Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

A Aubagne, le vélo, c?est gratuit !

Le système de prêt permettra de toucher tout le territoire de la communauté d’agglomérations du Pays d’Aubagne et de l’Etoile C’est gratuit et le seul engagement est de prendre soin du matériel. La communauté d’agglomération du Pays d’Aubagne et de l’Etoile, dans les Bouches-du-Rhône, va prêter des vélos type VTC mixte de fabrication française pour une période de trois mois, renouvelable deux fois, soit neuf mois au maximum. Cela concerne les habitants des onze communes de l’agglomération et les salariés des entreprises du territoire.
Les inscriptions viennent de débuter et les vélos seront livrés avant la fin de l’année. Pas de caution réclamée : en cas de dégradation ou de vol de la machine, l’utilisateur paie la « casse ». « Nous attendons une cinquantaine de demandes d’ici 2009. C’est un début. Il nous faut davantage faire connaître la démarche, confie Joëlle Laborier, responsable du pôle aménagement et développement durable de la communauté d’agglomération. Nous nous sommes inspirés d’autres villes, comme Angers. C’est une formule souple qui permet de s’adapter. Nous nous donnons un an pour voir ce que cela donne. » Cette communauté d’agglomération à l’est de Marseille (94 000 habitants) regroupe une ville comme Aubagne où vivent 43 000 personnes, des communes de moins de 10 000 habitants et des villages comme Belcodène (1 400 habitants), La Destrousse (2 500 habitants) ou Saint-Savournin (2 100 habitants), perché à 480 m d’altitude. « Le système Vélib’ n’est pas adapté à la configuration de l’agglomération, voilà pourquoi nous nous sommes orientés vers un système de prêt qui touche tout le territoire », explique Alain Belviso, président de la communauté. Un système également moins coûteux. Pour 2008, le budget concerne essentiellement l’achat d’une cinquantaine de vélos d’une valeur de 500 euros chacun et la mise en place de parcs de stationnement. A l’avenir, la communauté inscrira progressivement à son budget les 16 actions de son plan vélo. « L’objectif du prêt est de donner le goût du vélo, de permettre de connaître et de tester ce mode de déplacement doux sans nécessité d’investir tout de suite. Chacun aura trois mois ou plus pour être convaincu », note Joëlle Laborier qui espère ainsi pérenniser l’utilisation du vélo dans l’agglomération, en particulier pour les trajets domicile-travail. Le principal critère de renouvellement du prêt sera l’état de la machine dont l’utilisateur aura la charge, « comme si c’était le sien » insiste la responsable. La communauté d’agglomération a fait appel à un prestataire local pour la fourniture des vélos. Mixtes et, assure-t-on, robustes, ils comprennent deux systèmes de freinage, des vitesses intégrées avec 3 plateaux, un antivol et un panier avant. Le prestataire est chargé de les préparer, d’en expliquer le fonctionnement et de faire signer la convention entre l’usager et la communauté d’agglomération. Ensuite, ça roule…
 

José SOTO

Ewa

La nouvelle dimension du Club des villes cyclables

Lors de son assemblée générale du 25 septembre, le Club des villes et territoires cyclables s’est doté d’un nouveau conseil d’administration Jean-Marie Darmian aime à raconter sa tournée des ministères en novembre 1999, à la recherche de financements pour la station vélo de Créon (Gironde, 4 000 habitants), le long de la voie Roger Labépie, qui relie sur 50 km Latresne, près de Bordeaux, et Sauveterre de Guyenne. « Aux Transports, dit-il, on m’a demandé comment serait le revêtement du sol ; et aux Sports, de quelle fédération je relevais… » Après s’être ainsi fait renvoyé d’une place à l’autre, un fonctionnaire du ministère du Tourisme lui accorde finalement un crédit de 50 000 francs, au nom d’un texte tout frais sur les voies vertes et de leurs points-relais. « La politique vélo est saucissonnée, en conclut Jean-Marie Darmian, alors qu’elle n’a de sens que dans un projet global. » « Le vélo, c’est un projet citoyen, social et durable », a-t-il martelé à la tribune le jour de son élection. Un projet qui « ne peut vivre que si les habitants se comportent autrement qu’en consommateurs », et qui « repose sur une certaine forme de solidarité qui fait qu’on doit se respecter sur les espaces publics ».
« Quand on part à vélo, c’est toujours une aventure », dit-encore le nouveau président du Club. La sienne a commencé en 1986. Instituteur, militant du sport à l’école, il monte alors le Centre des classes citadines de la Gironde, une opération expérimentale menée sous l’égide de l’Inspection académique. Grâce à cela, des milliers d’enfants iront découvrir le patrimoine de Bordeaux à bicyclette. Journaliste sportif pendant vingt ans (Bordeaux Actualités, Sud-Ouest), militant dans le monde syndical et mutualiste, il est élu maire de Créon en 1995. En 1999, il veut adapter le concept de station de ski au vélo, pour valoriser la voie Lapébie, une ancienne voie de chemin de fer aménagée par le conseil général. Depuis l’ouverture de ce point-relais, la ville s’est totalement tournée vers le vélo – sous toutes ses formes – et les déplacements doux. Des aménagements de voiries sont réalisés et des vélos de services mis à disposition des agents municipaux. Mais la cible privilégiée de cette politique, ce sont les enfants. « Plus d’un tiers d’entre eux vont à l’école à vélo », se réjouit l’élu. La commune a bien sûr organisé des Pedibus et des Vélobus. A la rentrée 2005, elle a inventé un livret Jeune et citoyen pour les CM1-CM2, à charge pour chacun d’accumuler des points de citoyenneté. Ce contrat, qui associe les familles, rencontre un succès croissant : 50 enfants en 2007 (sur une classe d’âge de 150), contre 3 au démarrage. Il est vrai que les enfants peuvent gagner un retour de l’école en « Equibus » dans une antique voiture à cheval. Même les maternelles le demandent ! Jean-Marie Darmian, 61 ans, a animé des réflexions sur le vélo à l’échelle des territoires au sein du Club des villes cyclables. Il est par ailleurs secrétaire de l’Association des départements cyclables.
 

