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Ewa

Reprise du trafic Eurostar après une interruption totale

Le trafic dans le tunnel sous la Manche, qui a subi une interruption pendant près de cinq heures, a pu commencé à reprendre ce mardi vers 19h30, indiquent Eurotunnel et Eurostar. "Les deux tunnels sont désormais opérationnels", a indiqué une porte-parole d'Eurotunnel. Ce mardi après-midi, dix-sept Eurostar ont dû être annulés à cause d'un problème d'alimentation électrique dans le tunnel, et deux sont restés bloqués à quai à la gare de Calais-Fréthun, selon la compagnie ferroviaire.

Ewa

Appel à l’adoption d’une stratégie européenne sur le vélo

Après les ministres des Transports et les députés européens l’année dernière, ce sont maintenant les villes et régions d’Europe qui demandent que l’UE se dote d’une « stratégie vélo » Réunis en session plénière à Bruxelles le 12 octobre, le Comité des régions de l’UE, organe composé de 350 représentants des pouvoirs locaux et régionaux, a appelé la Commission à adopter une « feuille de route européenne pour les déplacements à vélo », avec un objectif chiffré de doublement de l’usage du vélo dans l’ensemble de l’UE au cours des dix prochaines années. Subsidiarité oblige, les élus soulignent que, même si le développement des réseaux nationaux de déplacement à vélo relève de la compétence des Etats, la Commission peut leur venir « en soutien ». Ils lui demandent par exemple d’inclure EuroVelo, le réseau d’itinéraires cyclables longue distance, dans le réseau transeuropéen de transport, ce qui permettrait de lui accorder des financements européens et de « favoriser une meilleure accessibilité des centres-villes ».
Isabelle Smets

Ewa

Montage acrobatique pour 22 locomotives destinées à Belfort

Elles ont peu fait parler d’elles, ce ne sont pas des stars comme les 15 TGV appelés à jouer les Intercités. Et l’enjeu économique n’est pas le même. Mais le plan de sauvetage de Belfort décidé par le gouvernement, avec Alstom, repose aussi sur 22 locomotives Prima H4, que devrait acheter SNCF Réseau. C’est sûr, Réseau en a besoin. Les locomotives de plus de 35 ans qui remorquent aujourd’hui les trains en détresse ont bien mérité la relève. Le projet était dans les tuyaux, et il ne s’agit que d’anticiper un renouvellement. Reste à respecter les formes. SNCF Réseau étudie deux possibilités pour rendre inattaquable cette commande. La première consiste à s’appuyer sur le contrat passé en août par Akiem, la Rosco filiale de la SNCF et de la Deutsche Bank. Cette commande ferme de 44 locomotives de manœuvre et de travaux, pour 140 millions d’euros, offre précisément une option pour 22 locomotives supplémentaires. Options qui ne peuvent être levées qu’en faveur de Vossloh. L’idée à l’étude entre Réseau, Akiem et Vossloh consisterait à demander au constructeur allemand de sous-traiter la commande auprès d’Alstom, qui réaliserait les engins sur le site de Belfort. Pas sûr que l’affaire soit facile à ficeler. Sinon, SNCF Réseau, faute d’utiliser les canaux existants, lancerait directement un appel d’offres.    F. D.

 

Ewa

Le 4e paquet ferroviaire adopté par le Conseil des ministres européens

La procédure d’adoption du quatrième paquet ferroviaire européen touche à son terme. Le Conseil des ministres doit adopter définitivement, ce 17 octobre, les compromis dégagés avec le Parlement européen en avril dernier qui prévoient une ouverture à la concurrence du transport national de passagers. Les textes doivent maintenant passer en commission parlementaire des Transports puis en session plénière du Parlement en décembre, pour une adoption finale. Pourquoi autant de temps après le compromis d’avril ? Parce que le Parlement et le Conseil ont dû s’entendre sur les considérants, qui ne faisaient pas partie de l’accord initial, et que les textes ont dû être peaufinés par les juristes-linguistes. Chose faite maintenant.
I. S.

Ewa

Plan d’économie chez Eurostar

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Subissant une chute de trafic, Eurostar devrait réduire de 8 % le nombre de ses liaisons l’année prochaine. Selon une source syndicale, en 2017, la compagnie ferroviaire transmanche devrait faire circuler 17 000 trains contre 18 000 cette année. « Des trains qui circulaient à la demi-heure aux heures de pointe ainsi que des trains qui circulaient le midi devraient être supprimés », estime un syndicaliste.

