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Ewa

Royaume Uni : Bombardier prolonge son contrat de maintenance avec Virgin

bombardiermaintenanceVirgin

Le 20 juin, Bombardier annonce avoir signé un contrat avec Virgin Trains pour assurer la maintenance de sa flotte Super Voyager jusqu'en  mars 2019… Les 20 automotrices qui  circulent sur la West Coast Main Line au Royaume-Uni, dépendent du site de Central Rivers, près de Burton on Trent, dans le Staffordshire qui compte environ 340 employés.  En vertu du contrat de maintenance signé avec Virgin, Bombardier doit fournir des services 24 heures sur 24, 365 jours sur 365. 

Le montant du contrat s’élève à environ 129 millions d’euros.

Ewa

Grand Paris : voici le futur atelier de la ligne 15

SMR  futur atelier de la ligne 15 à Champigny

La maquette du site de maintenance et de remisage des rames de la ligne 15 du Grand Paris Express a été présentée le mercredi 4 juin par Philippe Yvin, président du directoire de la Société du Grand Paris… La maquette du SMR était présentée sur le stand de la SGP au Salon de la nouvelle ville, organisé par l'Association des maires d'Ile-de-France (Amif), au parc floral de Vincennes. 

Il s'agit de  la « première infrastructure du GPE visible dans la version qui sera effectivement réalisée » a souligné Philippe Yvin.

Il sera complété, pour l'exploitation de la ligne 15, par un  site de maintenance des infrastructures, aux Ardoines. Six sites industriels en tout sont prévus pour assurer le fonctionnement du nouveau métro.

Le SMR sera édifié à Champigny-sur-Marne. Il reviendra à 152 millions d'euros. La SGP en a confié la maîtrise d'œuvre à Egis Bâtiment et à Richez_Associés. Le site hébergera également le PCC de la ligne. Le SMR sera, selon Philippe Yvin, le « premier site industriel au monde à intégrer l'automatisation dans la maintenance des trains. » Le SMR de Champigny sera relié à la ligne par un tunnel à 2 voies de 2,4 km de long.

Les acquisitions foncières seront terminées à la fin de ce mois de juin. Opération « pas évidente à mettre en œuvre » selon Dominique Adenot, maire de Champigny. Il fallait en effet trouver 9 hectares pour implanter le site, qui jouxtera un parc de 18 ha.. Le bâtiment lui-même s'étendra sur un espace « équivalent à l'Esplanade des Invalides » a souligné Raphaël Ruppert, de Richez & Associés. Le maire de Champigny se réjouit que sa ville accueille cette « vitrine mondiale de la technologie française ». Le SMR représentera 450 emplois. Et Dominique Adenot compte que le lycée Max Dormoy puise développer à cette occasion une filière de formation professionnelle formant une génération nouvelle de techniciens. 

FD

Ewa

Thalys au régime minceur

THALYS

La démarche est inédite : à partir du 14 juillet et jusqu’au 25 août 2012, Thalys a décidé de se mettre au régime estival. La démarche est inédite : à partir du 14 juillet et jusqu’au 25 août 2012, Thalys a décidé de se mettre au régime estival. Concrètement, le plan de transport va être allégé. Le nombre de fréquences sur la route Paris – Bruxelles sera réduit et les dorsales wallonne (Mons – Charleroi – Namur) et flamande (Gand – Bruges – Ostende) seront supprimées, une solution alternative étant proposée aux clients souhaitant rejoindre ou quitter l’une de ces gares. Ensuite, et jusqu’en décembre, les mesures d’allégement concerneront Paris – Bruxelles – Amsterdam, qui passera d’une fréquence de 10 à neuf allers-retours par jour, et la liaison Paris – Bruxelles, dont le nombre de fréquences sera également revu à la baisse.
Cette sérieuse mise au régime correspond à une bonne raison : c’est le renforcement du programme de maintenance qui conduit à libérer des rames. Un programme ambitieux, qui doit être le garant d’une meilleure régularité, comme en témoigne Franck Gervais, directeur général de Thalys : « Ce programme vise à accomplir un saut de performance opérationnel à long terme. En planifiant l’essentiel des interventions au cours de l’été, nous faisons en sorte de limiter au maximum l’impact de ce programme pour les clients. » Ainsi, entre juillet et décembre, les 26 rames Thalys feront l’objet d’un contrôle de maintenance approfondi. Cette « chaîne de fiabilité » mobilisera une équipe dédiée de 30 techniciens au technicentre du Landy, à Saint-Denis en région parisienne. Et un millier d’heures de travail sont déjà planifiées sur chaque rame.

