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Ewa

Le réseau de Lille confirme son engagement dans le gaz naturel

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Début septembre, Transpole va mettre en service les premiers autobus Urbanway GNV sur son réseau de Lille. Les 5 premiers bus au gaz naturel sont produits par Iveco Bus, dans son usine d'Annonay, en Ardèche et sont style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
labellisés Origine France Garantie.
Dévoilé à l’occasion du Congrès de l’UITP qui s’est tenu à Milan au mois de juin dernier ; le bus Urbanway d'Iveco est 100 % compatible avec le biométhane, un carburant issu de la valorisation des déchets.
Dès 1990, le réseau de Lille s'est engagé dans une démarche visant à exploiter un parc d’autobus au gaz naturel et produire du biométhane pour alimenter la flotte de ses véhicules. 25 ans plus tard, les 428 autobus du réseau fonctionnent au GNV. C'est d'ailleurs le plus grand parc de bus au GNV de France.
Hugues Houze de l’Aulnoit, chargé Développement transports à la MEL (Métropole Européenne de Lille), confirme le succès de la politique initiée il y a 25 ans vers un parc d’autobus 100 % gaz naturel/biométhane : « Le bilan général confirme que le GNV apparaît comme une réelle alternative au diesel, fiable, sans surcoûts et moins polluante. »

Ewa

Volvo présente son autobus électrique à l’UITP de Milan

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A l'occasion du salon de l'UITP, qui s'est tenu du 8 au 10 juin à Milan, Volvo a présenté son nouvel autobus électrique.

Contrairement aux deux autres modèles du constructeur suédois, le Volvo … 7900 hybride et le Volvo 7900 hybride électrique, déjà commercialisés, le premier autobus électrique est encore au stade du concept. D'une longueur de 10,7 mètres (soit plus d'un mètre de moins qu'un autobus classique), il pourra accueillir jusqu'à 86 passagers. Sa production en série est programmée pour 2017.

Actuellement testé en conditions de circulation normales à Göteborg, en Suède, le bus électrique de Volvo sera officiellement mis en service  le 15 juin prochain.

Ewa

Amiens Métropole expérimente le bus à recharge rapide

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Amiens Métropole a annoncé mi-avril être en phase de négociation avec Siemens France pour tester deux prototypes du Beebus, un bus articulé non polluant, silencieux et 100% électrique…  

à recharge rapide en station (eBRT). Ce projet BeeBus devrait être lancé en 2016.


« Deux bus articulés 100% électriques devraient circuler entre la place du maréchal Joffre et la future zone Frey à Amiens nord, soit un itinéraire de 6,5 km », explique Amiens Métropole dans un communiqué.. « En corrélation avec le cahier des charges de Siemens France, le choix du développement par Amiens Métropole des trois futures lignes du Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) avec pour objectif la transition vers des transports à alimentation totalement électrique, a constitué un facteur déterminant »,

Ewa

Transition énergétique programmée pour Toulouse

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Afin de réduitre la consommation d'énergie et l'impact carbone, la métropole de Toulouse va doter son parc bus de nouveaux véhicules hybrides diesel-électriques… Les  25 autobus GX 437 HYB  de 18 mètres à motorisation hybride seront construits par la société Heulliez Bus. Le premier devrait être mis en circulation à la rentrée 2016 sur la ligne Linéo 16.

La « mission énergie et développement durable » lancée par  Toulouse vise à supprimer progressivement, à l'horizon 2030, les véhicules tout diesel de son parc

Ewa

Omneo Premium : l’intercité grand confort de Bombardier

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Bombardier a dévoilé le 13 juin, son nouveau train intercités grand confort, l’Omneo Premium, apte à 200 km/h.  style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Il s’agit d’une version plus confortable de l’Omneo à deux étages, avec de larges sièges inclinables à accoudoirs individuels, tablette, repose-pieds, liseuse et prise électrique. Entre 400 à 475 sièges peuvent équiper, selon les aménagements, les voitures dans leurs versions longues (110m).

Larges de 3 mètres, les voitures offrent de faibles niveaux acoustiques et vibratoires, ainsi qu’une climatisation autorégulée pour un meilleur confort. Quant aux équipements techniques, ils sont concentrés au-dessus des plateformes d'accès du train pour libérer de l'espace et ajouter du confort aux salles voyageurs.

L'accès au train se fait par de larges portes de plain-pied depuis les quais. Les trains sont accessibles en toute autonomie par les PMR, grâce à des combles lacunes installés à certaine portes.