Hélène GIRAUD

Ewa

Strasbourg adepte du comptage des vélos

Le système de comptage, enterré sous la chaussée, envoie un relevé toutes les trois minutes La Communauté urbaine de Strasbourg a installé cet été sur sa piste cyclable la plus fréquentée une station de comptage des vélos invisible, enterrée sous la chaussée, et automatisée. Basée sur la technologie Zelt d’Eco-Compteur, la technologie mise en œuvre sous la Place de l’Etoile est capable de distinguer le sens de circulation du vélo et d’envoyer, toutes les 3 minutes, un relevé au Sirac, le Système informatique de régulation automatique de la circulation de l’agglomération strasbourgeoise. « Cette connexion à un réseau centralisé constitue une première nationale, affirme Yves Laugel, directeur du Sirac. Nous ne disposions jusqu’à présent que de deux séries de données annuelles, collectées à l’aide de tubes pneumatiques posés pendant une semaine sur les pistes cyclables qui nous intéressaient. Les séries statistiques plus précises, que nous avons commencé à enregistrer, permettront de produire des analyses beaucoup plus fines. Nous saurons si les fortes chaleurs ont une incidence sur la pratique du vélo en ville, si les cyclistes changent de comportement pendant les plans ozone, s’ils circulent moins quand il pleut, et à partir de quelle température négative ils arrêtent de pédaler en hiver. » Autre intérêt de la télétransmission des données, l’économie de main d’œuvre : un agent de la Communauté urbaine serait occupé à mi-temps s’il devait relever in situ des stations de comptage réparties sur les 450 kilomètres de pistes cyclables de l’agglomération. Cinq autres stations automatiques seront installées à Strasbourg en 2009, au prix unitaire de 5 000 euros. Les séries statistiques enrichies ont déjà apporté leurs premiers enseignements : l’axe est-ouest de la Place de l’Etoile est emprunté chaque jour par 6 000 à 7 000 cyclistes. Les heures de pointe se situent entre 7h30 et 8h30, le matin, et à partir de 17 heures en soirée. Le Sirac utilisera l’information collectée à des fins de macro- et de micro-régulation. Les élus disposeront d’une base fiable pour élaborer leur politique de transports. Et les gestionnaires du réseau pourront modifier, en temps réel, les réglages des feux de signalisation sur l’itinéraire des cyclistes.
 

