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Ewa

Valdunes repris par Europlasma, soutenu par l’Etat et des collectivités

Essieu Valdunes

Le tribunal de Lille a donné son feu vert le 20 mars à la reprise de Valdunes par le seul candidat, le groupe Europlasma, spécialiste de la valorisation de déchets et qui a repris ces dernières années plusieurs entreprises en difficultés.

Le plan prévoit de préserver 178 emplois, soit 60 % des postes, sur les deux sites du dernier fabriquant de roues de train en France : la forge de Leffrinckoucke, près de Dunkerque, et l’usine de Trith-Saint-Léger, près de Valenciennes (dans le Nord).

L’opération a été rendue possible par le soutien de l’Etat, Emmanuel Macron s’étant en personne engagé à « se battre jusqu’au dernier quart d’heure pour Valdunes« , érigé en symbole de la souveraineté industrielle française après l’annonce du désengagement de son actionnaire chinois MA Steel.

Europlasma, dont le chiffre d’affaires atteint seulement 14,5 millions d’euros, devrait apporter, selon Bercy, 15 millions d’euros sur fonds propres sur trois ans, tandis que l’Etat prêtera jusqu’à 15 millions et les collectivités locales jusqu’à 4 millions de financement du foncier et un million de subventions.

Le repreneur compte « transformer le modèle économique » de Valdunes, visant à terme la production « de roues vertes » avec de « l’acier vert » et une « énergie verte« .

Les 131 salariés licenciés se verront tous proposer une offre de reclassement ou de formation, a assuré dans un communiqué Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie et de l’Energie.

Ewa

Valdunes placé en redressement judiciaire

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Le tribunal de commerce de Lille, qui a constaté une situation de cessation de paiement, a placé le 20 novembre en redressement judiciaire Valdunes. Le dernier fabriquant en France de roues et d’essieux pour les trains est à la recherche d’un repreneur après avoir été été lâché en mai dernier par son actionnaire chinois MA Steel.

L’entreprise dispose de trésorerie lui permettant de tenir jusqu’en mars. Le tribunal considère qu’un « plan de redressement est envisageable » pour la société qui emploie plus de 320 salariés dans deux sites du département du Nord, une forge à Leffrinckroucke, près de Dunkerque, et Trith-Saint-Léger près de Valenciennes, où sont usinés roues et essieux. « A ce stade, nous n’avons pas de marque d’intérêt pour les deux sites mais nous avons des marques d’intérêt séparés pour chacun des deux sites« , a commenté Roland Lescure, le ministre de l’Industrie qui suit le dossier depuis plusieurs mois.

En septembre, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, avait appelé à la reprise de Valdunes par Alstom et la SNCF, deux gros clients du fabriquant. Les deux groupes se sont dits prêts à jouer leur rôle d’acheteur mais pas à devenir actionnaires. De leur côté, l’Etat et la région Hauts-de-France ont annoncé mi-octobre qu’ils s’engageraient financièrement pour accompagner une éventuelle reprise.

Selon le ministère de l’Industrie, Valdunes produit en moyenne 30 000 roues par an. Il devrait en fabriquer au moins 80 000 pour être rentable. C’est deux fois plus que les besoins cumulés d’Alstom, de la SNCF et de la RATP. L’évolution des sites vers d’autres activités fait partie des scénarios envisageables pour la suite, estime le ministre.

Ewa

MG Valdunes lâché par MA Steel, son actionnaire chinois

Essieu Valdunes

Il y a à peine plus d’un mois, le stand de MG Valdunes avait belle allure au salon ferroviaire Sifer, avec la présentation de ses nouveaux essieux, spécialité de cet industriel qui emploie quelque 350 personnes dans deux sites du département du Nord : Leffrinckoucke (à l’est de Dunkerque) et Trith-Saint-Léger (dans l’agglomération de Valenciennes). Mais la réalité était moins rose : repreneur en 2014 de Valdunes, qui venait alors de se séparer de son ancien concurrent allemand GHH, le groupe chinois MA Steel ne souhaite maintenant plus investir dans l’outil de production du seul fournisseur français de roues et d’essieux, éléments on ne peut plus indispensables du matériel roulant ferroviaire…

Le lendemain de l’annonce de MA Steel, le 4 mai, les salariés ont entamé une grève, alors que plusieurs personnalités politiques des oppositions se sont succédées sur les sites de Valdunes. Interrogé sur BFM TV au sujet de cette décision de MA Steel, Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, a déclaré que « la priorité à très court terme est d’assurer la continuité de l’activité dans les semaines et dans les mois qui viennent de manière à ce qu’on prenne le temps de trouver un repreneur solide ». Mais quel repreneur ? « L’idée est de retrouver un repreneur stratégique, quelqu’un qui connaît le métier et pas forcément quelqu’un qui a besoin ou envie de faire une opération financière de court terme », a répondu le ministre. Ce qui risque de prendre du temps. Il y a neuf ans, six entreprises du monde entier avaient manifesté leur intérêt, donnant lieu à quatre dépôts de candidatures auprès du tribunal de commerce de Valenciennes, dont deux seulement se sont retrouvées lors des discussions finales. Combien seront-elles cette fois ?

P. L.

Ewa

Le fabricant de roues et d’essieux Valdunes repris d’ici fin mai

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Placée en redressement judiciaire, la société Valdunes, spécialisée dans la fourniture et la maintenance d’axes, de roues et d’essieux, pour le matériel ferroviaire et urbain, devrait faire l’objet d’une reprise d’ici fin mai. Le 31 mars, le tribunal de commerce de Valenciennes a converti la sauvegarde en redressement judiciaire, à la demande de la direction de Valdunes.

Cette procédure va permettre à Valdunes, qui dispose de la trésorerie nécessaire pour poursuivre son activité, de présenter un plan de cession de ses activités d’ici fin mai.

Six industriels se sont déjà déclarés intéressés par une reprise des activités, la date limite de remise des offres ayant été fixée au 22 avril.

Cette reprise permettra notamment de réaliser les investissements nécessaires à la pérennisation des activités de la société et de ses sites.

Au cours de la procédure, les activités de Valdunes se poursuivront dans les conditions habituelles.

 

Valdunes, qui emploie 487 personnes, opère sur deux sites industriels : Dunkerque avec la seule forge française spécialisée en roues ferroviaires, et Valenciennes pour l’usinage et la finition des produits