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 About ling jun jie

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Ewa

Le gouvernement boucle sa réforme ferroviaire

C’est l’un des tout derniers actes en matière de politique des transports et il permet de boucler la réforme ferroviaire engagée par le gouvernement avec la loi du 4 août 2014 : le 20 avril, le ministre de l’Economie et des Finances, Michel Sapin, et le secrétaire d’Etat aux Transports, Alain Vidalies, ont annoncé la signature des trois contrats liant l’Etat à l’Epic SNCF, à SNCF Mobilités et SNCF Réseau. « Ceux-ci définissent les objectifs stratégiques assignés à chacune des entités du groupe et les trajectoires financières correspondantes sur une décennie », indiquent-ils dans un communiqué. Chaque contrat comporte une clause de rendez-vous tous les trois ans.
A côté des grandes orientations fixées à l’Epic de tête dans le domaine social, patrimonial ou sociétal, l’Etat a défini sept orientations stratégiques à SNCF Mobilités, qui s’inscrivent dans la continuité de la politique menée par Guillaume Pepy, son PDG : priorité à la sécurité, modernisation des gares, développement du « capital humain », renforcement de l’intermodalité, revitalisation du fret, diversification des services de mobilité et préservation des équilibres financiers.
Côté SNCF Réseau, la priorité est donnée à la maintenance et au renouvellement du réseau avec 46 milliards d’euros prévus sur les dix ans du contrat. Si cet objectif est unanimement salué, d’autres dispositions du contrat ont été sévèrement critiquées, notamment « le manque de vision stratégique » de l’Etat selon l’Arafer. De son côté, Régions de France s’inquiète du désengagement de l’Etat. « Cela se traduit par l’abandon complet du financement de la rénovation de près de la moitié du réseau actuel (réseau des lignes UIC 7 à 9) », estime l’association dans un communiqué. Quant à Hervé Maurey, sénateur UDI de l’Eure et président de la commission de l’Aménagement du territoire et du Développement durable du Sénat, qui a auditionné Patrick Jeantet, le PDG de SNCF Réseau, puis Bernard Roman, le président de l’Arafer, le 19 avril, juste avant l’annonce de la signature de l’Etat. Hervé Maurey, il regrette de « n’avoir pu examiner le texte comme le prévoit la loi » et s’indigne de cette signature intervenue juste avant le premier tour de l’élection présidentielle. Mais le premier tour ayant vu Emmanuel Macron arrivé en tête, il est probable que la réforme ferroviaire ne sera pas remise en cause dans ses grandes lignes.
M.-H. P.

 

Ewa

1er juillet : double fête pour les TGV de l’Atlantique

La SNCF et les villes de la façade Atlantique devraient fêter les deux lignes nouvelles, SEA et BPL, le samedi 1er juillet, veille du début du service commercial. Une rame L’Océane devrait emmener le matin à grande vitesse les VIP et leur cohorte de Paris à Bordeaux, puis les invités seraient transférés de Bordeaux à Rennes, et un train retour les ramènerait à grande vitesse en fin de journée de Rennes à Paris.

Avant cette fête, à une date qui n’est pas arrêtée, l’achèvement de la LGV Bretagne – Pays de la Loire, réalisée en PPP par ERE (Eiffage) devrait être célébré, tout comme l’a été le 28 février celui de la LGV Sud Europe Atlantique concédée à Lisea (groupe Vinci). Dernier événement qui restera dans les mémoires, s’il y reste, moins par le discours présidentiel que par le coup de feu qui l’a interrompu.

L’événement concernant la LGV bretonne ne devrait pas être trop affecté par le calendrier politique. Il sera alors encore indécis et chargé. En revanche, la double inauguration du 1er juillet pourrait offrir une belle occasion au nouveau président de la République de célébrer une grande réalisation du pays. Tout comme l’a fait François Mitterrand avec Paris – Lyon en 1981. Et, s’il s’agit d’Emmanuel Macron, d’aller dans des terres plutôt bienveillantes : Aquitaine, avec Alain Rousset et Alain Juppé, Bretagne avec Jean-Yves Le Drian. L’exploitant, SNCF Mobilités, doit tout préparer… sous réserve de la classique intervention de l’Elysée chamboulant le programme au dernier moment.

