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Ewa

SNCF Voyageurs lance une nouvelle campagne contre les incivilités envers ses agents

contrôleur

Le constat est désolant : chaque jour, plus de 15 agents SNCF Voyageurs sont victimes de violences sous toutes ses formes (neuf font l’objet d’injures, quatre de menaces et deux de violences volontaires). « Les agents les plus ciblés sont les chefs de bord à hauteur de 65% et les agents en gare pour 35% », indique dans un communique SNCF Voyageurs en dénonçant ces multiples atteintes envers ses agents, atteintes qui sont « devenues une des premières causes d’accidentalité au travail ».

L’entreprise a ainsi recensé, l’année dernière, près de 6 000 actes d’atteintes physiques ou verbales, dont 850 ont fait l’objet d’un accident du travail. D’où une campagne et des actions de sensibilisation lancées à l’approche de la saison estivale.

La campagne de communication, conçue par l’agence Rosa Paris, reprend un message « simple » et « choc » qui a déjà « fait ses preuves », estime SNCF Voyageurs, Elle prévoit une diffusion sur les affichages digitaux dans les principales grandes gares et sur les réseaux sociaux afin de sensibiliser le public.

SNCF Voyageurs publie également sur les réseaux sociaux un contenu pédagogique détaillant les sanctions encourues en cas d’atteinte physique ou verbale : https://www.sncf-voyageurs.com/fr/voyagez-avec-nous/en-france/actualites/campagne-outrages-2025/

Ewa

L’Etat annonce un plan de 520 millions d’euros pour les mobilités en vue des JO d’hiver

paris-briançon

Le gouvernement a annoncé le 27 août, lors du comité interministériel pour les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2030, un plan de 520 millions d’euros pour moderniser les infrastructures ferroviaires et routières dans les Alpes du Sud.

Ce plan comprend notamment le lancement d’un chantier de modernisation de la ligne des Alpes permettant, à partir de 2030, la circulation de deux allers-retours express en 3h40 entre Marseille et Briançon qui s’ajouteront aux trains omnibus qui desservent les 16 gares de la ligne, explique la région Sud dans un communiqué.

Côté route, il est prévu de sécuriser quatre grands axes routiers, la Rocade de Gap, les axes Gap – Briançon, Tallard – La Bâtie Neuve, la liaison Briançon – Grenoble et la Traversée de la Roche-de-Rame.

La région va aussi, de son côté, créer notamment un pôle d’échanges multimodal à Briançon et à Manosque.

Ewa

Le port de Dunkerque choisit Modalis pour exploiter son futur terminal de ferroutage

Port de Dunkerque et son future terminal de ferroutage

Dunkerque-Port a choisi le groupe Modalis, à l’issue d’un appel à manifestation d’intérêt, pour gérer son futur terminal de ferroutage actuellement en construction sur le port ouest et dont l’ouverture est prévue en mars 2026. Doté d’une capacité de traitement pouvant atteindre jusqu’à quatre trains de 750 mètres par jour, le futur terminal, situé au carrefour stratégique des terminaux rouliers Grande-Bretagne / Irlande, doit faciliter le transport combiné rail-route. Il doit permettra de retirer jusqu’à 50 000 unités de transport intermodal de la route chaque année ce qui représente 70 000 tonnes de CO₂ évitées.

Modalis, via sa filiale de transport combiné Delta Rail, s’apprête à lancer en mars prochain une liaison régulière entre le nord de l’Italie et Dunkerque. Le terminal sera ouvert à d’autres opérateurs.

Ewa

Mulhouse va expérimenter de nouveaux filtres à particules sur ses bus

Mulhouse Alsace Agglomération (m2A) lance le 1er juillet avec Transdev, Tallano Technologies et Iveco Bus, une expérimentation pour capter à la source des particules fines sur les bus du réseau Soléa, une première selon eux. Les bus vont en effet être équipés par Tallano Technologies d’un filtre avec une technologie baptisée TAMIC® qui doit permettre de capter à la source plus de 70 % des particules fines et ultra fines émises par le freinage. Cela grâce à un rainure créée dans la plaquette de frein.

Dans un premier temps, trois bus en seront dotés, le premier d’entre eux commencera à circuler à partir du 1er juillet. 50 autres véhicules du parc existant seront ensuite équipés. Et tous les nouveaux autobus doivent l’être entre 2025 et 2030.