P. G.

Ewa

Nouveau centre de maintenance HQE à Marne-la-Vallée

Transdev a inauguré le 25 juin un centre technique HQE à Marne-la-Vallée. L?objectif du site est double : limiter ses impacts sur l?environnement et offrir un lieu de travail sain Transdev a inauguré le 25 juin un centre technique HQE à Marne-la-Vallée (commune de Bailly-Romainvilliers), destiné à la maintenance de 500 véhicules du groupe dont ceux du réseau du Val-d’Europe. A son lancement, le projet s’est inscrit dans une démarche pilote, puisque le référentiel de certification était encore en cours de mise en place. L’objectif du site est double : il s’agit de limiter ses impacts sur l’environnement extérieur et d’offrir un lieu de travail sain. En effet, « la démarche HQE concerne aussi bien la construction, l’exploitation et l’entretien des bâtiments que les aménagements et les ouvrages », explique Anne-Sophie Perrissin-Fabert, directrice de l’association HQE. La suite logique est d’obtenir la certification NF Bâtiment tertiaire en exploitation en démarche HQE d’ici la fin de l’année.
Pour mériter ce label, le centre de remisage (capacité de 115 bus) et de maintenance joue sur tous les fronts. Au niveau construction d’abord, avec des matériaux soigneusement choisis afin de faciliter l’entretien et la maintenance, ou encore avec l’installation de plus de 20 m2 de panneaux solaires. Ensuite, sur la gestion de l’énergie avec un bâtiment de bureau dit « basse consommation » qui doit réduire les émissions de 21 t de CO2. Enfin, sur la gestion de l’eau et des déchets d’activité : grâce à un système de recyclage et la récupération des eaux pluviales, de 67 à 91 % d’économies sont prévues sur les consommations pour le lavage des bus. Par ailleurs, une procédure de tri des déchets et de recensement des filières d’élimination est mise en place. Une manière très concrète pour Transdev, signataire de la charte DD de l’UITP, de montrer son engagement en faveur du développement durable.
 

Cécile?NANGERONI

Ewa

Axiom Rail entretient le parc ECR

L?atelier Axiom Rail, près de Rouen, assure depuis quelques mois la maintenance des locomotives d?ECR. Qui l?a choisi en raison de la proximité de ses trafics Le 18 septembre, l’atelier Axiom Rail d’Alizay (sud-est de Rouen) a reçu deux premières locomotives électriques Bombardier Traxx MS, initialement propriété de son unique client Euro Cargo Rail (ECR). Ouvert le 6 juin 2008, le dépôt a accueilli ses premiers engins dans la foulée. Dédié à l’entretien du parc ECR (105 locomotives d’ici fin 2009), le site a été choisi en fonction des flux de trafic de l’opérateur. Les unités opérationnelles (UO) de Rouen et de Calais, deux des plus importantes base d’ECR, sont à proximité. Aujourd’hui, 7 techniciens britanniques et 14 français travaillent dans cet atelier situé au croisement de la ligne Paris – Rouen et de la voie unique qui desservait Gisors. Quatre voies, dont deux équipées de fosses de visite et une d’un système de levage, traversent le bâtiment. Une zone de stockage complète les installations mais ne comporte que quelques pièces usuelles. D’autres sous-ensembles sont remisés en Grande-Bretagne et expédiés sur demande, en 24 heures, par camion. En ce qui concerne les G 1000, G 1206 et G 2000, le constructeur Vossloh assure la livraison de pièces détachées depuis son propre réseau. Alizay est ainsi équipé pour réaliser la maintenance curative ainsi que les cinq types d’examens préventifs. A court terme, divers travaux sont prévus, comme la réfection des voies ou l’adjonction d’un système de levage complémentaire. Le « maintenance control » d’ECR assure la coordination entre l’entretien et la production. L’objectif est que cette dernière soit la moins impactée possible. Une conférence quotidienne entre les deux parties fait le point sur l’état d’avancement des travaux, les délais de remise des engins à l’exploitation, les opérations à prévoir, la charge de l’atelier, etc. « Il s’agit de vérifier qu’Axiom Rail peut absorber la charge définie et qu’ECR est capable de compter tel nombre de locomotives en maintenance », résume Frédérique Bergeot, responsable du site. Par exemple, aujourd’hui, un examen F de 13 jours est à prévoir pour les Class 66. Un plan de maintenance anticipe ces opérations. En termes de moyens humains, Alizay attend de nouveaux collaborateurs. « Nous avons la capacité, tant humaine que matérielle, d’assurer les opérations de maintenance mais pas encore toute la souplesse. Lorsque nous aurons davantage de personnel, nous pourrons accueillir et traiter plus de locomotives en même temps », précise Frédérique Bergeot.
 

