Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

 About ling jun jie

5 years experience in web development.

Ewa

La DB veut tester le postpaiement…

Le nouveau patron de la Deutsche Bahn (DB), Richard Lutz, n’a pas encore effectué 100 jours à la tête de la compagnie ferroviaire allemande qu’il provoque déjà quelques remous avec des propositions très visionnaires. En effet, la Deutsche Bahn prévoit à terme de supprimer le ticket de train classique dans sa forme papier mais aussi dans sa forme électronique. « La technique va nous permettre de reconnaître à quelle gare un passager monte dans le train. Ensuite, il sera débité en fonction de la gare à laquelle il descend », a résumé Richard Lutz dans le grand quotidien populaire Bild Zeitung.
Selon le patron de la DB, la mise en pratique n’aura rien de compliqué. Les trains sont déjà tous équipés en Wi-Fi. Après la phase de test, le service de voyage sans billet sera introduit « pas à pas ». « A l’avenir, nous n’aurons plus besoin de titre de transport pour monter dans un train », prophétise Richard Lutz. Et peut-être plus besoin de contrôleurs non plus…
Ce billet du futur existe déjà, dans une forme moins évoluée, puisqu’on peut acheter un billet avec son téléphone portable. La différence, c’est que le paiement s’effectue en amont en fonction du trajet commandé et non pas en aval, à l’arrivée du client. Une autre formule plus élaborée est également proposée aux voyageurs par la DB (« Touch and Travel »). Mais les abonnés doivent se connecter au système au départ et à l’arrivée du trajet. Ce genre d’application n’a pas rencontré un gros succès.

Ewa

La prochaine génération du métro des Docklands pour 2022

Avec ses petites rames et une fréquentation en hausse constante, le métro léger des Docklands (Docklands Light Rail, DLR) est de plus en plus surchargé aux heures de pointe. Ceci alors que ce réseau de métro automatique qui irrigue les quartiers d’affaires et de logements en plein développement de l’est de Londres est directement concerné par la prochaine ouverture de l’Elizabeth Line (Crossrail).

De quoi pousser l’autorité organisatrice Transport for London (TfL) à publier dans le Journal officiel de l’Union européenne un appel à candidature pour construire la prochaine génération de rames pour le DLR. Le futur matériel roulant, qui devrait sortir en 2022, doit permettre d’offrir une capacité accrue supérieure à 30 % sur le réseau pris globalement. La fiabilité doit aussi être supérieure à celle du parc actuel, tout en offrant la climatisation, des informations en temps réel et des prises pour la recharge des objets connectés. En tout, le tiers le plus ancien du parc actuel, construit dans les années 1990, doit être remplacé par le nouveau matériel, dont dix rames supplémentaires seront commandées pour accroître le parc total.

L’appel d’offres proprement dit doit être lancé « plus tard cette année », selon Danny Price, directeur de TfL pour le DLR.

 

Ewa

Arabie saoudite : le TGV du désert ouvrirait le 15 mars 2018

Après des mois de conflits, le conseil d’administration du consortium Al Shoula a donné son accord le 19 mai aux propositions de Saudi Railways Organization (SRO) : ses composantes espagnoles (dont Renfe, Adif et Talgo) mais aussi saoudiennes comme le BTP Al Rosan, ont accepté les compensations proposées par SRO pour les surcoûts surgis, notamment dans la livraison de l’infrastructure et la construction des gares. Dans ces conditions, la mise en service commercial de la ligne à grande vitesse « Haramain » Médine – La Mecque (455 km) est prévue pour le 15 mars 2018. Après des essais à 200 km/h, Talgo pousse ce printemps ses rames à 300 km/h. Cependant demeurent à conclure les détails de la maintenance sur sept ans, mais aussi l’édification de la gare de Jeddah, actuellement en souffrance. Arraché par des sociétés ibériques, le « TGV du désert » ou des sables correspondait à un budget initial de 6,7 milliards d’euros.