Cette expérimentation vise à respecter la règlementation européenne qui encadrera les émissions de particules fines liées au freinage des véhicules à l’horizon 2030, avec l’entrée en vigueur du règlement européen Euro 7 pour les véhicules lourds. Cette innovation a été primée par Propulse1 dans le cadre de la nouvelle convention entre m2A et Soléa, précise un communiqué des partenaires.

Ewa

Transdev prolonge son bail à Phoenix

Bus Transdev à Phoenix

Le groupe Transdev, qui gère depuis 2007 les transports publics de la zone ouest de la ville, a obtenu une prolongation de cinq ans de son contrat de cinq ans. Le contrat, qui redémarre à partir du 1er juillet, comprend une option de deux années supplémentaires.

Transdev U.S. va exploiter 160 véhicules avec une équipe d’environ 530 collaborateurs. « Ce contrat est évalué à 67 millions de dollars pour la première année et à 375 millions de dollars pour 5 années », précise dans un communiqué l’opérateur de transport qui vient de passer sous pavillon allemand.

Le groupe, qui est présent à Phoenix depuis plus de 50 ans, exploite également les services de transport public du nord et du sud de la ville ainsi que du centre de contrôle des opérations. Il est aussi présent à l’aéroport international de Phoenix Sky Harbor.

Ewa

Un projet de robot pour ouvrir les lignes à grande vitesse à la SNCF

Ligne TGV Sud-Est à Cruzilles-lès-Mépillat.
On aperçoit, à gauche de la voie, un repère du système actuel TVM 300.

Parmi les projets d’innovation portés par la SNCF figure en bonne place un robot pour remplacer, dans quelques années, le TGV qui ouvre chaque jour les lignes à grande vitesse afin de vérifier leur état avant d’autoriser les premières circulations commerciales.

Baptisé Mars pour Mobile autonome de reconnaissance et de surveillance, ce robot bourré de capteurs, de lidars et de radars serait télécommandé ‘pour remplir cette mission avec l’aide de l’intelligence artificielle. Ce serait, selon Carole Desnost, la directrice Technologies, innovation et projets du groupe, « la première application d’une conduite 100 % autonome ». Ce serait aussi, ajoute-t-elle, « une première mondiale si on arrive à le faire dans les temps ». C’est-à-dire d’ici à 2030. Il faudra ensuite quelques années pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché et pour l’industrialisation.

Le projet, qui fait partie du programme France 2030, représente un budget de 30 millions d’euros.

Ewa

Affaissement de terrain sur le parcours d’un tunnelier du métro à Toulouse

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Vingt-quatre habitants de huit bâtiments situés sur le parcours d’un des cinq tunneliers perçant la ligne C du métro de Toulouse ont dû être relogés après un affaissement de terrain survenu le 20 juin à proximité de la future station Bonnefoy et ayant entraîné l’effondrement du plancher d’une maison. « Cet affaissement a probablement été provoqué par la présence d’une poche de sable ou d’une cavité préexistante fragilisée par le passage du tunnelier à quinze mètres en dessous », a expliqué Tisséo Ingénierie. Passage qui a eu lieu en avril dernier et déjà entraîné des fissures. Alors que plus de 5 km de tunnel sur 21 ont déjà été creusés, Tisséo annonce avoir « décidé de renforcer les investigations préventives quand les tunneliers creusent dans des sols présentant des caractéristiques particulières ». 

Tisséo prendra en charge les dédommagements futurs qui risquent de se chiffrer « à plusieurs centaines de milliers d’euros ».

 

Ewa

Le gouvernement confirme que Jean-Pierre Farandou reste PDG par intérim

Jean-Pierre Farandou

Le gouvernement a indiqué le 19 juin, lors d’un conseil d’administration de la SNCF, que l’intérim de Jean-Pierre Farandou à la tête du groupe public est prolongé. Mais il n’a pas précisé de date pour l’achèvement de ce mandat. Rappelons que Jean-Pierre Farandou est président par interim depuis mai 2024.

Contrairement à une hypothèse avancée jusque-là, évoquant une dissociation des fonctions de président et de directeur général, le patron du ferroviaire garde ces deux casquettes. Du fait de cette situation particulière d’intérim, l’interdiction de rester PDG du groupe au-delà de 68 ans (âge qu’atteindra Jean-Pierre Farandou le 4 juillet) ne s’appliquerait pas. Le premier des cheminots, qui s’attend à rester à son poste « jusqu’à l’automne », estime que la situation pourrait se « décanter » en septembre.