F. D.

Ewa

LGV Bordeaux – Toulouse : opération déminage de Guillaume Pepy

La phrase était malheureuse. Au moins ambiguë. Guillaume Pepy l’a prononcée sur France Inter et il a passé une bonne partie d’un déplacement à Toulouse, le 19 et 20 avril, à faire de l’explication de texte et quasiment du déminage.

Quelle phrase ? Le 10 mars Patrick Cohen, le présentateur de la matinale de France Inter lance : « Toulouse restera sans ligne TGV directe et – ça n’arrivera pas – il n’y aura pas d’autre grand chantier, c’est le dernier, Guillaume Pepy ? » Et Guillaume Pepy répond : « Je pense que c’est le dernier pour le moment et, encore une fois, ce que je vous ai dit tout à l’heure, c’est que notre grand chantier, c’est un chantier de RER et c’est tant mieux. »

Aïe ! Il a fallu à Pepy toute sa force de conviction pour expliquer publiquement en Occitanie à la presse, aux leaders d’opinion, et sans doute aussi, mais en comité restreint, à la présidente de région, au maire de Toulouse ou au préfet de région, que la question portait sur les chantiers en cours, et pas sur les projets… Faute de quoi, la réponse apparaissait comme une condamnation de la LGV Bordeaux – Toulouse et de l’ensemble du projet GPSO. Et c’est ainsi qu’elle a été entendue puisque, à la suite des propos de Pepy, la mairie de Toulouse lançait le 23 mars une pétition en faveur de la ligne nouvelle, qui a recueilli 25 000 signatures, tandis que Jean-Louis Chauzy, président du Ceser régional et de l’association Eurosud Transport appelait à boycotter la visite du président du directoire de la SNCF.

Donc, déminer. Expliquer à chacun, en substance : ce n’est pas la SNCF qui décide, mais l’Etat et les élus ; la ligne est déclarée d’utilité publique ; elle n’est pas pour autant financée, il faut trouver dix milliards d’euros ; ce n’est pas simple, Réseau n’a pas le droit d’aggraver une dette de 44 milliards (règle d’or ! règle d’or !), l’Europe ne vient à la rescousse que d’un projet déjà financé ; mais, si l’Etat et les élus franchissent ce parcours d’obstacle, SNCF Réseau (dont c’est le métier), construira la ligne et SNCF Mobilités (dont c’est le métier) l’exploitera. Ouf. Ou à moitié. Car, si le président de la SNCF a bien rappelé que la décision ne lui revenait pas, il a bien montré que la voie menant à la LGV est étroite. Très étroite.

F. D.

Ewa

La SNCF accélère dans l’open data

Cinq ans après l’ouverture de ses premières données au compte-gouttes, la SNCF ouvre cette fois massivement le robinet à data avec 114 nouveaux jeux ouverts le 19 avril, portant à près de 200 le total des jeux de data disponibles sur sa plateforme pour les développeurs. Le même jour, elle a rendu publique une charte en six points qui vise à encadrer sa pratique de transparence.

Les nouvelles données proviennent en majorité de SNCF Réseau, avec 95 jeux de données ouverts. Elles concernent la description de l’infrastructure : caractéristiques des lignes, ouvrages d’art, passages à niveau, traversées voies piétons, ainsi que les travaux hebdomadaires. Sont également publiées des données sociales, environnementales, sociétales et financières.

Des données qui ont un intérêt pratique. « Celles sur la géolocalisation de tous les passages à niveaux permettront notamment aux développeurs d’applis routières de signaler le danger », souligne ainsi Guillaume Leborgne, directeur du programme Transparence et de l’Open data à la SNCF. Concernant SNCF Mobilités, 19 nouveaux jeux de données sont ouverts, portant sur les tarifs (TER, Intercités et TGV), les menus des bars TGV, les acronymes utilisés à la SNCF… Toutes seront mises à jour et enrichies régulièrement dans le site accessible à tous https://ressources.data.sncf.com.

