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 About ling jun jie

5 years experience in web development.

Ewa

Rouen lance un service de transport partagé en voiture autonome

C’est une première en Europe. Afin de compléter l’offre urbaine à Rouen, un service de transport partagé assurant la liaison du dernier kilomètre sera proposé à titre expérimental en 2018 sur la base de Renault ZOE électriques autonomes. Ce projet est issu d’un PPP entre la métropole, la région, l’Etat, la Caisse des Dépôts et sa filiale Transdev. C’est notamment le service des navettes Astucio sur les quais de Seine piétons testé fin 2016 qui a convaincu les partenaires. A partir du terminus du tram Technopôle du Madrillet (35 ha, 5 000 étudiants, 2 500 emplois), le service desservira des entreprises, des centres de recherche, un campus étudiant et, à terme, un quartier d’habitation, via différents trajets, avec une première boucle de 1,5 km et 3 véhicules. Le service étant opéré sur voie ouverte à la circulation, la voirie sera dotée de technologie communicante. Le projet, qui s’inscrit aussi dans l’accord global de coopération conclu en février entre Transdev et Renault-Nissan, donne naissance à un cluster véhicule autonome.

Ewa

Vigirail. Deuxième phase de l’opération Creil

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Le 25 mars a débuté pour SNCF Réseau la seconde phase de l’opération de modernisation des aiguillages en gare de Creil, grand nœud ferroviaire picard à 50 km au nord de Paris desservi par des trains TER, Intercités et Transilien (RER D et ligne H). Au total, 33 aiguillages seront modernisés et deux nouveaux seront posés sur 14 week-ends, entre le 25 mars et le 27 août 2017. Pour ce deuxième volet d’une des opérations les plus importantes (37 millions d’euros au total, dont 20 millions pour la phase de 2017) du plan Vigirail, l’utilisation, innovante en France, du train-grue et de deux wagons-pupitres est à nouveau mise en œuvre. Mobilisant plus de 120 personnes jour et nuit, agents SNCF ou d’entreprises privées, cette nouvelle phase s’inscrit dans le cadre du projet d’amélioration du plan de voie de la gare de Creil, d’un montant total de 12 millions d’euros financés par l’État et la région Hauts-de-France. Outre les interventions sur les aiguillages, il faudra commencer durant les 6 premiers week-ends par remplacer 7 poteaux supportant les caténaires, alors que 3,6 km de voies ferrées (rail, ballast et traverses) seront également renouvelés. Pas de chantier sans ses inconvénients : une limitation temporaire de vitesse sera en vigueur sur le secteur de Creil, avec interruptions totales ou partielles de la circulation des trains en gare pendant les 14 week-ends concernés, avec des différences d’une semaine à l’autre. Si certains trains doivent être détournés par d’autres axes, des cars de substitution pourront également être mis en service pour maintenir l’offre de la SNCF.

P. L.

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L’Ile-de-France lance huit challenges pour Viva Technology

Dans le cadre du salon Viva Technology dont la deuxième édition se tiendra à Paris du 15 au 17 juin, la région Ile-de-France, partenaire de l’évènement, a lancé ses huit challenges à destination des entreprises et start-up. Il s’agit de répondre à ses enjeux prioritaires, dans des domaines variés : tourisme, innovation, numérique, éducation, sécurité, agriculture. Entreprises et start-up peuvent proposer leurs solutions en ligne jusqu’au 30 mars. A noter l’un des défis : quel dispositif pour mesurer l’état des pistes cyclables en temps réel (qualité et fréquentation) ? La sélection de quatre projets par thématique se fera par un jury de représentants de VivaTech et de la région. Ces 32 participants seront invités à venir présenter leur projet sur le stand de la région durant le salon, qui désignera ensuite huit lauréats.

 

