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Ewa

Berlin met en service la première ligne de bus électriques à recharge sans fil

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Le 1er septembre, la régie des transports de Berlin, BVG, a mis en service sa première ligne d'autobus électriques à recharge sans fil. La BVG expoite quatre autobus électriques de type Solaris Urbino 12 electric équipés du système de charge Primove de Bombardier sur la ligne 204 de son réseau. La ligne s'étend sur 6,1 km et dessert le centre-ville. L'opération de recharge des bus s'effectue en quelques minutes aux terminus de la ligne qui relie Südkreuz et Zoologischer Garten.
Le projet appelé « E-Bus Berlin » est financé à hauteur de 4,1 millions d'euros par le ministère fédéral du Transport et de l'Infrastructure numérique.
Dès lors, Berlin devient la première capitale à disposer d'une ligne d'autobus électriques à recharge sans fil.

Ewa

« Acte 2 » de la « reconquête » de la Petite Ceinture

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Le 7 avril, Anne Hidalgo, Maire de Paris, Jacques Rapoport, Président délégué du Directoire de SNCF, Président de SNCF Réseau et Guillaume Pepy, Président du Directoire de SNCF, Président de SNCF Mobilités, se sont rendus en présence de Sophie Boissard, Directrice Générale de SNCF Immobilier, sur un tronçon de la Petite Ceinture ferroviaire situé dans le 13e arrondissement parisien… Ce tronçon doit être ouvert au public en septembre et accueillir, sur près d’un hectare, de nouveaux espaces de pelouse et plantations, des tables et chaises, ainsi que des espaces « pour de nouveaux usages en cours de définition avec les habitants ». Les personnalités présentes ont détaillé les grandes lignes d’un nouveau protocole d’accord entre la Ville de Paris et la SNCF, qui sera soumis le 13 avril au vote du Conseil de Paris. Porté par Pénélope Komitès et Jean-Louis Missika, adjoints à la Maire, ce protocole doit permettre d’engager « l’acte 2 » de la « reconquête » de la Petite Ceinture, en envisageant « l’ouverture du plus grand nombre de tronçons possible pour la promenade et accueillir de nouveaux usages réversibles tout en valorisant la biodiversité ». Un « plan-programme » de l’ensemble de la Petite Ceinture doit être établi « d’ici fin 2015 ».

Rappelons qu’un premier protocole avait été signé en 2006, ayant abouti à la création d’un « sentier nature » dans le 16e arrondissement parisien, une promenade dans le 15e et des « jardins partagés » dans les 12e, 14e et 18e.

Ewa

Lyon. Des Twizy pour renforcer l’offre Bluely

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A partir du 2 avril, la ville de Lyon va augmenter le parc automobile de son service d'autopartage Bluely … 30 Renault Twizy, en plus de 220 voitures Bluely du groupe Bolloré, seront mises en circulation dans la métropole lyonnaise afin de renforcer l'offre de véhicules électriques.

Les 250 voitures seront déployées dans les 102 stations du Grand Lyon.

Ewa

Transition énergétique programmée pour Toulouse

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Afin de réduitre la consommation d'énergie et l'impact carbone, la métropole de Toulouse va doter son parc bus de nouveaux véhicules hybrides diesel-électriques… Les  25 autobus GX 437 HYB  de 18 mètres à motorisation hybride seront construits par la société Heulliez Bus. Le premier devrait être mis en circulation à la rentrée 2016 sur la ligne Linéo 16.

La « mission énergie et développement durable » lancée par  Toulouse vise à supprimer progressivement, à l'horizon 2030, les véhicules tout diesel de son parc

Ewa

Avis défavorable pour les prolongements de la LGV de Bordeaux vers Toulouse et Dax

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La commission d’enquête publique sur les projets de lignes à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax a rendu le 30 mars un avis négatif. Le rapport pointe essentiellement des "insuffisances et faiblesses" des projets,…   parmi lesquelles des "impacts insuffisamment pris en compte", qu'il s'agisse de la faune, de l'habitat ou de la viticulture. Les incertitudes sur le financement public et sa rentabilité sont également soulignées. Rappelons que ces lignes s'inscrivent dans la continuité de la ligne Tours-Bordeaux actuellement en construction. Et que leur coût  est estimé à 8,3 milliards d'euros.