De même, 80 emplois devraient être supprimés côté anglais sur la base du volontariat. « Au cours du premier trimestre, les ventes ont reculé de 3 % et le chiffre d’affaires de 6 %. Au deuxième trimestre, le recul des ventes s’est encore élevé à 3 % et le chiffre d’affaires a régressé de 10 %. Cela commence à faire beaucoup », poursuit cette source syndicale. La compagnie ferroviaire subit de plein fouet l’effet des attentats. « Nous évoluons actuellement dans un environnement difficile, auquel toutes les entreprises de transport sont confrontées. C’est pourquoi nous devons être particulièrement vigilants quant à nos dépenses et avons décidé de réévaluer la taille et l’organisation de notre entreprise », se borne à indiquer un porte-parole, interrogé par VR&T, pour expliquer cette politique de réduction des coûts décidée par Eurostar. « Bien évidemment notre priorité est de minimiser l’impact de ces changements sur nos collègues et notre objectif premier est de gérer, autant que possible, un maximum de réductions de ces coûts par le biais de départs volontaires et sabbatiques », ajoute-t-il.

Toutefois, indique encore une source interne, grâce aux nouveaux trains Siemens e320 qui ont commencé à être mis en service depuis un an (une dizaine de rames livrées sur 17) et qui permettent d’augmenter de 20 % la capacité, Eurostar devrait proposer 3 % de sièges en plus.

Marie-Hélène Poingt

Ewa

Voies sur berge : bataille de chiffres à l’horizon

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Avoir quatre comités de suivi et d’évaluation concurrents, n’est-ce pas une des meilleures façons de s’assurer d’obtenir des résultats discordants ? Et de pouvoir mieux continuer à s’écharper ensuite

Dans le dossier de la piétonnisation des voies… sur berge rive droite, la confiance est tellement rompue, qu’on en est arrivé à une aberration : un comité instauré par la préfecture de police, un autre supervisé par la Ville de Paris, un troisième constitué par la région et un dernier par la métropole ! Une situation que dénonce Michel Herbillon, le député-maire (LR) de Maisons-Alfort, également vice-président à la Métropole du Grand Paris.

L’édile prêche pour « un seul comité d’évaluation à l’échelle régionale et métropolitaine puisque c’est bien celle impactée par la piétonnisation ». Et regrette que l’interdiction de circuler sur la voie Georges-Pompidou, vécue comme brutale, soit « la façon dont s’incarne pour les citoyens la Métropole nouvellement créée et dont Anne Hidalgo est d’ailleurs vice-présidente. Car cette décision est funeste pour leur vie quotidienne ». La Métropole s’empare en effet des questions de mobilité que ce soit sur la Seine (voir également notre article sur les navettes fluviales) ou sur ses berges. Preuve en est l’installation le 10 octobre, par son président Patrick Ollier, de l’Observatoire métropolitain de l’expérimentation de la piétonnisation des voies sur berges rive droite.

Le même jour, le comité régional – celui de la région et du Stif – de suivi et d’évaluation des impacts de la piétonnisation des voies sur berge rive droite à Paris rendait son premier rapport d’étape. Premières conclusions : « très peu de résultat d’évaluation à cause d’un manque de données », affirme le rapport. Partant de là, on est en droit de se questionner sur la valeur des premiers chiffres présentés par la Direction de la voirie et des déplacements de Paris qui font état d’un accroissement de trafic automobile sur les quais hauts rive droite d’une part et sur le boulevard Saint-Germain, d’autre part, allant de « seulement » 4 à 73 %.

Par ailleurs, la région a élargi le champ d’investigation. Son rapport fait état d’une dégradation de la circulation sur le périphérique entre les portes de Saint-Cloud et de Sèvres. Sur les quais hauts, le comité compte des temps de parcours entre les Tuileries et Le Châtelet plus que doublés le soir (+135 %) par rapport à 2015. De plus, conséquence paradoxale, la piétonnisation devant inciter à prendre les TC, les bus qui sont trop souvent bloqués aux carrefours voient leur temps de parcours s’allonger de quelques minutes. Cependant, la RATP conclut que « globalement, il n’est pas possible à ce stade d’évaluer l’impact spécifique de la fermeture des voies sur berge sur la circulation des bus ».

De son côté, Michel Herbillon rappelle que la métropole a proposé une concertation à Anne Hidalgo, afin de mettre en place la piétonnisation vivable, avec de réelles alternatives de déplacement pour les Franciliens. Il répète que la majorité régionale n’est pas opposée sur le principe. « Ce serait trop facile de nous taxer de “vieux ringards tout-bagnole”, insiste-t-il. Le problème, c’est la méthode autocratique alors qu’aucune solution de transport n’est prête. » Il estime aussi que la possibilité d’une piétonnisation partielle ou bien certains jours ou à certaines heures de la journée aurait dû être examinée.