L’entreprise recense « plusieurs dizaines de milliers d’utilisations de [ses] données chaque mois, assure Guillaume Leborgne. Il y a notamment 5 500 comptes utilisateurs pour l’API SNCF avec les horaires temps réel de tous les trains ». Les clients ? Ce sont par exemple les appli des sociétés de taxis qui envoient les chauffeurs aux gares à l’arrivée des trains, ou encore celles liées à des calculateurs d’itinéraires. « Loi Macron, loi Valter, loi Lemaire… Le fait d’avoir anticipé nous permet de répondre de manière assez satisfaisante à ces trois lois et même d’aller au-delà dans bien des domaines », poursuit-il.

Il n’y a pourtant pas si longtemps, la SNCF se faisait tirer l’oreille puisqu’elle répugnait à ouvrir ses données commerciales TGV. Il y a encore deux ans, seuls 52 jeux de données étaient proposés. Et ce qu’elle diffuse à ce jour en la matière n’est ni exhaustif, ni brut mais sous forme d’API (ce qui nécessite une inscription), ni totalement gratuit (le service devient payant au-delà d’un seuil de requêtes mensuelles, selon le modèle freemium adopté par la SNCF).

Encore faut-il rappeler que les modalités pratiques de l’ambitieux dispositif de la loi Macron, qui prévoit que les opérateurs de services réguliers de transport comme de services de mobilité diffusent « librement, immédiatement et gratuitement » dans un « format ouvert », des informations portant sur leurs arrêts, horaires théoriques et temps réels, tarifs, accessibilité, disponibilité et incidents, devait être précisé par un décret qui n’est toujours pas publié 18 mois après… Les grands groupes freinent des quatre fers, arguant que cela ferait de la France le seul pays du monde à offrir ses données, sous entendu en pâture aux Gafa…

En attendant, la SNCF a édicté son propre règlement. Sa charte établit « le fait que nous voulons une ouverture par principe et non par défaut », insiste le directeur de l’Open data. Autre grand principe : le degré d’ouverture est fonction de la sensibilité des données. Une idée simple : toute donnée déjà disponible sur Internet, qu’elle soit diffusée par l’entreprise ou l’un de ses donneurs d’ordre devrait être disponible en open data.

Enfin, elle réclame aussi une responsabilisation des porteurs de données. Ainsi les données ouvertes sous licence SNCF Open data donnent des droits et des devoirs. Les réutilisateurs de données « sont libres d’utiliser, de partager et de modifier les données ouvertes par SNCF sous condition de diffuser les modifications apportées aux données dans les mêmes termes », édicte ainsi le sixième principe de la nouvelle charte interne.

Il n’en reste pas moins que c’est fin 2012 que tout a commencé, avec un hackathon chez Transilien et la création de la plateforme. En 2014, la SNCF a décidé de se doter d’une politique de transparence et signé un partenariat de trois ans avec Transparency International. On peut notamment se régaler de la publication de plus de 300 courriers reçus et envoyés par la Présidence, depuis décembre 2014 ou de celle des comptes rendus des conseils d’administration de SNCF mobilité et réseau. De ses archives aussi : après près de 2 000 documents (films, affiches et photographies) disponibles, la SNCF numérise des fonds d’archives entiers pour les historiens et les chercheurs.