Le secrétariat aux Transports a aussitôt indiqué qu'il fallait s'abstenir de "toute conclusion prématurée" pour respecter la procédure en cours. "Le maître d'ouvrage, SNCF Réseau, dispose désormais d’un délai de quatre mois pour répondre à ces conclusions. C'est à ce moment là seulement que l'Etat sera saisi de l’intégralité des conclusions et de cette réponse. Le Gouvernement sera appelé  à prendre sa décision dans un délai de dix-huit mois, après avis du Conseil d’Etat", a-t-il indiqué dans un communiqué.

Car déjà, les élus s'agitent. "L'avis ne lie pas le gouvernement", et "l'apport des voyageurs de Midi-Pyrénées a toujours été considéré comme la justification même des investissements consentis entre Tours et Bordeaux", a réagi Martin Malvy, le président socialiste de la Région Midi-Pyrénées.
"L'actuel gouvernement ayant inscrit la poursuite du projet comme unique perspective nationale à compter de 2018, nous nous refusons d’envisager que l’avis de la commission (…) signifie la remise en cause du projet", ont renchéri dans un communiqué commun le président de la Région Aquitaine Alain Rousset, le président de Bordeaux Métropole Alain Juppé et le président de Toulouse Métropole Jean-Luc Moudenc, qui demandent tous trois à être reçus par Alain Vidalies, le secrétaire d'Etat aux Transports.

En revanche, Gilles Savary, le député socialiste de Gironde se félicite  d'un "avis qui introduit enfin le bon sens et la rationalité économique".

Ewa

Paris : Des tours vertes et des fermes… en 2050

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L’agence Vincent Caillebaut Architectures (VCA) et la société d’ingénierie Setec Bâtiments ont planché, à la demande de l’Hôtel de Ville, sur ce que pourrait être le visage de Paris en 2050… Ils proposent à des endroit stratégiques de la capitale des tours de bureaux et de logements, dont l’alimentation énergétique pourrait être fournie par les pas des voyageurs, beaucoup d’arbres, des éoliennes… De quoi répondre aux préoccupations de la municipalité qui souhaite réduire de 75 % les émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050.

Ewa

Le centre de maintenance du futur tram de Besançon inauguré

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Le Grand Besançon a inauguré, le 14 juin, le nouveau centre de maintenance du futur tramway de l’agglomération dont le lancement est prévu le 1er septembre. 

Le centre, uniquement dédié au tramway class= »NoSpacing » style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
– même le PCC est installé au dépôt de bus de Planoise –, s’étend sur 47000 m2, dont 6500 m² de bâtiments couverts : l’atelier de maintenance (4 600 m2) avec ses six voies spécifiques, l’atelier d’entretien de la voie (500 m2), la station de lavage des rames, utilisant en partie de l’eau collectée sur les toits (750 m2), les locaux techniques (750 m2 de bureaux, magasin, atelier électrique, vestiaire), et les locaux d’exploitation pour les 50 conducteurs (250 m2).

A l’extérieur, l’aire de remisage peut accueillir 20 rames sur 4 voies, extensible à 6 voies, si nécessaire.

Le montant des travaux s’élève à 12 millions d’euros. « Un coût relativement faible par rapport aux autres centres de maintenance », dit Philippe Héry, chef de projet bâtiments à la mission Tram du Grand Besançon. 

Ewa

Bordeaux : 22 nouvelles stations VCub en 2014

VCub14

Une nouvelle station de vélos en libre service VCub a été inaugurée, le 11 juin, à Saint-Aubin-de-Médoc, dans le nord-ouest de l’agglomération de Bordeaux. C’est la première à proposer le retrait de vélos, sans contact,… …seulement avec un téléphone NFC, et l’application VCub Facile, téléchargeable sur GooglePlay, BB App World et Windows Store. Plus besoin de carte Tbc ou Modalis, de saisir un code d’accès ou de renseigner un code secret sur la borne pour déverouiller un vélo.

Saint-Aubin-de-Médoc est l’une des vingt-deux nouvelles stations qui devraient voir le jour, cette année, dont beaucoup dans les communes périphériques de la CUB : Artigues, Bruges, Floirac-Dravemont, Lormont, Taillan, Talence et à Villenave d'Ornon. Parmi ces nouvelles stations, six ont déjà été ouvertes depuis le début de l’année. Ainsi, VCub comptera de 153 stations à la fin du mois de juin. Dix d’entre-elles disposeront des abris-vélos. A fin juin, cela représente donc le réseau pour 18 000 abonnés et 2,3 millions d’emprunts en 2013.

