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Ewa

La compagnie britannique South Western Railway repasse dans le giron public

Train Southern à Battersea Park (Londres, Angleterre, Grande-Bretagne)

La compagnie britannique South Western Railway, qui exploite des liaisons dans le sud ouest de l’Angleterre, a été renationalisée le 25 mai, C’est le premier opérateur ferroviaire à repasser dans le giron public dans le cadre du programme mis en place par le gouvernement travailliste au pouvoir depuis juillet.

La privatisation des compagnies ferroviaires britanniques a été lancée dans le milieu des années 90 sous le mandat du Premier ministre conservateur John Major. Mais au fil du temps, les retards sont devenus récurrents et les prix ont augmenté, suscitant le mécontentement des voyageurs.

Quatre entreprises ferroviaires sur 14 étaient déjà repassés sous contrôle public en raison de leurs mauvaises performances mais avec l’idée de les rebasculer par la suite dans le secteur privé. Et le réseau est géré par le groupe public Network Rail.

Mais une loi approuvée en novembre prévoit désormais la nationalisation des compagnies ferroviaires à la fin de leur contrat pour les regrouper au sein d’un organisme baptisé Great British Rail. Les travaillistes veulent en effet ainsi mettre un terme aux mauvaises performances ferroviaires.

GBR devrait ainsi remplacer les exploitants actuels au fur et à mesure que leur contrat se termine. Les contrats seront tous arrivés à échéance fin 2027.

Prochaines entreprise sur la liste des renationalisations : c2c en juillet, puis Greater Anglia en octobre.

Ewa

La nationalisation de la compagnie britannique South Western Railway prévue en mai

Train Southern à Battersea Park (Londres, Angleterre, Grande-Bretagne)

Ce sera la première compagnie privée à être nationalisée en Grande-Bretagne : South Western Railway, qui exploite des liaisons dans le sud ouest du pays, passera en mai dans le giron public, a annoncé le 4 décembre le gouvernement britannique. Une loi, approuvée en novembre, prévoit en effet de nationaliser les compagnies privées à la fin de leur contrat pour les regrouper dans un organisme baptisé Great British Railways.

GBR devrait ainsi remplacer les exploitants actuels au fur et à mesure que les contrats actuels se terminent. Prochains sur la liste : la société c2c en juillet, puis Greater Anglia à l’automne prochain. De fait, la nationalisation se limiterait donc à la reprise par GBR des contrats d’exploitation des trains de voyageurs dont l’exploitation est contractualisée dans le cadre d’un service public.

Les travaillistes, à l’origine de cette loi, veulent ainsi mettre un terme aux mauvaises performances enregistrées dans le secteur ferroviaire. La privatisation des opérateurs a eu lieu au milieu des années 1990 sous le mandat du Premier ministre conservateur John Major. Depuis, le réseau ferré est déjà revenu dans le secteur public via la société Network Rail.

Ewa

La proposition de loi simplissime d’Eric Ciotti pour privatiser la SNCF

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Il avait annoncé il y a une semaine qu’il allait déposer une proposition de loi pour privatiser la SNCF : c’est fait!  Eric Ciotti a déposé hier son texte à l’Assemblée nationale, expliquant, dans son exposé des motifs, que « la qualité de service n’est pas au rendez‑vous des sommes investies (…) et qu’il n’est aujourd’hui plus légitime que le contribuable français finance cette entreprise« .

Pour preuve, avance-t-il, la somme de 22 milliards dépensée annuellement par les contribuables pour la SNCF. Qui reprend à la louche un montant mélangeant des choux et des carottes (des subventions d’exploitation mais aussi d’investissements, la subvention d’équilibre du régime de retraite mais aussi les contrats payés par les régions pour faire rouler le service public des TER…). Le patron des Républicains et député des Alpes-Maritimes fustige aussi l’accord sur les fins de carrière signé par les quatre organisations syndicales de l’entreprise qui reviendrait, selon lui, à « piétiner les efforts d’économies engagés par la réforme des retraites de 2023« .

Comment Eric Ciotti envisage-t-il de compenser la perte de recettes pour l’État? Puisque, rappelons-le, la SNCF a engrangé 2,3 milliards d’euros de bénéfices en 2022 puis 1,3 milliard en 2023, ce qui rapporte des dividendes à l’Etat actionnaire, dividendes actuellement reversés en partie à la régénération du réseau ferré vieillissant, patrimoine national. Eric Ciotti propose une compensation « à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs« …

Interrogé sur la position d’Eric Ciotti lors du Club VRT dont il était l’invité le 23 mai, David Valence, député (Renaissance) des Vosges, s’était inquiété d’un «sous-investissement » de nombreux parlementaires pour les sujets liés aux transports, ce qui démontrerait à ses yeux une certaine forme « d’immaturité ». Selon cet élu, les propos d’Eric Ciotti consistent « à donner à bon compte l’impression de répondre aux attentes supposées de son électorat. »

De son côté,  Jean-Pierre Farandou qui avait également été interrogé le 22 mai par BFM TV sur les propos d’Eric Ciotti, avait simplement répondu : « Bon courage ! ».

MH P

Ewa

Lisbonne : Privatisation de la gestion des transports publics

1024px Metro de Lisboa

Le groupe espagnol Avanza a remporté fin juin l'appel d'offres pour l'exploitation du réseau de transports publics de Lisbonne, face aux français Transdev et RATP, face aux britanniques National express, et au portugais TTC.  Le contrat comporte deux lots . Le premier concerne… … la gestion de Carris, la société qui exploite le réseau de bus à Lisbonne. Avanza devra gérer une flotte de 622 bus sur plus de 70 lignes. Le trafic sur l'ensemble des lignes est estimé à 120 millions de passagers.

L'entreprise espagnole va également gérer le métro de la capitale portugaise. Actuellement Lisbonne possède plus de 110 rames de métro qui circulent sur 4 lignes et dans 52 stations. Le trafic métropolitain s'élève à quelque 170 millions de passagers par an.

Selon les médias portugais, le prix proposé par le groupe d'Avanza a été décisif, il pourrait faire économiser jusqu'à 25 millions d'euros par an.