M. G.

 

Ewa

Paris lance un dispositif inédit de mesures des particules fines

Enedis véhicule capteur pollution

Grâce à un partenariat avec Enedis, Paris a lancé le 22 mai un dispositif inédit de mesure en temps réel de la pollution dans ses rues : dans un premier temps 60 véhicules de la filiale d’EDF chargée de gérer le réseau (puis 300 cet été) vont sillonner les rues de la capitale au gré des interventions des techniciens et mesurer les émissions de particules fines grâce à des capteurs Pollutrack installés sur leur toit.

« C’est la première flotte d’entreprise équipée d’un réseau mobile de capteurs », a souligné Anne Hidalgo en présentant l’initiative. « Ces mesures vont permettre de compléter les cartographies d’Airparif », a ajouté la maire de Paris. A la différence des stations d’Airparif qui mesurent la pollution en microgrammes par particule, la technologie de Pollutrack permet de les compter. Cela pour quelques centaines d’euros, montant de l’investissement pour chaque capteur. Des cartes seront mises à disposition du public à la fin de l’année, permettant aux Parisiens de choisir leur itinéraire en fonction du taux de pollution quasiment en temps réel.

« Nous allons travailler avec Airparif pour voir si le maillage effectué avec les voitures est suffisant. Nous ferons un bilan vers la fin de l’année pour voir ce que nous ferons pour la suite », indique Eric Salomon, le directeur régional d’Enedis Paris.

Ewa

Premier bus Yutong-DCG en exploitation commerciale à Orléans

Mi-mai, le réseau TAO de la métropole orléanaise a mis en service son premier bus électrique de la marque Yutong-Dietrich Carebus Group. C’est le premier véhicule urbain commercialisé par le tandem franco-chinois à rouler en France en service commercial. Acheté par Keolis Val de Loire, il circulera sur deux lignes du réseau urbain. Après une recharge effectuée en 4 heures, le bus de 12 m (92 places) dispose d’une autonomie de 250 km, selon le constructeur.

Ewa

Cybersécurité. Les entreprises vont devoir investir

C’est l’heure d’un premier bilan après la cyberattaque qui a eu lieu ce week-end, faisant au moins 200 000 victimes dans plus de 150 pays. Ce piratage informatique massif a on le sait, perturbé le système de santé britannique, bloqué les ordinateurs du géant espagnol des télécommunications, attaqué le système du groupe américain de messagerie Fedex ou encore des universités en Grèce ou en Italie. En Allemagne, les panneaux d’affichage de la Deutsche Bahn ont été piratés, laissant apparaître un message de demande de rançon à la place de la diffusion des horaires de départ et d’arrivée. Mais le trafic n’a pas été affecté, a assuré la compagnie ferroviaire publique.

En France, si seul Renault s’est dit touché, d’autres entreprises en ont aussi été victimes, estimait ce matin sur France Inter Guillaume Poupard, le directeur de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, mais en refusant de dévoiler des noms. Ce ne serait pas le cas de la RATP ni de la SNCF, nous ont affirmé les deux entreprises. « Dès que nous avons eu connaissance de cette attaque, nos équipes informatiques d’astreinte ont été bien sûr sur le pont tout le week-end. Cela a été aussi l’occasion de faire un grand rappel sur la sécurité informatique à l’ensemble des salariés », indique un porte-parole de la SNCF. Tout comme cela a été l’occasion pour l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information de diffuser des messages de bonne pratique. En sachant que d’autres attaques sont à craindre à l’avenir.

Cette menace oblige les entreprises à la vigilance et à de nouveaux investissements. Dans cette perspective, Alstom a présenté début mai son accord noué avec Airbus sur la cybersécurité. Un accord à double ressort, reposant à la fois du préventif (diagnostic) et du curatif, puisqu’il doit leur permettre de présenter des projets en propre et de proposer des diagnostics à des réseaux. De même, Thales a développé une solution de monitoring baptisée CyberRail qui doit détecter et traiter toute cyberattaque qu’un opérateur ferroviaire pourrait subir sur ses installations de sécurité. Un nouveau marché.

