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Ewa

Dublin : Transdev conserve le réseau de tramways Luas

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Transdev Dublin Light Rail Limited, filiale du groupe Transdev, a annoncé le 3 septembre, avoir remporté l’appel d’offre concernant le renouvellement de l’exploitation de Luas, le réseau de la capitale irlandaise… D’une durée de cinq ans, ce contrat de 150 millions débutera le 29 septembre. Il concerne l’exploitation, l’entretien et la maintenance ainsi que des dispositions innovantes en matière de sécurité et de lutte contre la fraude. 

L’autorité organisatrice, Railway Procurement Agency (RPA) a renouvelé sa confiance à Transdev Dublin grâce notamment aux économies réalisées et à la croissance du nombre de voyageurs. Depuis 2005, le nombre de passagers a augmenté de 8 millions dépassant ainsi les 30 millions par an (80 000 voyages/jour). 

Le réseau est composé de deux lignes de tramways (37 km de voies) et le matériel parcourt une distance de 3 millions de km par an.

Ewa

Vannes : premiers vélos électriques en libre service

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Depuis le 16 mai, Vélocéa, le service location de vélo en libre service, lancé en 2009, à Vannes, par la Ville et Transdev, le délégataire des transports, propose des vélos à assistance électrique… …Après Barcelone, depuis le début du mois de mai, Copenhague, et Monaco, Vannes est la première ville en France à inclure des vélos à assistance électrique dans l’offre de location courte durée. Certes, l’offre électrique existait déjà, mais pour des locations de plus longue durée.

A Vannes, les vélos à assistance électrique répondent mieux à la topographie vannetaise et permettre ainsi  au plus grand nombre d’habitants de profiter de cette offre modale.

Avant la mise en service de ces vélos électriques, Vélocéa, enregistrait déjà une croissance du service significative avec une hausse de la mobilité de 10% en 2013, soit plus de 45 000 déplacements par an.

La ville compte 25 stations et 174 vélos urbains (avec transmission par cardan pour éviter le risque de dérailler ou de salir ses vêtements), auxquels s’ajoutent les 22 vélos à assistance électrique.

Le principe de location et d’abonnement reste le même : 28€ par an (ou 20€ pour les abonnés Kicéo), 5€ la semaine ou 1€ la journée pour l’accès au service. Ensuite, à chaque utilisation, l’abonné bénéficie de 4 heures de location gratuite (1€ l’heure supplémentaire). Une caution de 150€ (non encaissée) est demandée pour tout abonnement. 

En étendant son offre Veloway aux vélos électriques à Vannes, Transdev va observer comportements et usages afin de proposer de nouvelles solutions de transports alternatives qui intègrent le vélo dans la politique globale de déplacements.

Ewa

Transdev cède ses bus londoniens à RATP Dev

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Comme prévu dans son plan de redressement, Transdev vend certaines de ses activités à l’étranger afin de générer du cash. Cette fois, ce sont ses bus londoniens de la société London Sovereign (2 % du marché) qu’elle annonce avoir cédé à RATP Dev… « Après que Sovereign s’est redressée de façon importante ces dernières années, nous souhaitons lui permettre de se développer en l’adossant à un acteur majeur du marché londonien, qui plus est français. Transdev pourra ainsi accélérer sa croissance sur le marché du transport à la demande et rechercher des opportunités dans le secteur des transports par bus en open access »a déclaré Jean-Marc Janaillac, Président-directeur général de Transdev. London Sovereign (460 employés, 140 bus) opère 13 lignes dans le secteur nord-ouest de la ville depuis ses 2 dépôts de Edgware et Harrow et a réalisé un chiffre d’affaires de à 33 millions d’euros en 2013.

De son côté, RATP Dev, possède la compagnie London United, qu’elle avait récupérée lors de la fusion Veolia-Transdev il y a 4 ans – en compensation de sa sortie du capital de Transdev – et qui s’est vue récemment confier l’exploitation d’une ligne supplémentaire. Avec ses 850 bus rouges à un ou deux étages circulant sur près de 60 lignes, c'est l’un des principaux opérateurs de bus du grand Londres. La filiale de développement de la RATP a dégagé l’an passé un chiffre d’affaires de 300 millions d’euros au Royaume-Uni, zone où elle entend se développer. Elle a d’ailleurs récemment créé une nouvelle unité d’affaires dédiée à la Grande-Bretagne et à l’Irlande, dirigée par Timothy Jackson, qui assure : « Nous allons mettre en commun connaissances et savoir-faire afin de proposer aux voyageurs le meilleur service possible et de répondre aux attentes de Transport for London, qui compte parmi les autorités organisatrices les plus exigeantes au monde en terme de qualité de service. »

Ewa

Las Vegas : Transdev remporte le transport à la demande pour PMR

Peut-être la commission transport du sud du Nevada (RTC) ne voulait-elle pas mettre tous ses œufs dans le même panierfrançais. Toujours est-il que Transdev fait son retour à Las Vegas,…  …après avoir perdu, l’été dernier, le contrat d’exploitation du réseau de bus, dans une partie de la célèbre ville américaine, au profit de son concurrent français Keolis.

