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Ewa

Objectif 2026 pour le prolongement du T6 de Lyon à Villeurbanne

Travaux T6 Sytral

Un an après le démarrage des travaux préparatoires, le prolongement du tram T6 lyonnais des Hôpitaux Est (aux confins du IIIe arrondissement et de Bron) à La Doua (Villeurbanne) est en pleine phase de travaux depuis le 7 novembre dernier, en vue d’une mise en service en 2026. Pour le prolongement vers le nord de Villeurbanne du T6, ligne de rocade qui relie déjà le sud et l’est de Lyon, Sytral Mobilités a attribué à NGE les marchés d’infrastructures et de voie ferrée. À son tour, NGE a réuni ses filiales ferroviaires, signalisation et marquage au sol, ainsi que les expertises au sein de son entité régionale Rhône Auvergne, « en particulier les métiers de terrassement, voirie et réseaux divers (VRD, sur 2,3 km) et réseaux ». Quatre filiales de NGE participent au projet : TSO (travaux ferroviaires), Guintoli (terrassement et VRD), Agilis (revêtements minéraux, balisage lourd et signalisation) et TSO Caténaires (mise en œuvre de la ligne aérienne de contact), en groupement avec Razel-Bec, Coiro TP, MDTP et Chazal. Quelque 200 personnes devraient être présentes sur le chantier à son pic d’activité, avec des objectifs « ambitieux » sur le plan de l’insertion professionnelle : 50 000 heures dont 20 % dans les métiers supports dont l’ingénierie, ce qui est « assez rare dans ce type de dispositif », selon NGE.

synoptique t6

Après les travaux préparatoires, dégagement d’emprises et dévoiement de réseaux, réalisés en début d’année 2023, suivis des études d’exécution pour les lots infrastructures et voies dans l’été, les travaux de construction de la ligne de tram proprement dite ont donc démarré il y a près de trois mois. Pour les dégagements d’emprises, NGE précise qu’il sera présent pendant quatre ans « pour assurer les finitions en voirie et réseaux divers prévus aux marchés ».

Chiffrés à 85 millions d’euros HT, les travaux portent sur la pose de 5,4 km de double voie, majoritairement avec des systèmes d’absorption des vibrations. Le long du tracé, les travaux donneront lieu à une requalification urbaine, avec des aménagements « de façade à façade » (la pose des 15 km de ligne aérienne de contact donnera lieu à l’installation de 200 poteaux et de 260 ancrages sur façades), ainsi qu’à la création d’aménagements cyclables et piétons. Obstacle supplémentaire : le prolongement du T6 rencontrera les tracés des lignes de tram T1, T3 et T4, ainsi que de la ligne C3 de trolleybus, ce qui nécessitera trois opérations coup de poing. Le tout se déroulera dans un environnement « très urbanisé et dense », où « toutes les mesures sont prises pour le maintien de la vie locale, la gestion des modes actifs (piétons et cycles) et la réduction des nuisances générées par les travaux », selon NGE, qui ajoute qu’une cellule est dédiée à la qualité, la sécurité et l’environnement.

Sur ce dernier point, NGE précise qu’une partie des matériaux est acheminée par voies ferrées et navigables, alors que l’utilisation de machines hybrides est privilégiée et que « de nombreuses autres actions visent à diminuer l’empreinte carbone des travaux telles que l’utilisation du vélo pour les déplacements du personnel, des panneaux photovoltaïques sur la base vie, l’utilisation privilégiée de matériaux bas carbone comme par exemple le béton ».

Une fois réalisé, le prolongement du T6 comptera dix arrêts, dont cinq en correspondance avec des lignes radiales structurantes de l’est lyonnais : tram T3 (à l’ancienne Gare de Villeurbanne), trolleybus C3 (deux fois), ligne A du métro (station Gratte-Ciel) et trams T1 et T4 (au terminus de La Doua). Quelque 55 000 voyageurs par jour y sont attendus pour son lancement.

Ewa

Le tram T6 roule entre Châtillon et Vélizy

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Le tram T6 est enfin en service ! C’est en masse, malgré la pluie, que ce samedi 13 décembre les gens sont venus applaudir l’inauguration de la partie en surface de la ligne T6 dans leurs quartiers.  La rame, le Translohr, œuvre initiale de Lohr et reprise par Alstom, dessert 19 stations sur un tracé de 12,4 km et devrait transporter environ 82.000 voyageurs par jour. Long de 46 mètres, ce tram roulant sur pneumatiques, est à ce jour, le plus long de France, une fierté pour la RATP. Le choix des pneus est argumenté par son adhérence accrue et son rayon de braquage semblable à celui d’une automobile ce qui lui confère un faible encombrement sur la voirie. Un pari réussi selon les élus présents. Au printemps 2016, la mise en service du tronçon réalisé en souterrain permettra de relier les stations de Viroflay-Rive Gauche et Rive Droite et connectera le T6 avec le réseau ferré de Paris Saint-Lazare, de Paris-Montparnasse et du RER C. Il faudra alors 40 minutes pour joindre les deux terminus.

Ewa

Paris : La ligne du T6 en essais

Paris : La ligne du T6 en essais

Une nouvelle phase d’essais a commencé pour le tramway T6 Châtillon – Viroflay. Après les tests sur le matériel roulant fin 2013, les essais dynamiques de la ligne ont commencé en février dernier et vont se poursuivre jusqu’en avril sur 9 km entre les futures stations Robert Wagner (Vélizy-Villacoublay) et Division Leclerc (Châtillon). Ces essais auront ensuite lieu jusqu’à la future station terminus Châtillon-Montrouge. La formation des conducteurs débutera en avril. Ce tramway sur pneu (Translohr STE6) pourra accueillir jusqu’à 252 passagers dont 60 assis.  La mise en service de la section en surface du futur tramway T6 Châtillon – Viroflay, entre Châtillon-Montrouge et Vélizy-Villacoublay, est prévue en décembre 2014.