Si l’on en croit les résultats du Palmarès 2013 de Ville, Rail & Transports, le transport public va bien ! Ou du moins ils montrent que le secteur est dynamique et porteur de progrès même s’il faut du temps pour concrétiser des projets et pour aller plus loin dans l’intermodalité. Si l’on en croit les résultats du Palmarès 2013 de Ville, Rail & Transports, le transport public va bien ! Ou du moins ils montrent que le secteur est dynamique et porteur de progrès… même s’il faut du temps pour concrétiser des projets et pour aller plus loin dans l’intermodalité.
Nos critères de sélection s’appuient sur les chiffres 2012 de l’UTP. Ils prennent en compte les éléments clés mesurant la performance des réseaux urbains et les évolutions d’une année sur l’autre : offre kilométrique, nombre de déplacements, vitesse commerciale, taux de couverture, etc.
Pour Lyon, c’est la consécration. Même si elle ne figurait pas parmi les trois finalistes lors de notre dernier Palmarès en 2012, l’agglomération a fini par se hisser sur la plus haute marche du podium, après avoir remporté le Pass de bronze en 2010, puis le Pass d’argent en 2011. Un succès qui s’explique par une mobilisation menée sur tous les fronts, tram, métro et bus, ainsi que par des innovations intéressantes, telles que la mise en service d’une voie aménagée pour les modes doux dans un tunnel routier très emprunté ou encore le développement de « l’électromobilité partagée ».
Dans notre classement, Nantes revient aussi en force en obtenant le Pass d’argent. La ville a fait le pari des bus rapides pour compléter son réseau de tramway. Pari réussi au vu de la fréquentation. Elle a aussi su mener une audacieuse politique de réaménagement de son centre, donnant plus de place aux cyclistes et aux piétons. Son statut de « ville apaisée » est par ailleurs récompensé par notre jury qui lui a attribué le prix thématique « Ville et automobile ». Enfin, il y a la quasi indétrônable Strasbourg qui bénéficie toujours d’une longueur d’avance prise dans les années 90. L’agglomération reste sur le podium avec le Pass de bronze grâce à la poursuite du développement de son réseau.
Lyon, Nantes, Strasbourg, un trio gagnant qui accorde une place croissante aux nouvelles mobilités, comme le réclament les voyageurs.
Le futur plan de déplacements urbains d’Île-de-France vise à augmenter très sensiblement la part des transports publics ou des modes de transport doux d’ici 2020. C’est dans cette perspective que des Trophées de la mobilité ont été remis à cinq lauréats primés dans quatre catégories. Trente candidats s’étaient manifestés. En feuilletant les dossiers de candidature, on pouvait relever, au hasard, les campagnes de prévention routière de Rosny-sur-Seine ou le projet Diderot de « boulevard apaisé » dans le 12e arrondissement de Paris. On notait aussi l’utilisation par Geodis d’une installation terminale embranchée, pour permettre à un producteur de sable de passer de la route au chemin de fer. On remarquait encore des ateliers mobilité de la RATP, destinés à mieux insérer des publics ayant des difficultés – culturelles, linguistiques, sociales – à utiliser des réseaux de transport. Le point commun à ces initiatives ? Toutes s’inscrivent dans les objectifs du plan de déplacements urbains (PDU) d’Île-de-France en cours d’adoption, dont l’enquête publique commence en ce début d’année. Le futur PDU se fixe des objectifs comme l’augmentation d’ici à 2020 de 20 % de l’utilisation des transports publics ou de 10 % des modes doux ou actifs (marche à pied et vélo). Objectifs dont l’essentiel a été rappelé par Sophie Mougard, directrice générale du Stif, en ouverture des premières Assises de la mobilité en Île-de-France, qui ont eu lieu le 17 janvier au stade de France, à Saint-Denis. Les Assises se tiendront chaque année et permettront de suivre en continu la mise en place du PDU. Elles ont commencé par des ateliers, véritables bourses aux idées, permettant aux élus, concernés au premier chef, d’échanger sur les bonnes pratiques en matière de mobilité, et de s’approprier les objectifs du PDU.
Les Trophées de la mobilité, qui ont été remis à la suite des ateliers, étaient ouverts aux collectivités, aux entreprises et administrations engagées dans un plan de déplacements, aux exploitants de réseaux de transports et aux gestionnaires d’infrastructure, ou aux associations de la région. Les prix ont été décernés dans quatre catégories : espaces publics (où deux initiatives ont été primées), transports collectifs, marchandises et management de la mobilité. Le jury, qui s’était réuni fin 2012, était présidé par Pierre Serne, vice-président du conseil régional d’Île-de-France, et comptait parmi ses membres un représentant de Ville, Rail & Transports/La Vie du Rail, média partenaire du Stif pour cette opération. Cinq lauréats ont donc été désignés, pour les initiatives suivantes.