Olivier MIRGUET

Ewa

La Petite Reine s?exporte à Genève pour les livraisons

L’Ecomotrice se positionne comme un relais entre les entrepôts de stockage suburbains et les détaillants du centre-ville de Genève Les véhicules professionnels sont nombreux à circuler en centre-ville. Ils augmentent la charge de trafic de certains secteurs déjà bien encombrés et leur stationnement le long du trottoir met en péril la fluidité de la circulation. De plus, les livraisons se faisant plusieurs fois par semaine ou par jour, cet afflux de fourgons et fourgonnettes crée une pollution supplémentaire dommageable pour l’environnement. Quelle qu’en soit la nature, les marchandises et fournitures nécessaires aux commerces, ateliers et bureaux du centre de la cité sont le plus souvent stockés en périphérie des villes. Ce qui ne fait qu’amplifier le nombre de déplacements journaliers, pour des volumes généralement peu importants. De plus, chaque plate-forme est le plus souvent dévolue à un client unique, ce qui multiplie le nombre de petits utilitaires en service simultané, et accroît d’autant l’émission de rejets polluants. C’est en partant de cette analyse qu’un entrepreneur genevois, soucieux d’environnement, a décidé de proposer un service rapide et écologique pour la livraison de marchandises lourdes ou volumineuses. Membre associé du groupe français La Petite Reine, Gérard Valéri adapte à Genève une expérience déjà tentée à Paris, Dijon et Bordeaux. Conçue comme une alternative aux livraisons motorisées dans la cité genevoise, l’Ecomotrice se positionne comme un relais entre les entrepôts de stockage suburbains et les détaillants du centre-ville. Disposant d’une plate-forme logistique de 200 m2, il offre à ses clients la possibilité d’y faire décharger et entreposer leurs marchandises, avant de les leur livrer rapidement à n’importe quelle heure de la journée. Gérard Valeri a constaté que les véhicules de livraison fonctionnent à 25 % de leur capacité d’emport et reviennent à vide plusieurs fois par jour vers leur site de départ. Ces allers-retours trop fréquents accroissent la pollution urbaine et génèrent souvent des embarras de circulation, notamment en cas de stationnement prolongé. Ces fourgons de moins de 3,5 t, souvent chargés de quelques dizaines de kilos constituent l’adversaire principal de la jeune société genevoise. Avec ses 5 cargocycles et sa plate-forme d’entreposage installés non loin des quartiers commerçants de Genève, l’Ecomotrice propose aux entreprises genevoise de se charger du maillon final de la chaîne logistique. La livraison finale en centre-ville permet également de mutualiser les flux de transport et d’éviter ainsi les retours à vide, la plate-forme regroupant les marchandises par zone de livraison. Chaque Cargocycle rayonnant dans un espace défini depuis cette base. Il est ainsi possible d’accélérer la cadence du cycle enlèvement-livraison à l’intérieur de la même zone ou en passant via l’Elu (Espace Logistique Urbain). Il est bien sûr possible de livrer directement d’un secteur urbain à un autre pour plus de rapidité. Pour assurer ce service, l’Ecomotrice met en œuvre 5 Cargocycles, des vélos triporteurs avec charge à l’arrière, pouvant emmener 150 kg ou un volume de 1 400 litres. Grâce à l’assistance électrique, il dispose d’une autonomie journalière de 30 km suffisante pour des déplacements urbains, et ne rejette aucun gaz polluant. A la fois rapide et écologique, il peut accéder à tous les secteurs de la ville, y compris dans les zones piétonnes comme, par exemple, le quartier de la rue de la Confédération ou celui de la rue Jean-Jacques Rousseau à Genève, puisqu’il n’est pas soumis aux restrictions de circulation. Plus petit qu’une fourgonnette, il se gare facilement sur un trottoir, sans pour autant gêner les piétons. N’étant pas concerné par les limites horaires fixées aux véhicules motorisés, il délivre sa cargaison en tout temps. Gérard Valéri et son équipe de cyclo-livreurs proposent aussi des tournées journalières à des clients réguliers qui peuvent avoir besoin d’une desserte quotidienne de plusieurs points de vente ou d’établissements. Les fleuristes et les magasins de journaux apprécieront ce service, mais le Cargocycle peut transporter de tout. De la maroquinerie à l’habillement en passant par l’informatique ou l’électronique, voire les plats préparés des traiteurs, l’Ecomotrice a pour ambition d’assurer un service rapide et efficace dans le respect de l’environnement. L’activité prévue de l’Ecomotrice permettra d’économiser plus de 58 000 km parcourus par des camionnettes de moins de 3,5 t, ce qui autorisera une économie de 8 tonnes de TEP, ainsi que le rejet dans l’atmosphère de 19,15 t de CO2 et de 8 kg de particules fines. Des chiffres qui ne peuvent qu’encourager les Genevois à participer à cette nouvelle conjugaison d’économie et d’écologie.
 