M.-H. P

Ewa

La ligne BPL doit recevoir aujourd’hui le sésame nommé Amec

Eiffage Rail Express (ERE), le groupement titulaire du contrat de partenariat pour la réalisation de la ligne Bretagne – Pays de la Loire, doit recevoir ce lundi 15 mai l’autorisation de mise en exploitation commerciale (Amec) de cette LGV de 182 km. C’est l’Etablissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) qui délivre l’Amec. Cette phase coïncide avec la « livraison » de la ligne à SNCF Réseau. La ligne est aujourd’hui finie et circulable. Des formations se poursuivent, notamment de conducteurs. Rappelons que c’est le 2 juillet que doivent être mises en service les deux nouvelles lignes à grande vitesse pour l’Atlantique : à la fois Le Mans – Rennes (BPL) et Tours – Bordeaux (SEA). Le 21 février, l’EPSF a déjà habilité ERE en tant que gestionnaire d’infrastructure de Bretagne – Pays de la Loire. ERE doit assurer l’entretien et le renouvellement de la ligne nouvelle jusqu’en 2036.

Ewa

Vélib’, un contrat à 500 millions d’euros

C’est le plus gros marché de vélos en libre service du monde si l’on excepte la Chine, indique Sébastien Fraisse, le directeur général adjoint d’Indigo en présentant le contrat Vélib’ que vient de gagner Smoovengo

(incluant outre le gestionnaire de parkings Indigo, l’entreprise de transport public espagnole Moventia, le spécialiste des services automobile et de mobilité Mobivia, également actionnaire de la société Smoove, elle-même mandataire du groupement).

Et il n’a pas été attribué à une start-up comme semblent le suggérer les derniers articles parus dans la presse, poursuit-il : « La somme de nos quatre entreprises représente 40 000 salariés dans le monde et quatre milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel. »

Le contrat porte sur un montant total d’un peu moins de 500 millions d’euros (478 millions d’euros précisément) sur 15 ans. Impossible toutefois de connaître le montant des investissements nécessaires à la fourniture des stations sur Paris et sur la quarantaine de communes qui accueilleront les vélos en libre service (25 000 vélos et 1 050 stations prévues, voire plus si de nouvelles communes sont candidates, elles ont jusqu’à la fin juin pour le dire). Marie-Pierre de la Gontrie, la présidente du syndicat Autolib’ et Vélib’ Métropole qui vient de signer ce contrat avec Smoovengo, refuse aussi de dévoiler les tarifs de ce nouveau service, même si l’on comprend déjà qu’ils devraient augmenter. « Nous nous réunirons en automne pour le décider. Nous n’avons aucune envie d’augmenter les prix de façon importante car c’est un service public », souligne Marie-Pierre de la Gontrie. Qui ajoute : « Nous avons déjà arrêté quelques paramètres : nous souhaitons conserver des tarifs sociaux, des abonnements de courte et de longue durée, ainsi que les 30 premières minutes d’utilisation gratuites. Enfin, le tarif d’utilisation des vélos mécaniques sera différent de celui des vélos électriques. »

Les recettes iront directement à la collectivité qui rémunérera Smoovengo pour le service de façon forfaitaire. Un intéressement sur les recettes est aussi prévu pour inciter le groupement à attirer des clients (aujourd’hui on compte 300 000 abonnés pour 20 000 vélos)

Selon Laurent Mercat le président de Smoove, le futur Vélib’ qui sera proposé à partir de janvier, sera plus léger que l’actuel vélo de l’exploitant JCDecaux (20,6 kg contre 22,5 kg) et affichera un nouveau design mais « avec des caractéristiques techniques assez standards ». La spécificité des vélos tient avant tout à leur système de sécurité, « une fourche cadenas » les rendant difficiles à voler et leur permettant de se garer même quand une station est pleine. « C’est une technologie extrêmement pertinente : elle permet de doubler la capacité des stations sans nécessiter aucun mètre carré supplémentaire », précise Laurent Mercat, qui estime que le vandalisme ne devrait pas aller au-delà de 15 % alors qu’aujourd’hui si l’on en croit un rapport de l’Apur, c’est l’équivalent du parc total qui s’est volatilisé.