Laurent CHARLIER

Ewa

Vite, une approche européenne pour la sécurité ferroviaire !

Le 30 juin dernier, l’accident de Viareggio, en Italie, avait fait 29 morts. Il faut trouver des solutions pour que cela ne se reproduise plus Comment éviter qu’un accident comme celui de Viareggio ne se renouvelle ? C’était l’objectif de la conférence sur la sécurité ferroviaire organisée le 8 septembre par la Commission européenne à Bruxelles. Sans préjuger des résultats des cinq enquêtes ouvertes sur la catastrophe ferroviaire qui a fait 29 morts en Italie cet été, les acteurs du secteur ont voulu montrer leur mobilisation et esquisser des pistes pour l’avenir. Plus de 200 personnes venues de toute l’Europe avaient fait le déplacement pour cette journée. Concrètement, Bruxelles a annoncé la mise en place d’une task force qui se réunira pour la première fois le 20 septembre prochain sous l’égide de l’Agence ferroviaire européenne. Ses membres se pencheront notamment sur la question des essieux, la rupture de l’un d’entre eux ayant provoqué l’accident. L’ERA propose d’étudier en urgence les autres cas signalés d’essieux endommagés, afin éventuellement de fixer des maxima pour la charge des wagons ou de mieux contrôler une possible corrosion. Les premières décisions sont annoncées pour la fin de l’année. Dans un second temps, la task force devrait s’atteler à la rédaction de critères communs a minima pour la maintenance des essieux et des trains de roulement. A plus long terme, le commissaire Antonio Tajani entend renforcer le rôle de l’Agence ferroviaire européenne. « Je ne suis pas satisfait, a-t-il dit clairement devant les participants de la conférence. Il faut transférer à l’ERA plus de compétences. » Parmi les pistes évoquées par Bruxelles, la possibilité de doter l’agence de Valenciennes du pouvoir de certification pour l’ERTMS, d’auditer les agences nationales de sécurité ferroviaire ou encore de réaliser des inspections sur le terrain. Le ministre italien des Transports a estimé lui aussi qu’il fallait agir. « Progressivement, nous convaincrons ainsi que la libéralisation n’implique pas la décadence de la sécurité », estime Altero Matteoli. Des idées qui ont le soutien de principe du secteur. Les patrons des grandes compagnies ferroviaires européennes se sont d’ailleurs réunis le 5 septembre dernier à Berlin pour élaborer une résolution commune qui prône une approche européenne des questions de sécurité. Tout le monde s’accorde sur la nécessité d’arriver le plus vite possible à la certification obligatoire de l’entité responsable de la maintenance. « Nous sommes pour la mise en place de critères communs et non pas de procédures communes », a néanmoins précisé Libor Lochman, au nom de la Communauté européenne du rail. Les opérateurs de fret veulent aussi éviter que certains pays n’introduisent des nouvelles réglementations qui leur compliqueraient la vie en ces temps d’ouverture du marché européen et de concurrence accrue. Autre inquiétude pour le fret ferroviaire, frappé de plein fouet par la crise : l’éventuel coût des mesures qui seront décidées par les institutions communautaires. « Nous sommes prêts à en supporter une partie, plaide Libor Lochman, le directeur adjoint de la CER, mais nous sommes opposés à des réglementations qui rendraient le rail trop cher et aboutiraient à un transfert modal vers la route et son niveau inférieur de sécurité. » Au cours de la journée, de nombreux orateurs ont tenu à souligner que le rail restait malgré tout le mode de transport de marchandises le plus sûr.
 