Ewa

GNV et bioGNV : la RATP s’associe à Suez pour équiper ses centres bus

bus RATP à Créteil

La RATP, GDF Suez et sa filiale GNVert ont signé le 28 mai un accord visant à développer une solution d’avitaillement de centres de bus de la RATP en gaz naturel véhicules (GNV) et BioGNV… … Cet accord d’une durée de trois ans, doit permettre à la RATP, d’acquérir une flotte comprenant jusqu’à 20 % de bus au gaz naturel, à l’horizon 2025. Elle possède actuellement 90 bus au GNV, dans son centre bus de Créteil, dont 37 norme Euro 3 et 52 norme Euro 2 arrivant en fin de vie 15 ans.

De son côté, GDF Suez pourra contribuer, à travers ce partenariat, au développement du marché du gaz naturel pour véhicules, un marché prometteur en France car il s’appuie sur un carburant moins émetteur de CO2 et sans particule et ainsi que celui du bio-GNV, un carburant gaz naturel issu de la méthanisation des déchets organique.

La RATP et GDF Suez vont identifier dans leurs patrimoines fonciers en Île-de-France des terrains pour le déploiement d’une solution d’avitaillement au GNV / BioGNV à proximité de centres de bus de la RATP. La localisation de ces terrains doit permettre la construction par GNVert d’une infrastructure mutualisée d’avitaillement GNV et BioGNV pour les autobus de la RATP et pour d’autres véhicules utilitaires légers ou poids lourds utilisés par des professionnels dans le cadre de leurs activités (par exemple des entreprises de transport de marchandises, des opérateurs de collecte des déchets urbains, des artisans, etc.). Dans le cadre de ce partenariat, GNVert va lancer différentes études pour adapter plusieurs sites de la RATP à l’avitaillement en gaz naturel de ses bus. La première étape concernera le centre bus de Créteil  pour augmenter, à partir de mi-2015, la capacité de la station pour accueillir à terme 220 autobus à gaz soit la totalité des bus du dépôt.

Ces développements s’inscrivent dans le cadre du plan bus 2025 de la RATP, visant à constituer une flotte 100 % verte à l’horizon 2025, comprenant bus électriques et bus au gaz naturel. 

Ewa

Ile-de-France : bilan positif de la circulation alternée

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Airparif a présenté mi-mai un premier bilan de la circulation alternée mise en place le 17 mars en Ile-de-Franc, en plein épisode de pollution aux PM 10, matières microscopiques en suspension déclarées cancérigènes par l'Organisation mondiale de la Santé… D'après l'agence de surveillance de l'air dans la région, ce dispositif autorisant les seuls véhicules à immatriculation impaire à circuler (sauf dérogations), a fait baisser de 18 % la circulation à Paris comparée au lundi précédent, de 13 % en petite couronne et de 9 % en grande couronne. Ce qui s'est notamment traduit par une diminution  de 4 microgrammes par m3 de PM10, à proximité du trafic et notamment sur les grands axes parisiens. "A certaines heures comme la pointe du soir, la baisse a représenté 10 % sur le périphérique parisien pour les PM10. L'impact a été encore plus important pour la pollution aux dioxyde d'azode, avec des gains pouvant aller jusqu'à -30 % sur le périphérique", précise Anne Kauffmann, chargée d'études à Airparif. "Il y a peu de mesures qui permettent un impact aussi important", a-t-elle ajouté.

Reste que l'impact aurait été supérieur si, au lieu de cibler les véhicules en fonction de leur plaque d'immatriculation, ils l'avaient été en fonction de leurs niveaux de pollution. Pour Airparif, les pics de pollution ne doivent pas masquer le problème de la pollution chronique et appelle à une action "pérenne" pour agir sur une qualité de l'air "problématique" toute l'année : en 2013, plus de 3 millions de Franciliens ont été potentiellement exposés à des niveaux de pollution qui ne respectent pas la règlementation, principalement à Paris et près des grands axes de circulation.
La France a un contentieux en cours avec la Commission européenne pour non respect du respect des seuils sur les PM10  dans une quinzaine d'agglomérations. "Et vraisemblablement, la France sera condamnée", indique Karine Léger, adjointe du président d'Airparif. Et un nouveau contentieux semble très probable pour les dioxydes d'azote. "On aurait du respecter les règlementations en 2010 et on ne les respecte toujours pas", souligne-t-elle.
Depuis 10 ans, la pollution est en baisse. Mais relève le directeur d'Airparif, Jérome Clave, à raison de "-1% par an (…) il faudra entre 30 et 50 ans au rythme actuel" pour respecter les seuils autorisés. "Il faut des mesures qui accélèrent le rythme", ajoute-t-il.