Parmi les autres innovations proposées, les vélos sont équipés d’un boîtier électronique, la « Smoove Box », permettant d’actionner la fourche cadenas, de lire les cartes sans contact des usagers, de les guider dans leurs parcours, ou encore de localiser un vélo. Enfin, conformément à la demande du syndicat Autolib’ et Vélib’ Métropole, un tiers des vélos sera proposé avec assistance électrique. « La flotte des vélos est évolutive : si la demande est forte, il sera possible de passer d’un vélo mécanique à un vélo électrique en 30 minutes dans nos ateliers », explique Smoovengo.

Enfin, pour couper court aux critiques de JCDecaux, qui a perdu son contrat et s’inquiétait du sort qui serait réservé au personnel actuel, le futur exploitant rappelle que « JCDecaux doit d’abord proposer des reclassements en interne ». Selon Yann Marteil, le directeur général délégué de Mobivia, « Smoovengo a pris l’engagement de proposer en priorité aux salariés que JCDecaux ne voudrait pas garder pour ses autres activités de les rejoindre ». Et d’ajouter : « Notre intérêt est de récupérer des compétences, des expertises. »

Un calendrier est déjà défini. Les premiers travaux de démontage des stations actuelles et de d’installations des nouvelles commenceront en octobre pour que le service puisse démarrer au 1er janvier. Puis il faudra attendre jusqu’en mars pour que toutes les stations soient fonctionnelles.

M.-H. P.

Ewa

Effia se lance à l’international

Effia, numéro deux du stationnement en France, a annoncé le 11 mai l’achat de la société Alfa Park. Exploitant 8 000 places en Flandres, Wallonie et dans la région de Bruxelles cette entreprise belge doit devenir « la base de développement du groupe au Bénélux », explique Effia en précisant que « cette opération de croissance externe marque la première étape du développement d’Effia à l’international ».

La filiale de Keolis qui gère désormais 175 000 places sur l’ensemble des segments de marché (dont 30 000 en voirie) et a réalisé en 2016 un chiffre d’affaires de 145 millions d’euros, estime disposer de « bases solides en France qui ont vocation à se développer » et compte poursuivre « des opérations de croissance ciblées à l’international », selon son PDG Frédéric Baverez.

Ewa

Une usine chinoise au Canada pour les trains de fret

Après l’ouverture de sites de production de trains de voyageurs aux Etats-Unis, le constructeur chinois CRRC a annoncé qu’il construirait une usine au Canada pour accompagner son développement en Amérique du Nord, cette fois sur le fret ferroviaire. A cette fin, CRRC a retenu le site de Moncton (Nouveau-Brunswick) et annoncé la création de « plus de 200 emplois dans la première phase » et « plus d’un million de dollars américains de recettes fiscales pour le gouvernement local chaque année ». L’usine a été créée conjointement par CRRC Meishan, basé au Sichuan, le constructeur de wagons ARS Canada Rolling Stock Inc., de Moncton, et une filiale de CRRC basée à Hongkong. Ce groupement a obtenu l’approbation du gouvernement canadien en juin 2016. L’activité principale de la nouvelle entreprise porte sur les ventes de wagons pour trains de fret, les travaux de recherche et de développement pour les trains de marchandises destinés à l’Amérique du Nord, ainsi que la fabrication de wagons (trémies, couverts, citernes et plats).
P. L.