La politique vélo des Mureaux
La ville des Mureaux (Yvelines), a été primée dans la catégorie « espaces publics », pour l’aménagement d’un important réseau cyclable. Les Mureaux, il faut le souligner, bénéficie d’un espace assez plat approprié au vélo. Depuis la signature de la charte pour les circulations douces, en 2002, 25 kilomètres d’itinéraires vélos ont été réalisés. Sur cet ensemble on compte 4,2 km de « chaucidou », terme par lequel la commune désigne une bande d’accotement de 1 à 1,5 mètre dans les rues à double sens dont la largeur atteint au moins 4 mètres. Un type d’aménagement que la commune veut généraliser. De plus, un parking à vélos clos et couvert a été aménagé près de la gare SNCF. Depuis 8 ans, aucun cycliste n’a été blessé. Les collèges et les lycées enregistrent une forte hausse de l’utilisation du vélo.
La zone de rencontre de Morsang-sur-Orge
Autre ville primée dans la catégorie Espaces publics, Morsang-sur-Orge (Essonne), pour la création d’une zone de rencontre dans une rue principale du vieux bourg, désormais en voirie partagée sur 400 mètres : limitation de vitesse à 20 kilomètres par heure, suppression des trottoirs, double sens cyclable, aménagement de sept plateaux surélevés, campagne de communication pour sensibiliser les riverains à ce nouveau mode de partage de la voirie. L’axe est d’autant plus sensible qu’il est emprunté par des dizaines d’écoliers et de collégiens. La rue, selon la commune, était autrefois triste et mal organisée ; trottoirs étroits et dégradés, stationnement sauvage. Le projet a été mené à bien en 6 mois, pour 1,3 million d’euros dont 400 000 euros subventionnés.
Le pôle d’échange de Chelles
La communauté d’agglomération Marne et Chantereine (Seine-et-Marne), dans la catégorie « transports collectifs », a été primée pour la création d’un pôle d’échanges multimodal au niveau de la gare SNCF de Chelles. Ce pôle d’échange s’est constitué au fil du temps, avec, pour commencer, en 2000, la réalisation de la gare routière puis, pour principales étapes, la mise en place de la gestion de la gare routière en 2003, le transfert en 2005 de la gestion de cette gare à la communauté d’agglomération, la restructuration de la gare SNCF en 2007, la création de la galerie des transports en 2009 reliant la gare SNCF à la gare routière. Enfin, en 2012, le parc relais a été réhabilité et un service Véligo a été créé.
La barge et le vélo couplés par Vert chez vous
La société Vert chez vous (entreprise de livraison), dans la catégorie « marchandises », a reçu le trophée régional de la mobilité pour son système de livraison combinant la péniche et les vélos utilitaires. Le flux de distribution au fil de l’eau dans Paris intra-muros démarre dans le quartier de Tolbiac et après trois étapes, permettant aux trois équipes de six tricycles électriques de rayonner en ville, fait son demi-tour dans le 16e arrondissement. La rationalisation des tournées assure la pertinence économique de l’opération, chaque équipe faisant quatre relations dans la journée. Vert chez vous bénéficie de l’explosion du e-commerce et donc des flux de livraison aux particuliers. De plus, l’entreprise surfe (si l’on peut utiliser ce terme pour une péniche) sur la pratique du zéro stock qui multiplie le nombre de livraisons dans les magasins parisiens.
L’agglo sans auto popularisée par Cergy-Pontoise
La communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) a reçu le trophée de la mobilité, dans la catégorie « management de la mobilité », pour son opération « L’agglo sans mon auto » : six volontaires ont accepté de vivre pendant trois semaines sans utiliser leur voiture, en se déplaçant uniquement grâce aux transports publics. Objectif : « désintoxiquer les citoyens de la voiture ». L’opération doit permettre de réduire l’écart entre une offre en fait conséquente (TC, vélo en libre-service, consignes vélos, vélo stations, autopartage, parcs relais) et une part modale très importante de l’automobile. Selon les carnets tenus par chaque participant, les trajets effectués représentent une baisse de 57 % des émissions de CO2 par rapport à l’utilisation de véhicules personnels, et une économie moyenne de 100 euros par participant pendant 3 semaines. Quant au temps de parcours, il a augmenté de 18 minutes par jour et par participant, ce qui est considéré comme marginal, d’autant que ce temps, sans les risques ni le stress de la conduite, peut en partie se transformer en temps utile, voire tout simplement agréable.