« Le sujet transparence ne va pas de soi pour une entreprise à très forte culture sécuritaire, il s’est cependant imposé comme une composante du paysage interne », reconnaît-elle dans son communiqué. Elle souligne d’ailleurs qu’il suscite un intérêt à l’international : « Les CFF se sont inspirés de notre politique. Le département Transparence/Open data accompagne le ministère des Transports anglais dans sa volonté de mettre en place le même type de programme pour ses franchises ferroviaires. L’open data est par ailleurs un sujet de collaboration avec la DB dans le cadre d’un MOU digital. »

C. N.

Ewa

EDF et Forsee Power veulent mettre la mobilité électrique à la portée de tous

Plusieurs industriels internationaux menés par EDF et Forsee Power (spécialiste français des systèmes de batteries intelligentes) viennent d’annoncer les naissances concomitantes d’une société dédiée à l’investissement dans le domaine des énergies renouvelables réparties et de la mobilité électrique ainsi que d’un véhicule de financement en partenariat avec la Caisse des dépôts. Nom de la première : NEoT Capital pour « New Energy of Things ». Du second : NEoT Green Mobility.

La société et son outil de financement sont nés du constat d’un besoin de financements massifs pour accompagner le développement des énergies renouvelables et de la mobilité électrique. Or les industriels estiment que « ces solutions, énergies renouvelables réparties et mobilité électrique, deviennent aujourd’hui rentables sans aucune subvention, explique Pierre Devillard, directeur général de NEoT Capital. Elles nécessitent toutefois des investissements importants sur le long terme. Le rôle de NEoT Capital est de répondre à ces enjeux de financement ».

Avec NEoT Green Mobility, qui a pour vocation « d’investir jusqu’à plusieurs centaines de millions d’euros en actifs au cours des cinq prochaines années, en France et à l’international », précise le communiqué, municipalités et opérateurs pourront bénéficier de solutions de mobilité électrique clé en main. Une fois les autorisations réglementaires obtenues, elle devrait être opérationnelle au cours du deuxième trimestre de l’année.

Positionné sur l’ensemble de la gamme, allant des bus aux scooters, en passant par les camions, trains, bateaux, ou véhicules industriels, NEoT Green Mobility compte en effet intégrer à ses offres la mise à disposition de l’ensemble des équipements sur des périodes de trois à 20 ans : batteries, infrastructure de charge, véhicules. Ainsi que le service complet associé à des garanties de service sur toute la durée de vie du contrat : supervision, maintenance, support technique, gestion de la fin de vie et du recyclage. « Cette offre globale vise à accélérer le basculement vers la mobilité électrique. Notre objectif est d’apporter les capacités financières et l’expertise nécessaires pour lever tous les verrous identifiés », poursuit Pierre Devillard. Le prix de la batterie notamment ne devrait plus être un frein à la diffusion de la technologie.

C. N.

Ewa

Assistance technique des FS pour le RER de Buenos Aires

Le futur RER de la capitale argentine aura-t-il un accent italien ? Lors de sa visite à Rome, Guillermo Dietrich, ministre argentin des Transports, a signé avec Renato Mazzonicini, administrateur délégué et DG des FS un accord d’assistance technique sur le projet de RER (Red de Expresos Regionales) de Buenos Aires, chiffré à quelque 14 milliards de dollars (12,8 milliards d’euros). Ce RER nécessitera en effet la création de 16 km de nouveaux tunnels entre les trois principales gares de Buenos Aires (Retiro, Once et Constitución).

Par l’intermédiaire de leur filiale d’ingénierie Italferr, les FS sont déjà présents depuis l’an dernier en Argentine, en particulier sur le réseau de banlieue de Buenos Aires. Dans le cadre du nouveau contrat, le groupe ferroviaire italien devra fournir une assistance spécialisée pour élaborer les spécifications techniques et fonctionnelles du futur appel d’offres.

Ewa

Appel à candidatures pour les trains à grande vitesse de la HS2 britannique

L’appel à candidatures pour concevoir, construire et entretenir les futures rames destinées à la ligne à grande vitesse High Speed 2 (HS2) a été lancé par HS2 Ltd le 20 avril. Le vainqueur de ce marché évalué à 2,75 milliards de livres (3,2 milliards d’euros) coopérerait avec HS2 Ltd pour développer des rames aptes à 360 km/h maximum. Elles devront être en service à partir de 2026 sur la première phase de la HS2, entre Londres et la région de Birmingham et plus au nord sur le réseau classique au gabarit étroit britannique.

