opérations à prévoir, la charge de l’atelier, etc. « Il s’agit de vérifier qu’Axiom Rail peut absorber la charge définie et qu’ECR est capable de compter tel nombre de locomotives en maintenance », résume Frédérique Bergeot, responsable du site. Par exemple, aujourd’hui, un examen F de 13 jours est à prévoir pour les Class 66. Un plan de maintenance anticipe ces opérations. En termes de moyens humains, Alizay attend de nouveaux collaborateurs. « Nous avons la capacité, tant humaine que matérielle, d’assurer les opérations de maintenance mais pas encore toute la souplesse. Lorsque nous aurons davantage de personnel, nous pourrons accueillir et traiter plus de locomotives en même temps », précise Frédérique Bergeot.
 

Laurent CHARLIER

Ewa

La rénovation du dépôt des trams bruxellois touche à sa fin

La rénovation de ce site historique classé va s’achever en ce début d’année La rénovation du dépôt des tramways de la STIB (Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles) à Woluwé-Saint-Pierre, prise en charge par CFE Brabant, va s’achever en ce début d’année. Ce site historique classé héberge également le Musée du transport urbain bruxellois. Cette rénovation a concerné le remplacement de la couverture de toiture, la réparation et le renforcement des charpentes d’origine en bois, la restauration des façades, la remise en état du bâtiment d’exploitation et du musée avec l’annexe « 1941 » en préservant leur caractère historique. CFE, qui modernise aussi le dépôt toujours en activité pendant les travaux, vient de choisir un pont roulant Europont équipé d’un palan Verlinde Eurobloc VT (constructeur et exportateur français d’équipements de levage et de manutention) pour la réhabilitation du musée et du dépôt. Commandé par radio et d’une capacité de 1,6 t, il sera utilisé pour la manutention des éléments en toiture des tramways (convertisseurs auxiliaires, caténaire…) dans le cadre des programmes d’entretien et de maintenance des rames. Tous les déplacements, levage, descente, longitudinal, ou transversal sont à variation continue de vitesse. « Le matériel Verlinde proposé par Europa-Levage, distributeur et intégrateur pour la Belgique, proposait une très bonne fiabilité, ainsi que le meilleur rapport qualité/prix du marché », justifie un ingénieur Techniques Spéciales chez CFE. Ce groupe de BTP, dont Vinci détient 47 % du capital, est organisé autour de cinq pôles d’activités. En particulier, la construction et la rénovation d’infrastructures de génie civil et de bâtiments : tunnels, ponts, routes, murs de quais… Et des prestations de travaux multi-techniques comme l’électrification d’infrastructures ou la mise en œuvre de signalisation ferroviaire.
 

Michel BARBERON