L’Omneo Premium est équipé des moteurs à aimant permanent Bombardier Mitrac. 

Ewa

Île de France : une étude identifie 11 portions d’autoroutes à ouvrir aux bus et au covoiturage

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Onze axes express multimodaux ont été identifiés dans une étude sur le partage multimodal des autoroutes et voies rapides dans la région… …Cette étude, réalisé par STIF et la Direction des routes Île-de-France (DIRIF), dans le cadre de la mise en œuvre du nouveau Plan de déplacements urbains d’Ile-de-France (PDUIF), et cofinancée par le STIF, la Région Ile-de-France et l’Etat (DRIEA), a retenu des tronçons qui feront l’objet d’aménagements, soit par l’ouverture de la bande d’arrêt d’urgence, soit par la réservation d’une voie aux bus lors des périodes de congestion. La longueur de ces aménagements variera entre un et dix kilomètres.

Pour améliorer les conditions de circulation des lignes de bus Express, l’étude a précisé les portions d’autoroutes ou de voies rapides devant faire l’objet d’aménagement de voirie. Le choix de ces tronçons s’est fondé sur trois critères : le nombre d’utilisateurs de bus susceptibles de bénéficier de l’aménagement, l’amélioration des temps de parcours et le coût.

Un programme prioritaire de réalisations a été défini portant sur l’A1, l’A6, l’A10, l’A3, l’A12, la RN118 et la RN104. Ce programme, d’un montant total prévisionnel de 65 M€, a vocation à être mené progressivement d’ici 2020 dans le cadre d’une contractualisation entre l’Etat, la Région et le STIF. Dans le même temps, l'opportunité d'ouvrir certaines voies aux taxis, au covoiturage voire aux véhicules électriques pourra être étudiée précisément, sur l’A1 et A6, notamment.

 « Ce projet en Île-de-France s’inscrit en pleine cohérence avec la politique nationale de développement des nouveaux usages de la route », souligne Frédéric Cuvillier, ministre délégué aux transports. Après les exemples grenoblois ou marseillais, les ministères en charge de l’Intérieur et des Transports ont confié à leurs inspections respectives une mission visant à réaliser un premier retour d’expérience et à définir les conditions de leur extension encadrée.

 « Dès l’inscription de sa définition dans le Code de la route, nous veillerons à l’ouverture de ces voies au covoiturage », ajoute Pierre Serne, vice-président (EELV) chargé des transports à la région Ile-de-France.

« Le développement des bus Express s’inscrit dans le plan bus 2013-2016 du STIF qui prévoit d’investir 160 millions d’euros afin d’offrir aux voyageurs une offre plus lisible et plus attractive. Ces aménagements concourront à la réussite de ce plan », rappelle Sophie Mougard, directrice générale du STIF. 

Ewa

GNV et bioGNV : la RATP s’associe à Suez pour équiper ses centres bus

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La RATP, GDF Suez et sa filiale GNVert ont signé le 28 mai un accord visant à développer une solution d’avitaillement de centres de bus de la RATP en gaz naturel véhicules (GNV) et BioGNV… … Cet accord d’une durée de trois ans, doit permettre à la RATP, d’acquérir une flotte comprenant jusqu’à 20 % de bus au gaz naturel, à l’horizon 2025. Elle possède actuellement 90 bus au GNV, dans son centre bus de Créteil, dont 37 norme Euro 3 et 52 norme Euro 2 arrivant en fin de vie 15 ans.

De son côté, GDF Suez pourra contribuer, à travers ce partenariat, au développement du marché du gaz naturel pour véhicules, un marché prometteur en France car il s’appuie sur un carburant moins émetteur de CO2 et sans particule et ainsi que celui du bio-GNV, un carburant gaz naturel issu de la méthanisation des déchets organique.

La RATP et GDF Suez vont identifier dans leurs patrimoines fonciers en Île-de-France des terrains pour le déploiement d’une solution d’avitaillement au GNV / BioGNV à proximité de centres de bus de la RATP. La localisation de ces terrains doit permettre la construction par GNVert d’une infrastructure mutualisée d’avitaillement GNV et BioGNV pour les autobus de la RATP et pour d’autres véhicules utilitaires légers ou poids lourds utilisés par des professionnels dans le cadre de leurs activités (par exemple des entreprises de transport de marchandises, des opérateurs de collecte des déchets urbains, des artisans, etc.). Dans le cadre de ce partenariat, GNVert va lancer différentes études pour adapter plusieurs sites de la RATP à l’avitaillement en gaz naturel de ses bus. La première étape concernera le centre bus de Créteil  pour augmenter, à partir de mi-2015, la capacité de la station pour accueillir à terme 220 autobus à gaz soit la totalité des bus du dépôt.