Le marché du matériel roulant doit être attribué sous forme de « paquet unique ». Les appels d’offres doivent être envoyés aux candidats présélectionnés au printemps 2018, l’attribution du contrat étant prévue pour la fin 2019. Outre la construction du matériel roulant qui comprendrait initialement une soixantaine de rames, le détenteur du contrat devra assurer la maintenance de ce parc dans un dépôt spécialisé à Washwood Heath, l’ancien site Alstom de Birmingham.

Au parc initial devront s’ajouter les trains pour la deuxième phase de la HS2, qui comprend des prolongements à grande vitesse vers Leeds et Manchester vers 2033.

La future HS2 devrait avoir des effets sur l’exploitation de la West Coast Main Line. Selon nos confrères de Railway Gazette, la Renfe devrait rejoindre la joint-venture Virgin Rail Group (VEG) de Stagecoach et Virgin Holdings dans le cadre de l’appel d’offres pour la future franchise West Coast Partnership (WCP). Associés sous la marque Virgin Trains, Virgin (51 %) et Stagecoach (49 %) exploitent déjà les trains intercités sur la West Coast Main Line entre Londres, Birmingham, le nord-ouest de l’Angleterre et l’Ecosse depuis deux décennies. Mais, comme la prochaine période contractuelle est censée comprendre l’exploitation de la première phase de la HS2 pendant trois à cinq ans, le ministère britannique des Transports (DfT) veut que le vainqueur du prochain appel d’offres possède une expérience en matière d’exploitation de trains à grande vitesse sur ligne dédiée. D’où la nécessité pour les sortants de faire équipe avec un des rares exploitants possédant cette expérience.
Patrick Laval

Ewa

General Electric prend pied au Kazakhstan

Le constructeur de locomotives LKZ (Lokomotiv Kurastyru Zauyty), dont General Electric (GE) vient d’acquérir 50 % du capital avait déjà des liens avec le groupe américain. Jusqu’à présent filiale des Chemins de fer du Kazakhstan (KTZ) 
  LKZ fabrique en effet des locomotives Evolution, conçues par GE Transportation pour les trains de fret et de voyageurs au Kazakhstan et dans les pays voisins issus de l’éclatement de l’URSS. Ouverte en 2009, l’usine LKZ est située à Astana.

P. L

Ewa

Le lobbying en faveur de l’ouverture à la concurrence dans le ferroviaire se renforce

Une nouvelle association, baptisée l’alliance des nouveaux entrants ferroviaires (Allrail) a été lancée le 20 avril à Bruxelles par l’Association européenne des entreprises de fret ferroviaire (Erfa) et les principaux nouveaux entrants dans le transport de voyageurs : LEO Express, MTR Nordic, NTV, Regiojet, Trailine et Westbahn. Des entreprises « qui partagent comme valeurs communes, la concurrence loyale et libre accès au marché ferroviaire », souligne Jean-Gabriel Audebert-Lasrochas, le nouveau directeur des Affaires publiques France de Trainline, embauché notamment pour faire du lobbying en faveur de l’ouverture du rail à la concurrence. « L’Allrail a pour ambition de réformer en profondeur le secteur ferroviaire européen et de lever l’ensemble des barrières réglementaires, techniques et politiques à l’entrée sur le marché ferroviaire en Europe », explique l’association dans un communiqué. Erich Forster, le directeur général de Westbahn, a été élu président de cette association et Tony Berkeley, directeur de l’Erfa, en est le vice-président.
 

Ewa

Ils/elles bougent…

Pascale Giet prend les commandes de la communication de Transdev Pascale Giet a été nommée directrice de la communication du groupe Transdev. Depuis 2010, elle occupait cette même fonction chez Rexel, où elle était aussi chargée du Développement durable et où elle a créé la Fondation pour le progrès énergétique.

Auparavant, elle a travaillé pour plusieurs grands groupes, notamment Cegetel et Europ Assistance, toujours dans la communication et/ou le marketing et la publicité.