Le 24 avril, la commission a donc attribué, à l’unanimité des membres, le contrat de transport à la demande des personnes à mobilité réduite de Las Vegas, à Veolia Transportation, filiale locale de Transdev. A partir d’août, il remplacera First group qui opérait jusqu’à présent ce marché à Las Vegas.

Le contrat remporté par Transdev, d’un montant de 409 millions de dollars sur dix ans est « l’un des plus gros contrats de transport de personnes à mobilité réduite aux Etats-Unis (un million de passagers par an) », explique l’opérateur de transport. D’une durée de cinq ans, ce contrat comprend deux clauses de reconduction de trois et deux ans. Veolia Transportation se voit confier l’organisation des horaires ainsi que l’entretien et l’exploitation. Le groupe emploiera 570 personnes dont 449 chauffeurs qui conduiront 308 véhicules.

En comparaison, le contrat pour les bus classiques devrait rapporter, à Keolis, 235 millions de dollars sur cinq ans, renouvelable lui aussi.

On l’aura compris, le transport à la demande PMR n’est pas un parent pauvre du réseau de bus classique. La population américaine est vieillissante, éprouve donc des difficultés à se déplacer, ou est sujette à des problèmes de santé, comme l’obésité par exemple. Le recours au transport à la demande dédié au PMR, ce que les américains appellent le paratransit, est en croissance constante.

« Nous sommes très heureux de revenir à Las Vegas », a déclaré Ken Westbrook, président du pôle transport de Veolia Transportation. « Nous avons prévu de mettre en oeuvre des technologies plus modernes, d’améliorer la sécurité et la formation et de renforcer notre culture de la relation client. Notre objectif est d’accroître la fiabilité et l’efficacité du transport des personnes à mobilité réduite tout en optimisant la fiabilité du service et le confort de nos passagers

Pour Jean-Marc Janaillac, Pdg de Transdev. « Ce nouveau contrat remporté dans le transport à la demande aux USA conforte Transdev dans son rôle de numéro 1 du secteur. Après Baltimore, Washington D.C, Seattle, la Nouvelle Orléans et le comté de Nassau ; Las Vegas nous encourage davantage à faire du transport à la demande un axe de développement prioritaire ».

Ewa

SNCM : Transdev débouté par la justice

Le Pascal Paoli

L'actionnaire principal de la SNCM, Transdev, a été débouté par la justice, le 18 avril, après un premier revers… …au sein du conseil de surveillance, a échoué cette semaine à reprendre le contrôle de la compagnie maritime marseillaise, dont il désapprouve la stratégie.

Faute d'avoir réussi à s'imposer lors du conseil du 14 avril, Transdev avait saisi en référé le tribunal de commerce de Marseille pour demander la désignation d'un mandataire aux fins de convoquer une assemblée générale pour révoquer le président du conseil de surveillance, Gérard Couturier. Motif avancé: "revenir à une situation de gouvernance normale". Car celui-ci, qui siège parmi les représentants de Transdev, est de fait un allié objectif de la direction actuelle.

Mais le tribunal ne lui a pas donné gain de cause, considérant que « la société SNCM fonctionne dans le respect des règles statutaires », et « qu'il y a donc lieu de débouter Transdev de toutes ses demandes ». Le requérant, argue-t-il, "n'établit pas la réalité d'un blocage des organes de gestion (…) pas plus qu'il ne justifie d'un trouble ou d'un préjudice » à « faire cesser sans délai ». En outre, l'actionnaire majoritaire aura la possibilité d’« exprimer son point de vue » au cours de « l'assemblée générale ordinaire qui doit se tenir au plus tard le 30 juin 2014 ». 

Ewa

Mont-Saint-Michel : Transdev redémarre seul le service des calèches

Le service d'accès au Mont-Saint-Michel (Manche) en calèches a, en partie,… …« repris le 14 avril avec une calèche. L'objectif est un retour à un service complet (quatre calèches) pour l'été », a indiqué Régina Dutacq directrice des services Transdev au Mont.