Ces développements s’inscrivent dans le cadre du plan bus 2025 de la RATP, visant à constituer une flotte 100 % verte à l’horizon 2025, comprenant bus électriques et bus au gaz naturel. 

Ewa

Nantes et Angers reçoivent leurs Heuliez hybrides

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Angers Loire Métropole et Nantes Métropole ont réceptionné, mi-décembre, leurs 5 bus hybrides acquis en groupement de commande chez Heuliez. Angers Loire Métropole et Nantes Métropole ont réceptionné, mi-décembre, leurs 5 bus hybrides acquis en groupement de commande chez Heuliez. Cet achat groupé (2 bus à Angers, 3 à Nantes) doit favoriser les échanges techniques, faciliter la maintenance et assurer une meilleure évaluation des véhicules. Par ailleurs, en augmentant le nombre de véhicules commandés, il permet aux deux communautés de disposer de plus de poids dans les négociations et le suivi des livraisons, de la garantie et de l’après-vente. L’acquisition de ces véhicules représentant un surcoût de 30 à 50 % du prix d’un bus classique – un bus articulé coûte 340 000 € HT, auxquels il faut ajouter de 100 000 à 150 000 € HT pour l’hybridation –, les deux métropoles ont dû faire appel à l’Ademe.
La filière hybride (diesel/électrique) apparaît aujourd’hui comme une solution avantageuse (réduction des consommations de carburant et de bruit, notamment au démarrage en station), mais le retour d’expérience – les bus circuleront dès le début de cette année – permettra aux deux collectivités de définir une nouvelle politique de renouvellement et de développement de leurs bus pour les prochaines années.     

C. N.
 

Ewa

Mobivia se positionne comme un acteur clé des nouvelles mobilités

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Le géant de l’équipement et de l’entretien automobile Mobivia (ex-Norauto) est en train de devenir un champion des nouvelles mobilités. L’entreprise familiale croit au potentiel des nouvelles mobilités dans une optique servicielle. Des trottinettes, des vélos pliants, électriques, de toutes les formes, de toutes les couleurs, et leurs accessoires. Des scooters, des voitures électriques, et même un guichet où l’on propose des offres de covoiturage, d’autopartage ou de location de véhicules entre particuliers. Un vrai magasin de jouets pour urbains écomobiles ! Bien loin de son univers d’origine très « garage », celui des centres Norauto ou Midas, le groupe Mobivia (10 000 collaborateurs, 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires) vient d’inventer les premiers supermarchés de la mobilité alternative, Altermove, à Lille, Lyon, et plus récemment, sur 1 300 m2, à Marquette-lez-Lille. Faut-il voir un revirement stratégique dans ce nouvel intérêt du groupe d’équipement automobile pour les nouvelles mobilités ? « Pas du tout », réfute Fabien Derville, membre du directoire du groupe et directeur général de Via-ID, le fonds d’investissement qui chapeaute toutes ses activités « mobilité durable ». « Nous gagnons notre vie grâce à l’auto, mais il faut donner du sens à cette action. L’automobile a des vertus merveilleuses, mais elle est aussi destructrice, que l’on se place sur le plan sécuritaire ou écologique. Peut-être est-il temps d’imaginer l’auto autrement. Dans le secteur automobile, on a toujours pensé qu’il fallait de plus en plus de voitures sur terre. Nous pensons qu’il en faut moins, mais qui roulent de plus en plus », indique-t-il. Le discours est lisse, bien calé, mais il est confirmé par les réalisations. L’engagement du groupe dans les nouvelles mobilités n’a rien de cosmétique, ceci n’est pas du greenwashing. En moins de trois ans, Mobivia est devenu un acteur majeur du secteur, avec une prise de participation ou un lancement en propre d’une dizaine de projets, dont Green Cove Ingénierie (123envoiture), Buzzcar, Carbox, Green On, Izydrive, Moving Car, Sinéo et, donc, Altermove. Mobivia, qui fait le pari des nouvelles mobilités, anticiperait-il, en bon père de famille, le déclin brutal de ses marchés classiques ? « Notre cœur de métier de l’entretien et équipement automobile a encore de beaux jours devant lui », estime au contraire Fabien Derville. « Je ne pense pas qu’il y ait de déclin dans les cinq à sept ans, le marché est stable. Il y a certes une désaffection de l’automobile chez les jeunes, mais c’est compensé par l’allongement de l’espérance de vie et par le fait que les seniors roulent de plus en plus longtemps », ajoute-t-il. Le groupe familial, qui ne communique pas ses chiffres et indique réinvestir les deux tiers de ses profits dans les développements, mise sur l’essor des marchés de l’électromobilité, de la mobilité urbaine et du véhicule partagé, du covoiturage dynamique et bientôt du véhicule connecté, sur lequel il travaille. « Ces développements ne sont pas encore rentables, mais ce n’est pas une surprise », explique Fabien Derville, « Au-delà de l’intérêt de ces activités en tant que telles, on souhaite comprendre les évolutions de la mobilité et détecter des opportunités pour le compte du métier historique. Le vélo électrique, par exemple, peut être un très bon complément à l’automobile, et Norauto peut devenir un grand fournisseur de vélos électriques », avance-t-il. Mobivia s’affirme comme un spécialiste du dernier kilomètre de la mobilité urbaine et indique être bientôt en capacité de proposer des offres intégrées et de travailler avec les opérateurs de transports sur des solutions clés en main. C’est une autre entreprise familiale du Nord, Oxylane Décathlon, qui a investi la première le champ de l’équipement roulant urbain avec ses boutiques Decat’ et fourni les vélos B’Twin du V’lille mis en place par Keolis. Saine émulation entre entreprises rattachées à la galaxie Mulliez, Mobivia y déboule maintenant avec une offre beaucoup plus servicielle : « Nous étions aussi légitimes qu’eux pour mettre en place le V’lille. Ils l’ont fait, bravo ! Mais nous sommes les premiers à investir le champ des mobilités avec Altermove », note Fabien Derville.
    