Un calculateur d’itinéraire vraiment mulitmodal, puisqu’il agrège les données de 22 autorités organisatrices de transport, fonctionne depuis octobre dans toute la région Lorraine. Un calculateur d’itinéraire vraiment mulitmodal, puisqu’il agrège les données de 22 autorités organisatrices de transport, fonctionne depuis octobre dans toute la région Lorraine. SimpliCim, c’est son nom est accessible sur Internet (www.simplicim-lorraine.eu) et décliné en applications pour smartphone. Il permet de calculer son itinéraire via les transports en commun (bus, trains, trams) et les modes de transport écoresponsables (vélo, marche, covoiturage), en indiquant les lieux de départ et d’arrivée, ainsi que les horaires de départ et/ou d’arrivée souhaités. Fruit d’un projet débuté mi-2011 par la définition des besoins, la synthèse des systèmes existants puis l’élaboration des contours techniques, administratifs, juridiques et financiers du service souhaité, et enfin la signature, en février, d’une convention de partenariat entre la quasi-totalité des AO de la région, SimpliCim représente un investissement de 430 000 euros pour la région Lorraine, qui prend aussi à sa charge 50 % des frais de fonctionnement annuels.
La région étant transfrontalière, il est déjà prévu d’étendre, sous quelques mois, le service à la Grande Région, cet espace européen présidé par la Lorraine jusqu’à la fin de l’année, c’est-à-dire avec le Luxembourg, la Sarre, la Rhénanie-Palatinat, la Wallonie et Lorraine. Une interconnexion entre tous les systèmes d’information multimodaux existant sera réalisée via la plateforme EU-Spirit. SimpliCim s’inscrit dans la politique globale de développement durable et de préservation de l’environnement de la Lorraine. Ne serait-ce que parce qu’il offre la possibilité de calculer son trajet à vélo, ou encore en privilégiant la marche, et qu’il permet d’identifier les possibilités de covoiturage lorsque ce mode de transport est structuré. Enfin, il propose un calculateur d’émissions de CO2 de l’itinéraire choisi permettant à chacun de prendre conscience de l’impact environnemental de son trajet.
Un pôle d’échanges multimodal a été ouvert autour de la gare, le 22 février, à Auxonne. Un pôle d’échanges multimodal a été ouvert autour de la gare, le 22 février, à Auxonne.
Débuté en septembre 2007, le pôle de la gare d’Auxonne, avec 14 400 trains et 266 861 voyageurs par an, doit permettre de fluidifier les échanges entre les différents modes de transport, mais aussi d’ouvrir la gare sur la ville après la rénovation du parvis. Il est doté d’une dépose-minute, d’emplacements pour les taxis, d’un abri-vélos fermé et accessible avec un badge, d’un abri couvert pour les deux-roues motorisés et d’un arrêt autocars. Le pôle va permettre d’améliorer le confort et les services proposés aux clients dans la gare. Ainsi, un parking de 166 places a été créé, avec une rampe d’accès à son extrémité et des places dédiées aux véhicules de PMR.
Le projet, d’un budget global de 564 000 €, a été financé par les fonds européen Feder, l’Etat, le conseil régional de la Bourgogne, la communauté de communes d’Auxonne Val-de-Saône, le conseil général de la Côte-d’Or, la commune de Tillenay, RFF, le Syndicat d’électricité et la SNCF.
Centenaire, la gare Saint-Jean se prépare à la grande vitesse. Les travaux seront terminés cette année, réaménageant plus de 4 000 m2. Coût des travaux : 22 millions d’euros. Depuis le 17 mars, la gare de Bordeaux-Saint-Jean offre un visage résolument moderne. Malgré une restructuration à la fin des années 1980 pour accueillir les premiers TGV, l’organisation intérieure des déplacements n’était plus satisfaisante. Quatre ans de travaux sont sur le point de se terminer avec en ligne de mire la grande vitesse. Au total 4 400 m2 sont réaménagés. « L’objectif était d’élaborer une organisation spatiale et une valorisation du bâtiment compatibles avec l’aménagement du parvis », note Jacques Spigelstein, architecte, chef de projet. La requalification du hall d’arrivée comprend aussi la création d’un sol en pierre, la modification de l’éclairage, de la sonorisation, du mobilier, de la signalétique.