Thierry-Pierre GRAINDORGE

Ewa

Vélos de location à la carte dans l?agglomération de Rouen

Les vélos électriques ont la côte à Rouen et ont particulièrement attiré les hommes qui représentent 70 % de la clientèle En 2007, la ville de Rouen (109 000 habitants) et la Communauté d’agglomération (CAR, environ 400 000 habitants), de bords politiques différents, se livrent à une course de vitesse pour sortir leur « plan vélo ». En fin d’année, la capitale de Haute-Normande prend la collectivité de court en signant avec Decaux un contrat d’affichage publicitaire sur 14 ans, moyennant la mise à disposition dans la ville intra-muros de 175 vélos classiques, dans un premier temps. Baptisés Cy’Clic, ils sont en libre service. Entre-temps, le conseil régional de Haute-Normandie a lancé un appel à projets attribué à Movimento. Il porte sur une étude commerciale et sur une expérimentation de prêt. Celle-ci, commencée en février dernier, devait s’achever ce mois-ci. Elle se prolongera jusqu’en fin d’année. Depuis, les élections municipales ont propulsé la socialiste Valérie Fourneyron à la tête de la ville, dans une agglomération désormais présidée par Laurent Fabius. Cette nouvelle donne devrait contribuer à mettre un terme à ce que les associations d’usagers ont appelé la « guerre des vélos ». Depuis le 15 février donc, en deux endroits de la ville, 50 vélos pliants de moins de 10 kg, 60 vélos à assistance électrique (VAE) construits par ISD, étaient disponibles pour des prêts gratuits de 5 à 10 jours. « Nous n’avons volontairement que très peu communiqué sur ce test auprès du grand public », souligne d’entrée Patrick Le Page, directeur de l’Environnement urbain à la CAR. « Au départ, les VAE ont rencontré un vif succès de curiosité chez les hommes. Ensuite, ce sont surtout des femmes résidant sur les plateaux et travaillant en ville basse qui sont venues nous voir. Beaucoup de retraités également. La plupart ne croyaient pas qu’ils allaient pouvoir monter les côtes. Ils sont été surpris par l’efficacité de l’assistance », commente Rached Bchini (31 ans), animateur VAE recruté par l’agglo le temps de l’expérimentation. Et pourtant, malgré des briefings conséquents rodés lors de formations initiales, il n’était pas rare de voir des usagers partir sans mettre le contact ! « De notre côté, on orientait plutôt les gens vers les vélos pliants, en vue de développer l’intermodalité avec le réseau de transports en commun », ajoute Patrick Le Page. Sur ce matériel, deux cibles ont émergé : les cadres rouennais travaillant au Havre ou à Paris, séduits par la légèreté des vélos ; et encore une fois des femmes travaillant en ville, mais habitant en périphérie, descendant avec le vélo dans le coffre de leur véhicule qu’elle garaient assez loin de leur lieu de travail, là où le parking est gratuit. Un questionnaire a été réalisé. Pour les 100 premières personnes interrogées, l’indice de satisfaction s’établit à 97 % pour le service de prêts, 91 % concernant le principe des VAE et à 70 % pour le matériel proposé. Pour les vélos électriques, la clientèle était masculine à 70 %, sauf dans la catégorie cadres où l’on a constaté la parité. La demande relevait principalement de la tranche d’âge 40-50 ans. « Selon le type de public, ses besoins et l’usage plus ou moins intensif, on nous a signalé quelques problèmes techniques. Mais nous n’avons enregistré qu’une seule plainte, et elle était relative à l’altimétrie de la ville », rapporte Juliette Prévot, pilote de l’opération pour l’agglo. Début octobre, le conseil communautaire – qui avait déjà délibéré en juillet 2007 sur le principe d’une offre de 2 000 vélos standards à terme – devrait passer une première commande de 340 unités (200 vélos classiques, 90 VAE et 50 pliants). « L’offre en matériel évolue très vite. Et d’un autre côté, les expérimentations amènent des acheteurs aux fabricants. Nous estimons qu’une fourchette de prix comprise entre 10 à 15 euros par mois sera suffisamment incitative pour des locations qui varieront de la journée à l’année. Pour les VAE, ce sera un peu plus cher », estime Patrick Le Page. Dans le même temps, un appel d’offres va être lancé pour choisir l’opérateur. « Le cahier des charges comprendra une composante insertion sociale importante et un accueil humanisé sera privilégié au libre service », souligne Juliette Prévot. Pour l’année 2009, la CAR a prévu d’installer une dizaine de « vélostations », sécurisées par badges, de 20 places extensibles à 60. Et de doubler la mise en 2010, avec une offre de services associée (maintenance, école de conduite, cours de mécanique ou de sécurité…). La gare SNCF devrait bénéficier d’un traitement spécifique dont les études sont en cours. La première « vélostation » devrait être prête début 2009 pour la réception des vélos. Elle se situera à l’Espace Métrobus, où se croisent les principales lignes de transports en commun de l’agglomération, l’un des deux sites de l’expérimentation. « Depuis la mi-juin, on m’appelle déjà pour des réservations de locations en janvier », s’enthousiasme Rached Bchini. Autre enseignement du questionnaire, les principaux freins apparus quant au recours au vélo étaient de deux ordres : le relief d’une ville cernée de nombreuses collines et les aléas climatiques. Les associations y ajoutent volontiers le manque d’infrastructures spécifiques et leur dangerosité. Sur ce point et avant d’être élu président de la CAR, Laurent Fabius, alors vice-président en charge de l’Environnement, avait promis 70 kilomètres de pistes cyclables supplémentaires avant 2013. Aucune piste nouvelle n’a été mise en service en 2008. Mais plusieurs chargés de mission à la CAR planchent sur le dossier.
 

Hélène GIRAUD