Guillaume LEBORGNE

Ewa

La Fnaut et l’Ademe disent halte à l’étalement urbain

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Quand un habitant de la périphérie déménage pour le centre, son trajet moyen quotidien passe de 9 à 6 km. Sa consommation de carburant baisse de 38 % et ses émissions de gaz à effet de serre de 40 %. Voilà les principaux enseignements d’une étude réalisée pour l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) et de la Fédération nationale des usagers des transports (Fnaut). Quand un habitant de la périphérie déménage pour le centre, son trajet moyen quotidien passe de 9 à 6 km. Sa consommation de carburant baisse de 38 % et ses émissions de gaz à effet de serre de 40 %. Voilà les principaux enseignements d’une étude réalisée pour l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) et de la Fédération nationale des usagers des transports (Fnaut). Les deux structures se sont associées afin de lutter contre « l’étalement urbain diffus », c’est-à-dire les zones résidentielles accessibles uniquement en voiture. Pour cela, cette étude a été menée sur deux ans dans la ville de Tours, en se basant sur le comportement de dix-neuf ménages ayant migré vers le centre. Elle montre également que si le nombre de déplacements ne baisse pas, ces derniers sont plus courts et moins subis. « Les personnes passent moins de temps à accompagner leurs enfants, et n’ont plus la sensation de faire le taxi », synthétise Jean-Marie Beauvais, auteur de l’étude.
« Il y a urgence ! Le prix du pétrole peut doubler en trois ans, et les villes ne cessent de s’étendre en tache d’huile », s’alarme Jean Sivardière, président de la Fnaut. L’association d’usagers et l’Ademe ont donc émis une série de propositions visant à éviter que toujours plus de monde prennent sa voiture pour aller chercher le pain ou le journal. Il s’agit autant de faire revenir les habitants dans des zones densément peuplées que d’inciter à utiliser les transports en commun.
La Fnaut recommande notamment de taxer les logements inoccupés en centre-ville. « Il y a 100 000 logements libres à Paris, 6 000 à Grenoble, et ce ne sont que des exemples parmi d’autres, détaille Jean Sivardière. Il faut taxer fortement les bailleurs pour les forcer à rendre les cœurs de villes accessibles. » L’Ademe soutient aussi l’autopartage, « une excellente façon de rendre les villes vivables et de convaincre les personnes habitant en périphérie de se déplacer autrement qu’avec leur véhicule individuel polluant ». A cela, on peut ajouter l’encouragement du commerce de proximité et le péage à l’entrée des centres urbains. Autant de mesures qui risquent de se heurter frontalement au grand mouvement qui pousse les ménages à habiter dans des maisons plus grandes et moins chères à l’écart des centres-villes.
    

Julien Sartre