Le service s'est interrompu, le 9 décembre, en raison d'un conflit entre la société, filiale de Veolia et de la Caisse des dépôts, et l'éleveur propriétaire des chevaux. Un procès repoussé à plusieurs reprises doit avoir lieu le 23 mai devant le tribunal de commerce de Paris à ce sujet.

Mais face à la pression des collectivités locales qui lui ont confié ce service et aux pénalités financières qu'elles lui réclament, Transdev a décidé d'acheter ses propres chevaux et d'embaucher un soigneur chargé de remettre en place le service.

Selon Me Patrick de Fontbressin l'avocat de l'éleveur avec qui Transdev est en conflit, son client met en cause la "compétence" des cochers de Transdev et craint pour la "santé des chevaux". 

Ewa

SNCM: Transdev saisit la justice

PASCALPAOLI SNCM

Le conseil de surveillance de la SNCM a refusé le 14 avril la convocation d'une assemblée générale souhaitée par l'actionnaire majoritaire Transdev pour évincer la direction actuelle… Le PDG de Transdev Jean-Marc Janaillac a annoncé, dans un communiqué, qu'il allait "saisir le président du tribunal de commerce afin d'obtenir la convocation d'une AG", dans le but de révoquer le président du conseil, Gérard Couturier, représentant de Transdev, mais "allié objectif" du président du directoire, Marc Dufour, selon un syndicaliste. Chose faite dès le 15 avril : le tribunal de commerce de Marseille a été saisi.
 Le groupe de transport public (66% du capital de la SNCM, 7 sièges) souhaite ainsi reprendre la main au sein du conseil de surveillance, où il peut aujourd'hui être mis en minorité par les représentants des employés et des actionnaires salariés (9%, 4 sièges) et l'État (25%, 3 sièges). "Le refus du conseil de surveillance d'autoriser la convocation de cette assemblée générale illustre une nouvelle fois le caractère totalement anormal de la gouvernance de la compagnie", estime Transdev. "Cette démarche vise à revenir à une situation de gouvernance normale, qui permette à Transdev d'exercer ses droits en tant qu'actionnaire majoritaire au sein du conseil de surveillance et ne pas être entraîné contre sa volonté dans une stratégie sans issue pour la SNCM elle-même et de nature à compromettre le redressement de Transdev et l'avenir de ses 86.000 salariés", assure le groupe, hostile au plan de redressement engagé par la direction actuelle.
 
      

Ewa

Transdev en avance sur son plan de redressement

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L’opérateur de transport public Transdev a présenté le 9 avril ses résultats 2013. Les pertes nettes atteignent 130 millions d’euros contre 390 millions en 2012. class= »MsoNormal »>
 

« S’il reste négatif, notamment en raison de l’impact des résultats de la SNCM, ce résultat est supérieur à ce qui était prévu dans le cadre du redressement », indique Jean-Marc Janaillac, le PDG du groupe.

Transdev a réduit sa dette, la faisant passer de 1,9 milliard à 1,1 milliard d’euros aujourd’hui. Ce redressement financier a été possible grâce à l’amélioration des résultats et à l’augmentation du capital de 560 millions d’euros consentis par les actionnaires, Caisse des dépôts et Consigantions et Veolia Environnement. Même s’il a pris du retard, le programme de cession d’actifs y a aussi contribué : les activités en Belgique viennent d’être vendues, et la cession des actifs en Suède et en Finlande devrait aboutir dans le courant de l’année.

Transdev va désormais se concentrer sur les pays européens « matures », en premier lieu la France (Un pays qui pèse de plus en plus dans le chiffre d’affaires avec la politique de cessions d’actifs à l’étranger) et les Pays-Bas. Le groupe va cibler aussi « les pays développés à potentiel comme les Etats-Unis et l’Australie, enfin les pays émergents, comme l’Amérique Latine et l’Asie ».

L’année dernière, Transdev a également achevé sa réorganisation avec notamment la restructuration autour de 16 pôles régionaux « implantés au plus près des équipes ». Parmi les nouveautés, le groupe a également créé une direction de la performance « qui témoigne de la priorité donnée à l’amélioration de la performance des opérations », souligne Jean-Marc Janaillac.

Cette année, la priorité est donnée à la poursuite de la stratégie sur le métier ainsi qu’au redressement financier. Transdev va notamment continuer à revoir tous les contrats déficitaires en France car il n’est pas question de perdre de l’argent. Pas question non plus, selon Jean-Marc Janaillac, de « se faire plus grand que l’on est », référence directe à son principal concurrent Keolis qui mène une politique de développement au pas de charge mais parfois au détriment, laisse-t-il entendre, de ses finances. A Valenciennes, Transdev a trouvé un accord avec la collectivité pour sortir du contrat qui sera remis en jeu à la fin de l’année. Autre exemple compliqué, à Reims par exemple, Transdev ne souhaite pas sortir du contrat mais en revoir les avenants.