Le député-maire de Maisons-Alfort rappelle enfin le rapport négatif de la commission d’enquête « qui est un réquisitoire contre la décision : pas d’impact positif sur la pollution, périmètre d’impact trop restreint, la voie express Georges-Pompidou n’est pas une voie communale, contrairement à ce qu’affirme Anne Hidalgo ». Quant à la décision du préfet d’instaurer une période expérimentale de six mois, il craint qu’il ne s’agisse d’une « mascarade, un rideau de fumée pour calmer l’agitation ». Il n’adhère pas « au concept fumeux d’évaporation de la circulation ». Et ne décolère pas devant les arguments employés pour le convaincre : « On m’a affirmé que la voie Georges-Pompidou n’était utilisée que par des catégories socioprofessionnelles “plus”. Probablement en font partie tous les artisans et commerçants en estafettes qui viennent des villes du Val-de-Marne ? »

Paris-Est-Marne et Bois, un territoire intercommunal de 13 municipalités val-de-marnaises va très probablement déposer un recours juridique contre la décision entachée d’illégalité. En attendant, l’élu préconise le report de la décision unilatérale, ainsi qu’une vraie concertation entre Ville de Paris, Métropole du Grand Paris et région Ile-de-France, « afin qu’on mette en place une solution de transport qui accompagne la fermeture à court ou moyen terme, pas en 2024. Or pour l’instant, nous avons toujours un refus de Paris. Autant dire que la métropole est utilisée à géométrie variable, selon qu’elle sert ou non les intérêts de la capitale ! »

cecile.nangeroni@laviedurail.com

Ewa

Michel Herbillon espère une décision sur les navettes fluviales mi-2017

L’installation du groupe de travail sur le transport fluvial de passagers de la métropole du Grand Paris est officielle depuis le 11 octobre. A sa tête, Michel Herbillon, le député-maire (LR) de Maisons-Alfort, également 7e vice-président délégué à la Promotion et au Développement du tourisme à la métropole. Particulièrement intéressé par la question puisque l’expérience de navettes fluviales, Voguéo qui s’était déroulée de 2008 à 2011 avait précisément pour terminus Maisons-Alfort, Michel Herbillon considère que « de la même manière qu’on a remis des tramways dans les villes après les avoir supprimés, il faut remettre des navettes modernes sur la Seine, celles qui fonctionnaient au siècle dernier ont disparu à la construction du métro. Le progrès est un éternel recommencement ».

Il se souvient aussi que lorsque ces navettes fonctionnaient jusqu’à la gare d’Austerlitz, « elles étaient appréciées des utilisateurs ». Et pourtant le service n’était pas parfait : « un trajet très court, des bateaux pas assez nombreux ni rapides, un tarif trop élevé, et pratiquement pas d’intermodalité… » Et d’ailleurs, il a été interrompu faute de clients en nombre suffisant. « C’est un peu comme si vous disiez à Usain Bolt qu’il va faire un 100 mètres et omettez de lui dire qu’il aura un boulet au pied et qu’après vous vous étonniez qu’il n’ait pas fait un bon temps… », compare-t-il. Ce sont toutes ces questions qui vont être étudiées sans concessions par le groupe de travail « Voguéo 2 » qu’il anime et qui vient de se réunir pour dresser un premier état des lieux, en présence de l’Apur ainsi que d’une douzaine d’élus des villes directement concernées par le projet de réintroduction de navettes sur la Seine, de Maisons-Alfort à Suresnes en desservant le cœur de Paris.

Pour mémoire, cette possibilité avait déjà été envisagée en 2011 par le Stif, qui avait lancé un appel d’offres afin d’installer un service composé de trois lignes en 2013. Appel d’offres finalement déclaré infructueux, la seule proposition émanant de Batobus, était trois fois plus élevée que ce qu’avait évalué le Stif : 75 millions d’euros par an au lieu des 25 millions budgétés. Une situation que Michel Herbillon trouve finalement peu crédible : « Je n’imagine pas que les ingénieurs du Stif soient si peu compétents pour se tromper dans un rapport de un à trois, lance-t-il. Deuxième étonnement, une seule réponse, de la part de la société qui fait le transport des touristes et n’a pas spécialement envie d’un service qu’elle perçoit comme concurrent au sien. » A l’époque, d’ailleurs, plusieurs élus de l’ancienne majorité régionale avaient estimé que l’enveloppe du répondant avait été gonflée et réclamé qu’un comité de pilotage reprenne le projet.