Ewa

Keolis poursuit sa croissance mais à un rythme plus modéré

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L’activité de l’exploitant a moins progressé que lors de la décennie précédente. Cette année encore, des contrats importants sont remis en jeu. En 2016, l’activité de Keolis a progressé plus lentement que les années précédentes à +1,2 % (5,1 milliards d’euros) alors que la tendance de la dernière décennie approchait plutôt en moyenne +10 % chaque année (+12 % en 2015). « L’activité dépend beaucoup des contrats gagnés », a rappelé Jean-Pierre Farandou, le 14 mars, en présentant les résultats de son groupe. « Mais la rentabilité a bien progressé : elle est quatre fois et demie plus forte que la croissance du chiffre d’affaires », a ajouté le président de la filiale de transport public de la SNCF. Le résultat net de 45 millions d’euros (33 millions en 2015) montre que les marges sont faibles dans le secteur.
2016 a toutefois été marquée par le gain de beaux contrats : à l’international d’abord avec le contrat remporté pour exploiter et maintenir le réseau de tramway de Manchester au Royaume-Uni dans le cadre d’une joint-venture avec Amey. Ou encore le gain du premier contrat multimodal d’Australie à Newcastle pour 12 ans, l’exploitation du train de banlieue S-Bahn Rhein-Ruhr en Allemagne ou des contrats de bus aux Pays-Bas (Utrecht et Almere dans la banlieue d’Amsterdam) et en Suède ainsi que l’extension du tram de Bergen en Norvège. En revanche, l’exploitation des trains de banlieue à Boston génère toujours des pertes (pas dévoilées pour 2016, mais évaluées à 29,6 millions de dollars en 2015) mais la direction affirme que le retour à l’équilibre approche : il est maintenant prévu pour la mi-2018 alors que le contrat court jusqu’à la fin 2022.
En France, l’activité a permis d’engranger 800 millions d’euros de chiffre d’affaires avec le renouvellement de nombreux contrats, dont celui de Lyon, le plus important dans le pays (2,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires pendant six ans) et qui est « la vitrine de tous les savoirs faire de Keolis », souligne Frédéric Baverez, le directeur général France du groupe.
Le contrat gagné à Dijon (photo ci-dessus) est également emblématique car il représente la « première DSP globale lancée en France, englobant l’ensemble des services de la mobilité ». Outre le transport public, il comprend la location de vélos, le stationnement en surface et en souterrain et la fourrière. Keolis a aussi été reconduit à Laval, Narbonne et Chantilly pour n’en citer que quelques-uns. Globalement, l’exploitant note une hausse de la fréquentation de 1,6 % et une hausse des recettes commerciales de 3,9 % sur les réseaux urbains.
Les perspectives 2017 s’inscrivent sur la même tendance que 2016 : 770 millions d’euros d’activités devraient être remis en jeu sur le marché français urbain. Cinq grands contrats sont en renouvellement : Lille, qui donne lieu à une concurrence féroce avec Transdev et pour lequel les oraux ont débuté, mais aussi Rennes, Caen, Amiens et Lorient.
L’Ile-de-France sera aussi tout particulièrement regardée, avec le lancement du tram-train T11 Express, un contrat confié par la SNCF à sa filiale au grand dam de syndicats de cheminots. Sur le long terme, le potentiel de développement est prometteur avec le Grand Paris et les futurs appels d’offres pour l’exploitation des tramways T9, T10 et CDG Express qui devraient donner lieu à des combats fratricides avec la RATP et Transdev. Avec une variante pour CDG Express pour lequel Keolis et La RATP se sont alliés, Keolis étant le mandataire du groupement.
Mais c’est surtout à l’international (qui représente désormais 43 % de l’activité) que Keolis peut espérer renforcer ses marges, celles-ci n’étant pas très élevées en France. « Si on gagne un des deux gros contrats au Moyen-Orient, cela peut aider… », commente Jean-Pierre Farandou. En ligne de mire, les résultats des appels d’offres pour les métros de Doha et de Ryad attendus en mai ou en juin. M.-H. P

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Rouen lance un TAD avec des ZOE autonomes

C’est une première en Europe. Afin de compléter l’offre urbaine à Rouen, un service de transport partagé assurant la liaison du dernier kilomètre sera proposé à titre expérimental en 2018 sur la base de Renault ZOE électriques autonomes. Ce projet est issu d’un PPP entre la métropole, la région, l’Etat, la Caisse des Dépôts et sa filiale Transdev. C’est notamment le service des navettes Astucio sur les quais de Seine piétons testé fin 2016 qui a convaincu les partenaires.

A partir du terminus du tram Technopôle du Madrillet (35 hectares, 5 000 étudiants, 2 500 emplois), le service desservira des entreprises, des centres de recherche, un campus étudiant et, à terme, un quartier d’habitation, via différents trajets, avec une première boucle de 1,5 km et 3 véhicules. Le service étant opéré sur voie ouverte à la circulation, la voirie sera dotée de technologie communicante. Le projet, qui s’inscrit aussi dans l’accord global de coopération conclu en février entre Transdev et Renault-Nissan, donne naissance à un cluster véhicule autonome.