Le groupe a plusieurs grands rendez-vous programmés en 2014, dont la réponse à l’appel d’offre de Bordeaux et le renouvellement du contrat de Dublin. Il va également participer à la mise en service du métro de Mumbai avant l’été, du tramway de Besançon et d’une nouvelle ligne de tramway à Grenoble.

Cette année devrait être celle du retour à l’équilibre, soit avec un an d’avance par rapport aux projections initiales. 

 

Pour en savoir plus : Retrouvez également l’actualité de Transdev et ses projets de développement dans le transport à la demande et dans les liaisons par autocar dans le prochain numéro de Ville, Rail & Transports de mai. 

Ewa

SNCM. Suspension de la grève

SNCMDanielle Casanova

Les syndicats de la SNCM ont suspendu le 1er avril le mouvement de grève entamé le 26 mars après avoir obtenu des garanties de l'actionnaire principal Transdev sur l'avenir de la compagnie maritime marseillaise.
« Le groupe Transdev a garanti par courrier à l'Etat qu'il n'enclencherait aucune procédure collective devant le tribunal », a indiqué à l'AFP Pierre Maupoint de Vandeul, délégué CFE-CGC des officiers, à l'issue d'une AG commune des organisations.
Après un conflit de près de dix jours début janvier, la CGT (majoritaire), le SAMMM (Syndicat autonome des marins de la marine marchande), la CFDT, FO et, pour l'encadrement, la CFE-CGC avaient décidé de lancer un nouveau mouvement face aux « menaces graves et imminentes » pesant sur l'opérateur historique des lignes Corse – continent.
Au fil des conseils de surveillance, Transdev (66 %), filiale de la Caisse des dépôts (CDC) et de Veolia Environnement, a affiché son hostilité croissante vis-à-vis du plan de redressement de la société, qu'il estime « fragile ».
Les syndicats ont également obtenu la tenue d'une table ronde sur la question de l'actionnariat, avec la nomination d'un coordinateur, ainsi qu'une réunion avec les équipes du nouveau Premier ministre Manuel Valls, des ministres des Transports et des Finances « dans les trois semaines à venir ».

Ewa

SNCM. Une nouvelle grève pour « chasser » l’actionnaire Transdev

Danielle CasanovaSNCM

Après un conflit de près de dix jours début janvier, les syndicats de la SNCM répètent l'exercice au vu de "l'évolution inquiétante", à leurs yeux, de ces dernières semaines : ils ont entamé le 26 mars un mouvement de grève… pour pousser le gouvernement à chasser l'actionnaire principal Transdev, face aux "menaces graves et imminentes" qui pèsent sur la compagnie maritime marseillaise. Aux manettes dans le conflit : la CGT (majoritaire), le SAMMM (Syndicat autonome des marins de la marine marchande), la CFDT, FO et, pour l'encadrement, la CFE-CGC.
Au fil des conseils de surveillance, Transdev (66%), filiale de la Caisse des Dépôts (CDC) et de Veolia Environnement, a en effet affiché son hostilité croissante vis-à-vis du plan de redressement de la société, qu'il estime "fragile".
Si la commande de quatre navires au chantier naval STX de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) a été amorcée, les salariés craignent que, dans un tel contexte, elle ne puisse aboutir d'ici fin juin, comme le prévoit le calendrier entériné en janvier.
Ils réclament donc "la mise en oeuvre dans les meilleurs délais de la sortie de Transdev par la mise en place d'un actionnariat provisoire" avec l'entrée en direct de la CDC, et parallèlement la recherche de nouveaux partenaires. Et en appellent à l'Etat, actionnaire direct à 25% de la SNCM, mais aussi indirect via la CDC.
Le 25 mars, le groupe Transdev, défendant sa position dans le dossier, avait assuré se tenir "à la disposition des investisseurs qui seraient intéressés à la reprise de sa participation", qu'il compte céder "pour une somme symbolique et en abandonnant ses créances".
La SNCM, soumise à une double condamnation de Bruxelles à rembourser 440 millions d'euros, est engagée dans un plan de redressement qui prévoit un renouvellement de la flotte, une augmentation du temps de travail et une réduction d'effectifs à hauteur de 500 postes (sur 2.600), le tout pour obtenir une meilleure productivité et remettre l'entreprise à flot.
   

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