Ewa

 Île-de-France Mobilités commande 96 RER NG supplémentaires à Alstom

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Alstom a annoncé le 23 juin avoir reçu une commande d’Île-de-France Mobilités pour la fourniture de 96 rames RER NG supplémentaires destinées à la ligne RER D.
Cette commande d’environ 1,7 milliard d’euros, s’inscrit dans le contrat-cadre signé en 2017 entre SNCF Voyageurs et Alstom. Les 96 rames s’ajoutent aux 166 rames de ce type déjà commandées, portant à 262 le nombre total de RER NG commandés à Alstom : 130 rames pour le RER E en version 112 m, et 132 rames pour le RER D, en version 130 m.
Aptes à 140 km/h, les RER NG destinées à la ligne D sont composés de sept voitures. Ils ont une capacité de 1 861 places dont 606 places assises.
Le RER NG circule sur la ligne RER E depuis novembre 2023 et sur la ligne RER D depuis décembre 2024.

Ewa

RATP Cap Ile-de-France regagne du terrain dans la compétition pour les bus parisiens

RATP bus biogaz

Soulagement pour RATP Cap Ile-de-France, qui voyait jusqu’à présent la concurrence lui tailler des croupières sur son monopole historique des bus parisiens : la filiale de la RATP devrait remporter trois lots de bus sur les quatre qui étaient mis en compétition par Ile-de-France Mobilités. Il s’agit du lot 43 (territoires de la Plaine-Saint-Denis, soit 30 lignes de bus et 3 centres opérationnels bus à Aubervilliers, Saint-Denis ainsi qu’un nouveau centre situé à Villiers-le-Bel) représentant 150 à 160 millions d’euros de chiffre d’affaires, du lot 46 (territoire de Pompadour, avec 24 lignes, dont deux de BHNS et deux centres opérationnels à Créteil et à Thiais) représentant 160 millions d’euros de CA et du lot 41(territoires de La Défense et Saint-Cloud, couvrant 38 lignes de bus et 4 centres opérationnels à Nanterre, Charlebourg, Les Guilleraies et Point du Jour) et représentant 220 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Des sociétés dédiées pour exploiter les bus

Ces quatre lots représentent 43 % du chiffre d’affaires réalisé à Paris et en petite couronne par la RATP. En en conservant trois, RATP Cap Ile-de-France rééquilibre donc la balance après les premiers camouflets. Des sociétés dédiées, filiales de RATP Cap Ile-de-France, vont être créées pour exploiter l’année prochaine les premières lignes de bus qui ont été ouvertes à la concurrence. Pour le moment, 13 500 salariés sont concernés et vont être appelés à rejoindre une de ces sociétés. Ce qui représente 65 % des salariés travaillant pour l’activité bus à Paris et en petite couronne. 18 000 salariés seront concernés à terme, dont 15 000 machinistes.

Dans un premier temps, et pendant un an, l’offre de transport ne changera pas, en accord avec IDFM. Les changements seront déjà très importants pour les salariés, explique-t-on en interne côté RATP. L’autorité organisatrice et les opérateurs souhaitent ainsi éviter des mouvements sociaux comme il y en a eu dans le cadre de la mise en concurrence des bus Optile.

Restera encore deux lots importants à attribuer en octobre (sur un total de 12), dont le plus gros est celui de la Rive droite (lot n°49). A eux deux, ils représentent 25 % du chiffre d’affaires et semblent, selon RATP Cap Ile-de-France, difficiles à dissocier. Sinon l’exploitation serait très complexe, affirme-t-on.

Keolis devrait exploiter les bus du territoire de Seine Orly et le T9

De son côté, Keolis est sélectionné pour le quatrième lot, la DSP n° 47, qui concerne les bus de bus du territoire de Seine Orly et le T9, avec 28 lignes de bus, dont sept de nuit, et quatre centres de bus à Ivry, Vitry, Villeneuve-le-Roi et Choisy-le-Roi), ainsi que le T9 et son site de maintenance et de remisage du T9. Il représente 180 à 190 millions d’euros de chiffre d’affaires. « Le lot comprend également l’exploitation du futur TZen5, sous forme d’une option qui sera déclenchée en fonction des délais de mise en service de la ligne », précise IDFM dans un communiqué.

Un conseil d’administration de l’autorité organisatrice des transports franciliens devrait valider ces choix le 10 juillet. Il devrait aussi approuver le choix de Transdev pour l’exploitation des bus du territoire de Marne-la-Vallée (DSP n°10) dans le cadre de la mise en concurrence des lignes de bus en grande couronne, car certains contrats arrivent à échéance. Soit 7 lignes de bus, dont quatre bus de soirée et deux centres opérationnels (Bailly-Romainvilliers et Lagny-sur-Marne).