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Tisséo lance un appel à manifestation d’intérêt innovation

Du 23 mars au 28 avril, le SMTC Tisséo mobilise les innovateurs du territoire toulousain autour des défis du « Projet Mobilités 2020-2025-2030 » et de la 3e ligne de métro, en lançant un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) sur le thème de l’innovation et de l’expérience voyageur. Le territoire de la grande agglomération toulousaine compte aujourd’hui plus d’un million d’habitants connait une forte croissance démographique. Il est reconnu pour son écosystème innovant, associant des grands groupes, start-up, laboratoires de recherches, universités… que la SMTC souhaite mobiliser avec l’objectif « d’offrir une expérience voyageur unique, en adéquation avec les technologies et les usages de demain ». Il s’agira aussi de réussir l’insertion et l’interconnexion de l’infrastructure de la 3e ligne.

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Plus de 6 millions de clients des cars Macron en 2016

Malgré un recul de 22 % par rapport à l’été, effet de saisonnalité oblige, avec 1,56 million de passagers ayant emprunté des autocars Macron au dernier trimestre 2016, la fréquentation est en forte augmentation par rapport à la même période en 2015 (640 000 voyageurs). Au total, en 2016, ce sont 6,2 millions de personnes qui ont voyagé en autocar et près de sept millions depuis l’ouverture du marché, en août 2015, selon le dernier bilan de l’Arafer. Le régulateur recense par ailleurs 180 villes desservies au 31 décembre et 985 liaisons commercialisées en France. Côté tarifs, les ajustements se poursuivent avec une recette moyenne par passager aux 100 km qui progresse de 18 % en passant de 4 à 4,70 euros HT. Le chiffre d’affaires de l’année s’élève à 83,20 millions d’euros HT pour ce secteur qui employait près de 2 082 personnes au 4e trimestre.

 

Ewa

Autolib’ avec le passe Navigo dans un mois

Dès la mi-avril, les possesseurs d’un passe Navigo pourront l’utiliser pour louer une voiture électrique en libre service du service Autolib’, disponible dans 90 communes franciliennes. C’est ce qu’a annoncé le 19 mars, le vice-président (LR) de la région chargé des Transports, Stéphane Beaudet. « Nous souhaitons que Navigo devienne un passe multimodal, utilisable de la façon la plus large possible », a-t-il en effet rappelé. Une convention entre le Stif et Autolib’ Métropole sera prochainement signée en ce sens.

 

Ewa

Ferroviaire : la concurrence sans passer par la case expérimentation ?

Alors que le sénateur LR des Alpes-Maritimes, Louis Nègre, planche sur une proposition de loi pour préparer la concurrence dans les TER, les opérateurs concurrents de la SNCF réunis dans l’Association française du rail (Afra) interpellent les candidats à la présidentielle sur la question. « Le gouvernement actuel a accepté ce principe d’ouverture à la concurrence. Nous souhaiterions savoir si la prochaine équipe gouvernementale sera sur la même ligne », explique Franck Tuffereau, le nouveau délégué général de l’Afra. Rappelons que le règlement européen du 14 décembre 2016 prévoit l’ouverture à la concurrence dans le transport ferroviaire régional de voyageurs à partir de la fin 2023. Mais, dès 2019,  les autorités organisatrices des transports auront le choix soit d’attribuer directement les marchés soit de faire appel à la concurrence. 

Jusqu'à présent, le dispositif législatif retenu était l'adoption d'une première loi autorisant l'expérimentation avant la loi définitive. En effet, comme une loi ne peut pas autoriser une expérimentation au-delà de cinq ans, il faudra ensuite une autre loi pour autoriser pleinement l’ouverture à la concurrence. Compliqué, estiment les adhérents de l’Afra qui plaident pour l’adoption directe d’une loi de libéralisation, sans passer par la case expérimentation. « Pour pouvoir tirer des enseignements, nous avons besoin d’un temps long. Au moins sept ans, le temps de lancer le service. Surtout si dans le cadre de délégations de service public, certaines AOT choisissent aussi de transférer la maintenance du réseau, comme cela se fait en Allemagne », estime Franck Tuffereau, en affirmant qu’il n’y aura pas de grand soir et que les régions ne basculeront pas tout leur territoire du jour au lendemain entre les mains du privé.