Le nouveau groupe de travail de la métropole remet donc l’ouvrage sur le métier, sans partir de zéro. De plus, tout le monde semble d’accord sur la nécessité d’aboutir, y compris la Mairie de Paris. « Il y a un consensus sur le fait qu’il faut sortir de cette situation incroyable qui fait de Paris la seule métropole ayant un fleuve, la Seine, et son premier affluent, la Marne, et qui ne les utilise pas pour les transports publics. »Prochaine étape : Michel Herbillon prépare une réunion qui se tiendra prochainement avec la région, le vice-président aux Transports, Stéphane Beaudet, le DG du Stif, Laurent Probst, le DGS de la métropole, Thomas Degos. Il faut bien sûr que le groupe de réflexion intègre un service de bateaux taxis au projet – « Il faut compenser l’impossibilité qu’on va avoir prochainement de rouler dans Paris… », souligne celui qui l’anime – mais aussi qu’il se rapproche de Batobus, qu’il passe en revue les types de bateaux disponibles, le financement, la tarification…

« Je souhaite qu’une décision de principe sur un projet concret puisse être prise à la fin du premier semestre 2017 », assure l’élu. Ce qui nécessite l’assentiment de la région, de la Ville de Paris et de la métropole. Il fonde l’espoir d’y parvenir et plaisante : « En tout cas, la station de terminus sur la Marne à Maisons-Alfort est prête. Elle est dans un endroit paysagé, à proximité du métro, des bus, des Autolib’ et bientôt des Vélib’… Et sur des berges qui sont piétonnes ! » Voilà qui devrait plaire au moins à la mairie de Paris !
cecile.nangeroni@laviedurail.com

Ewa

JCDecaux renouvelé à Nice

JCDecaux a annoncé le 13 octobre avoir renouvelé et étendu son contrat de mobilier urbain avec la ville de Nice. Pour une durée de 12 ans, il comprend « l’installation, l’entretien, l’exploitation et la maintenance d’un minimum de 194 mobiliers urbains d’information publicitaires de 2 m² et 8 m² (pouvant atteindre 358 mobiliers) ainsi que 16 mobiliers urbains non publicitaires ». Parmi ces mobiliers, un certain nombre accueillera de nouveaux dispositifs offrant plusieurs services, comme la mesure de la température, de la qualité de l’air, la vidéosurveillance ou encore la diffusion de messages municipaux par haut-parleur.

Ewa

Nouveau succès au Japon pour JCDecaux

Quelques mois après avoir remporté le contrat des abribus publicitaires du Bureau des Transports du gouvernement de la Métropole de Tokyo, JCDecaux a annoncé fin septembre que sa filiale japonaise MCDecaux avait remporté les contrats d’abribus publicitaires de Fuji Express et de Tokyu Bus Corporation, deux opérateurs de bus à Tokyo, pour une durée de 20 ans. MCDecaux continue ainsi son développement et est désormais sous contrat avec 10 des 11 principaux opérateurs de bus privés de Tokyo, soit un potentiel de plus de 600 abribus publicitaires qui viendront s’ajouter aux 400 minimum prévus par le contrat signé en juin dernier.

Ewa

Nouvelle étape pour les états généraux de la mobilité durable

Partant du constat que la mobilité repose encore aujourd'hui en France à 80 % sur la voiture, les grands acteurs du transport public lancent un grand débat sur le sujet. Cinq thèmes ont été retenus (qualité de service, transition énergétique et santé publique, financement et modèle économique, intermodalité et multimodalité, desserte des territoires peu denses) et une consultation nationale en ligne a été mise en place du 13 juin au 31 août. « Les résultats issus du questionnaire ont permis d'exprimer les attentes des structures concernées par les mobilités, des élus, des techniciens mais aussi des usagers des transports », indiquent dans un communiqué du 12 octobre les organisateurs de la démarche, qui compte dans leurs rangs le Gart, l'UTP, Régions de France (anciennement ARF), TDIE, la FNTV et la Fnaut.
Six réunions régionales publiques vont maintenant avoir lieu, en commençant par Lille le 26 octobre, et en se terminant à Strasbourg le 22 décembre. La restitution fera l'objet d'une présentation nationale en mars à Paris. En espérant que les orientations dégagées soient prises en compte dans les débats à venir durant la campagne à l'élection présidentielle. TDIE compte d'ailleurs s'en servir pour interroger les candidats à la présidentielle sur leurs positions dans le domaine des transports, comme l'association l'avait déjà fait lors des élections régionales.