Isabelle ORY

Ewa

Le nouvel atelier TER sera construit à Longueau

La région Picardie a obtenu l’implantation d’un nouvel atelier TER. Un projet pour lequel les collectivités investiront des sommes très importantes Le futur atelier TER Picardie sera bien construit à Longueau. Dans les cartons depuis plusieurs années, ce projet a subi un coup d’accélérateur le 19 décembre dernier, lors d’une rencontre à Paris entre le président de la SNCF, Guillaume Pepy, et Claude Gewerc, président socialiste de la région Picardie, qui était accompagné de Daniel Beurdeley, premier vice-président (PC) en charge des transports. Avant cette date, la direction du matériel à la SNCF envisageait prioritairement cette implantation, soit à Lille, soit au Landy. L’investissement dans un nouvel atelier à la périphérie de l’EMT d’Amiens-Longueau lui paraissait à la fois disproportionné et difficile à rentabiliser. Une prévention que la région Picardie est finalement parvenue à lever : « Nous avons rappelé au président de la SNCF les efforts consentis par la région pour le renouvellement du matériel TER, indique Daniel Beurdeley. Notre collectivité a prévu d’investir un milliard d’euros sur trente ans. Plus de 500 millions ont d’ores et déjà été dépensés et la région consacre chaque année 250 millions d’euros au fonctionnement du TER, qui représente d’ailleurs aujourd’hui le poste le plus important du budget… Je pense qu’il est logique que la SNCF tienne compte de cet engagement… ». C’est donc bien Longueau qui héritera de ce nouvel équipement. Sur place, la nouvelle a été d’autant mieux accueillie que c’est l’option haute qui a finalement été retenue, avec un atelier de 110 mètres de long équipé de fosses de visite sur toute sa longueur, et capable d’accueillir les futurs porteurs polyvalents. Le schéma retenu autorise une éventuelle extension avec un atelier susceptible d’accueillir, dans une seconde phase, le futur porteur haute densité. Ce projet ambitieux a finalement été préféré à une option basse, moins coûteuse, mais qui aurait très vite trouvé ses limites. Or, plusieurs régions limitrophes ont manifesté leur intérêt pour une localisation en Picardie ; c’est le cas de Champagne-Ardenne et de la Haute-Normandie dont les nouvelles rames TER pourraient être entretenues à Longueau. La première phase, telle qu’elle a été retenue, représente un investissement de 42 ME, dont 10 à la charge de la SNCF.
 

Ewa

Un futur atelier à Rennes pour le matériel TER régional récent

La première pierre du futur atelier de maintenance de Rennes a été symboliquement posée le 5 novembre par les élus et le directeur de région SNCF Ce nouvel atelier, dont la mise en service est prévue à l’automne 2009, sera accolé à l’actuel atelier de maintenance du matériel, construit en 2004 pour les premières rames ZTER. Ce nouvel atelier est destiné à l’entretien du nouveau matériel régional : ZGC et AGC. Plus long, il tiendra compte de la longueur de rames longues insécables, quadricaisses. Doté de deux voies plus longues, – 110 mètres de long au lieu d’un peu plus de 96 m pour les trois de l’actuel – et mieux équipées, puisqu’électrifiées et en fosse, le futur atelier sera équipé d’un pont roulant ainsi que de passerelles fixes et mobiles. Une attention particulière sera portée à l’environnement avec un récupérateur d’eau pluviale pour le lavage des pièces, un chauffe-eau solaire pour les vestiaires et les bureaux, et une isolation plus grande du bâtiment.
Si la SNCF avait financé l’actuel atelier (12 ME), elle a, cette fois, fait appel aux collectivités. Conseil régional, général et communauté d’agglomération de Rennes ont apporté chacun 2 ME, soit 6 ME des 13,3 ME nécessaires à la construction, le solde venant de la SNCF. En échange, les 780 emplois du site rennais seront pérennisés jusqu’en 2015.
 

Yann GOUBIN