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Ewa

Pour les Jeux olympiques et paralympiques, la SNCB ressuscite les trains classiques entre Bruxelles et Paris

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Disparu entre Bruxelles et Paris depuis la mise en service des trains à grande vitesse Thalys, désormais Eurostar, le train classique doit faire son retour sur cette relation durant les Jeux olympiques et paralympiques de l’été prochain. Un temps envisagé pour la fin 2024, ce retour devrait donc avoir lieu dès l’été, mais pour une durée limitée aux Jeux de Paris – du 24 juillet au 11 août, puis du 28 août au 8 septembre – et avec une fréquence réduite à deux allers-retours durant les JO, puis à un seul pendant les Jeux paralympiques.

Toujours est-il que les billets pour cette nouvelle relation ont été mis en vente, à partir de 34 euros l’aller simple en deuxième classe, contre un minimum de 49 euros en première classe, sur le site SNCB International. Des tarifs spécifiques sont également proposés aux groupes, à partir de 10 personnes.

Rattaché à l’offre Eurocity (EC), le nouveau train à réservation obligatoire reliera Bruxelles-Midi à Paris-Nord en ne marquant qu’un arrêt intermédiaire, à Mons. Les temps de parcours, qui seront de 3 heures environ en semaine, seront rallongés d’une heure le week-end en raison de travaux en France (on est loi des TEE d’avant 1996, qui mettaient de l’ordre de deux heures et demie !)

Du 24 juillet au 11 août, un train matinal partira chaque jour de Bruxelles-Midi à 7 h 02 en semaine et 7 h 06 le week-end, suivi d’un second en début d’après-midi, à 13 h 38 en semaine et 12 h 26 les samedis et dimanches. Le retour de Paris-Nord sera proposé à 12 h 30 en semaine et 13 h 56 le week-end, ainsi qu’en début de soirée, à 18 h 48 en semaine, 18 h 21 le samedi et 17 h 58 le dimanche. Et pour la période du 28 août au 8 septembre, le départ matinal de Bruxelles sera proposé aux mêmes heures, avec un seul retour de Paris, à 18 h 48 en semaine et 19 h 02 le week-end.

P. L.

Ewa

La SNCF et la SNCB veulent lancer une liaison Paris-Bruxelles à petite vitesse

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La SNCF et la SNCB veulent occuper le terrain sur l’axe Paris-Bruxelles. Les deux compagnies ont annoncé le 18 juillet étudier la faisabilité d’une liaison entre les deux capitales afin de compléter l’offre ferroviaire déjà existante en grande vitesse. « À cette fin, les deux opérateurs ferroviaires ont notifié leur intention d’exploiter ce nouveau service auprès de leur régulateur ferroviaire respectif« , indique la SNCF dans un communiqué.

Plusieurs allers-retours quotidiens sont envisagés avec des trains classiques (locomotive et voitures de voyageurs), en offrant ainsi des temps de parcours intermédiaire entre la route et le train à grande vitesse. Et certainement des prix moins élevés qu’à grande vitesse.

Rappelons que la compagnie Thalys (désormais intégrée au nouveau group eurostar, détenu à hauteur de 55,75 % par la SNCF et 18,5 % par la SNCB) a arrêté il y a tout juste un an Izy, son service de trains à bas coûts, qui utilisait la ligne classique pour relier en 2 heures 08 au mieux Paris à Bruxelles (au lieu d’1h20 en TGV), ce qui permettait d’amoindrir les frais et de proposer de petits prix.

Le service ferroviaire envisagé par les deux compagnies historiques française et belge devrait relier Bruxelles-Midi et Paris- Nord d’ici la fin 2024.

 

Ewa

Belgique – La SNCB commande jusqu’à 1 362 voitures deux niveaux au consortium Bombardier-Alstom

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Le 18 décembre, le consortium regroupant Bombardier Transport et Alstom Transport a signé un contrat cadre portant sur la fourniture à la SNCB d’un maximum de 1 362 voitures à deux niveaux du nouveau type M7… La valeur totale de ce contrat s’élève à environ 3,3 milliards d’euros, dont 2,1 milliards pour Bombardier et 1,2 milliard pour Alstom. La commande ferme prévoit 445 voitures, chiffrées à 1,3 milliard d’euros (787 millions pour Bombardier, environ 471 millions pour Alstom), à livrer entre septembre 2018 et 2021.

Cette commande par la SNCB d’un nouveau matériel à deux niveaux apte à 200 km/h sur les lignes principales belges, ainsi que sur les liaisons avec les réseaux néerlandais et luxembourgeois « y compris certaines lignes à grande vitesse » a été passée au terme d’un processus de sélection rigoureux, qui aura duré trois ans. La SNCB a finalement renouvelé sa confiance au consortium Bombardier-Alstom, qui lui avait déjà livré 492 voitures M6 et qui présente en outre l’avantage de faire travailler des sites belges ou à proximité (Valenciennes). Ainsi, le site de Bombardier de Bruges fournira 65 voitures-pilotes « multifonctionnelles » (PMR, espaces spécialisés) et 290 remorques intermédiaires. De son côté, Alstom construira 90 motrices (BMX) de conception nouvelle à Valenciennes, où cette commande est la bienvenue. Le Centre d’excellence électrique et signalisation d’Alstom à Charleroi sera également mis à contribution pour les équipements de traction et les auxiliaires, ainsi que pour le développement et la production des équipements ETCS niveau 2 pour ce parc. Les sites français du Creusot, d’Ornans, de Villeurbanne et de Tarbes seront également concernés par le projet. Le consortium devra aussi assurer un support technique pour la maintenance des véhicules, qui bénéficieront d’un système de diagnostic préventif.

Nouveauté : par rapport aux voitures M6, dont elles sont dérivées, les voitures M7 pourront aussi circuler sous forme de rames automotrices (de trois à cinq voitures), avec possibilité de mise en unités multiples. Mais les voitures M7 pourront toujours être tractées par des locomotives, y compris attelées à des voitures M6.