Position partagée par  Louis Nègre. Le rapporteur au sénat de la proposition de loi sur le sujet redoute une « usine à gaz ». Il précise : « Je  n'ai toujours pas compris l'intérêt d'une loi d'expérimentation ». D'autant qu'ouvriront à la concurrence leurs services ferroviaires « ceux qui le voudront et uniquement ceux-ci. La loi doit donc ouvrir tout simplement la possibilité non pas d'expérimenter, mais de faire ».

M.-H. P.

 

Ewa

Keolis poursuit sa croissance mais à un rythme plus modéré

En 2016, l’activité de Keolis a progressé plus lentement que les années précédentes à +1,2 % (5,1 milliards d’euros) alors que la tendance de la dernière décennie approchait plutôt en moyenne +10 %

chaque année (+12 % en 2015). « L’activité dépend beaucoup des contrats gagnés », a rappelé Jean-Pierre Farandou, le 14 mars, en présentant les résultats de son groupe. « Mais la rentabilité a bien progressé : elle est quatre fois et demie plus forte que la croissance du chiffre d’affaires », a ajouté le président de la filiale de transport public de la SNCF. Le résultat net de 45 millions d’euros (33 millions en 2015) montre que les marges sont faibles dans le secteur.

2016 a toutefois été marquée par le gain de beaux contrats : à l’international d’abord avec le contrat remporté pour exploiter et maintenir le réseau de tramway de Manchester au Royaume-Uni dans le cadre d’une joint-venture avec Amey. Ou encore le gain du premier contrat multimodal d’Australie à Newcastle pour 12 ans, l’exploitation du train de banlieue S-Bahn Rhein-Ruhr en Allemagne ou des contrats de bus aux Pays-Bas (Utrecht et Almere dans la banlieue d’Amsterdam) et en Suède ainsi que l’extension du tram de Bergen en Norvège. En revanche, l’exploitation des trains de banlieue à Boston génère toujours des pertes (pas dévoilées pour 2016, mais évaluées à 29,6 millions de dollars en 2015) mais la direction affirme que le retour à l’équilibre approche : il est maintenant prévu pour la mi-2018 alors que le contrat court jusqu’à la fin 2022.

En France, l’activité a permis d’engranger 800 millions d’euros de chiffre d’affaires avec le renouvellement de nombreux contrats, dont celui de Lyon, le plus important dans le pays (2,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires pendant six ans) et qui est « la vitrine de tous les savoirs faire de Keolis », souligne Frédéric Baverez, le directeur général France du groupe.

Le contrat gagné à Dijon est également emblématique car il représente la « première DSP globale lancée en France, englobant l’ensemble des services de la mobilité ». Outre le transport public, il comprend la location de vélos, le stationnement en surface et en souterrain et la fourrière. Keolis a aussi été reconduit à Laval, Narbonne et Chantilly pour n’en citer que quelques-uns. Globalement, l’exploitant note une hausse de la fréquentation de 1,6 % et une hausse des recettes commerciales de 3,9 % sur les réseaux urbains.

Les perspectives 2017 s’inscrivent sur la même tendance que 2016 : 770 millions d’euros d’activités devraient être remis en jeu sur le marché français urbain. Cinq grands contrats sont en renouvellement : Lille, qui donne lieu à une concurrence féroce avec Transdev et pour lequel les oraux ont débuté, mais aussi Rennes, Caen, Amiens et Lorient.

L’Ile-de-France sera aussi tout particulièrement regardée, avec le lancement du tram-train T11 Express, un contrat confié par la SNCF à sa filiale au grand dam de syndicats de cheminots. Sur le long terme, le potentiel de développement est prometteur avec le Grand Paris et les futurs appels d’offres pour l’exploitation des tramways T9, T10 et CDG Express qui devraient donner lieu à des combats fratricides avec la RATP et Transdev. Avec une variante pour CDG Express pour lequel Keolis et La RATP se sont alliés, Keolis étant le mandataire du groupement.

Mais c’est surtout à l’international (qui représente désormais 43 % de l’activité) que Keolis peut espérer renforcer ses marges, celles-ci n’étant pas très élevées surtout en France. « Si on gagne un des deux gros contrats au Moyen-Orient, cela peut aider… », commente Jean-Pierre Farandou. En ligne de mire, les résultats des appels d’offres pour les métros de Doha et de Ryad attendus en mai ou en juin.

M.-H. P.

Keolis également renouvelé à Quimper 

Le contrat de Keolis à Quimper devait être signé le 31 mars et débuter dès le lendemain. Représentant 12 millions d’euros par an, il est prévu jusqu’au 31-12-2023.