L’ouverture de la première partie de la galerie de liaison côté sud est effective. Cette colonne vertébrale s’avérait indispensable pour fluidifier les déplacements évitant ainsi l’encombrement du quai n° 1. « Cette galerie traverse le bâtiment en mettant en valeur la façade sur les quais, par la restauration des menuiseries historiques en bois et fonte et le nettoyage de la pierre des trumeaux », précise l’architecte.
Multimodalité, détente et services sont les maîtres mots de cette transformation qui s’étend des portes 44 à 56. L’espace multimodal, largement vitré, accessible depuis le parvis ou le quai n° 1, a pour vocation d’être connecté à la palette des moyens de transport. Guichets SNCF, TBC (trams et bus de la communauté urbaine), cars interurbains, voisinent avec un espace info-ventes dédié au TER, à l’office du tourisme. La circulation des trains, mais aussi des tramways et des bus, est affichée.
Le salon d’honneur – à l’emplacement des ex-portes 45 et 46 – est devenu une vaste salle d’attente aux équipements modernes dans un lieu de prestige. On y pénètre depuis le parvis ou la salle multimodale. Il est équipé de grands écrans plats mais le parquet, les boiseries et la cheminée ont été conservés ; les luminaires et les plafonds moulurés, remis en valeur ; les peintures murales d’origine, restaurées.
A l’extrémité sud, la conciergerie assure l’accueil et la prise en charge des personnes handicapées et réunit consignes, objets trouvés, toilettes et un point-vente d’articles de dépannage.
Le coût des travaux s’élève à 22,1 millions d’euros, dont 16,1 financés par la SNCF. Cent treize ans après sa construction, la gare Saint-Jean retrouve une unité architecturale et fonctionnelle en rapport avec l’évolution des déplacements et les besoins des usagers.
François-Xavier POINT
D’autres aménagements à venir
En juin, un nouvel espace de vente de 800 m2 et équipé de 15 guichets remplacera le bureau Informations et Réservations. Escalator, escaliers, vaste ascenseur panoramique permettront de rejoindre quais et souterrains.
2011 verra s’achever le déploiement de 231 écrans dans la gare, sur les quais, dans les souterrains avec la mise en service d’une nouvelle sonorisation, la gare ayant longtemps souffert d’annonces inaudibles. Quant à la signalétique, elle va être entièrement revue, avec des visuels et des codes couleurs utilisés pour la première fois en France.
Les aménagements seront adaptés à tout type de handicap, avec chemins podotactiles de guidage, balises audio, bornes d’appel, information en braille, boucles à induction.
Enfin l’ouverture de 1 000 m2 de commerces répartis principalement à la place des actuels guichets de vente au niveau -1 marquera la dernière étape de cet imposant chantier.
Morlaix Communauté a adopté, le 4 février, le projet de pôle intermodal autour de la gare de Morlaix. Evalué à 11 millions d’euros, il doit devenir un lieu de convergence pour les différents modes de transport en 2017. Morlaix Communauté a adopté, le 4 février, le projet de pôle intermodal autour de la gare de Morlaix. Evalué à 11 millions d’euros, il doit devenir un lieu de convergence pour les différents modes de transport en 2017, date d’achèvement des travaux. 900 000 voyageurs par an sont attendus en 2020, soit une augmentation de 66 %, notamment avec un TER toutes les demi-heures et 150 correspondances par jour tous modes confondus.
Mais il faudra aussi diminuer le trafic de voitures particulières de 7 % et le reporter vers les transports en commun afin d’éviter la saturation des accès. Car on estime à 1 800 le nombre de véhicules arrivant chaque jour au pôle, dont 1 600 voitures particulières.
Certes, 300 places de parking de plus sont programmées de part et d’autre de la gare, installées notamment à l’emplacement de l’ancienne halle marchandises. Une passerelle de 80 m de long et de 5 m de large, érigé à 7 m de hauteur, permettra de passer au-dessus des voies. Elle sera dotée de trois escaliers, chacun doublé d’ascenseurs. Le hall d’accueil sera agrandi de 100 m2 dans le prolongement du bâtiment actuel.
Dix autres gares de Bretagne, les plus importantes, vont aussi se transformer en pôles d’échanges multimodaux avec l’arrivée de la ligne à grande vitesse dans la région d’ici une dizaine d’années. Guingamp, Redon et Morlaix sont les trois projets les plus avancés.
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