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Ewa

Deux changements à la direction d’Alstom

Centre d'excellence intérieurs Alstom

Le management d’Alstom se renouvelle progressivement. Le constructeur français vient d’annoncer le départ à la retraire de Gian Luca Erbacci, jusqu’alors président de la région Europe. Il sera remplacé le 1er juin par Andrew DeLeone qui avait rejoint en 2021 le groupe après avoir passé deux ans chez Bombardier Transport.

Martin Vaujour, prend sa place en étant nommé président de la région AMECA (Afrique, Moyen-Orient et Asie Centrale). Il devient également membre du comité exécutif d’Alstom. Il était auparavant responsable des fusions-acquisitions et des relations avec les investisseurs chez Alstom. Il avait rejoint le siège du groupe en mars 2020 après l’acquisition de Bombardier Transport et après avoir été notamment directeur général de TMH-International.

Ewa

David Valence reconduit à la présidence du Conseil d’orientation des infrastructures

David Valence

Alors que la conférence sur le financement des transports est lancée aujourd’hui à Marseille par le Premier ministre, le gouvernement redonne une impulsion au Conseil d’orientation des infrastructures en nommant ses membres. Des nominations attendues depuis un an puisque le précédent bureau avait été désigné en janvier 2021 pour un mandat de trois ans.

David Valence, président de la commission « Transports, Mobilités et Infrastructures » du conseil régional Grand Est, reste président pour un nouveau mandat de trois ans. Il continuera donc d’animer cette structure, entérinée par la loi d’orientation des mobilités (LOM) et dont la mission est de formuler des propositions d’investissements dans les transports et sur leurs financements.

Huit autres personnes sont désignées « en raison de leurs compétences en matière de transport et de mobilité, d’évaluation économique, d’aménagement du territoire, d’environnement et de financement public« , comme le rappelle l’arrêté du 3 mai publié au journal Officiel. Parmi elles, Alain Grizaud, président de la fédération nationale des travaux publics, est nommé vice-président.

Deux autres personnalités intègrent le COI « en raison de leurs compétences en matière de politiques européennes, avec voix consultative » : les députées européennes Isabelle Le Callennec (PPE) et Fabienne Keller (Renew Europe).

Ewa

Grève : une semaine « aussi normale que possible » à la SNCF

grèves
21/01/2004

Paris - Ile de France - France 

Paris Gare de l'est, jour de greve et de pluie

« Une semaine aussi normale que possible », c’est ce que promet la SNCF malgré les appels à la grève organisés par la CGT-Cheminots et Sud Rail pour réclamer notamment « une refonte de la prime traction et une amélioration des conditions de travail ».  Le 5 mai, premier jour du mouvement, si le service du TGV n’a pas été affecté, en revanche, le trafic a été perturbé dans plusieurs régions, notamment en Ile-de-France avec des suppressions de trains sur les lignes du RER B, C et E et sur les lignes H, N, U et V.

Le collectif des contrôleurs de nouveau mobilisé

Même effet limité, avec la grève des contrôleurs prévue pendant le pont du 8 mai, malgré une mobilisation plus ou moins forte selon les régions. La SNCF invitait même ses clients à ne pas annuler leurs voyages, par la voix de son président qui s’exprimait hier sur France Inter. « Tous les départs vont bien se passer puisqu’il n’y a quasiment pas de grève mercredi et jeudi. Et il y aura un train dimanche pour ramener tout le monde », a indiqué Jean-Pierre Farandou. « Si nous devons annuler certains trains, nous visons de proposer à chaque client de voyager le jour prévu vers sa destination » , annonçait également de son côté Christophe Fanichet, le PDG de SNCF Voyageurs.

Pour porter le mouvement, Sud Rail s’est fait le porte-parole du Collectif national ASCT (CNA) qui demande une hausse de 100 euros par mois de la prime de travail et une sécurisation des planning. « La fonction de contrôleur a été dévalorisée. Ce qui a mis le feu au poudre, ce sont les plannings de travail négociés tous les trois mois mais qui ne sont pas respectés« , explique Olivier, porte-parole du CNA. « Cela fait des mois que nous envoyons des courriers à la direction pour la prévenir« ,  ajoute-t-il.

Plusieurs dizaines de réunions ont été organisées entre les organisations syndicales et la direction mais le CNA estime « qu’il n’y a pas eu de discussions« . De son côté, la SNCF annonce qu’elle va revoir l’organisation des plannings pour apporter plus de stabilité et a lancé un audit sur le sujet. En revanche, elle ne semble pas prête à lâcher sur les salaires, qui ont déjà bénéficié d’une hausse moyenne de plus de 17 % entre 2022 et 2024, puis de 2,2 % cette année, pour faire face à l’inflation, rappelle-t-elle régulièrement.

Les deux autres organisations syndicales représentatives dans l’entreprise, l’Unsa Ferroviaire et la CFDT Cheminots ne se sont pas joints au mouvement. « La CFDT Cheminots porte l’ensemble de ces sujets en faisant le choix du dialogue avec des calendriers de discussions. Les questions formation et organisation du travail seront abordés très rapidement, puis le sujet de la rémunération est prévue en septembre. Les méthodes diffèrent selon les syndicats. Mais la direction aura intérêt à répondre à nos demandes« ,  souligne Thomas Cavel, le secrétaire général de la CFDT Cheminots.

Agents volontaires

Pour faire rouler les trains malgré la grève, la SNCF va faire appel à des agents volontaires habilités à porter la caquette de contrôleur et qui vont donc pouvoir remplacer les grévistes. Ces cheminots « mercenaires » comme les appelle Olivier vont contribuer « à casser le mouvement« , selon le représentant du Collectif, amer face à ce manque de solidarité : « Nous sommes vus comme les vilains petits canards alors que tous les cheminots ont profité de nos demandes« , regrette-t-il, tout en agitant la menace d’une suite plus dure  : « Nous avons conseillé aux collègues de se déclarer gréviste un mois avant. La prochaine fois, nous serons moins sympas et nous nous déclarerons que 48 heures à l’avance ». 

Reste que le CNA a besoin du relais des organisations syndicales qui ont seules le pouvoir de négocier avec la direction. Or, les stratégies concurrentes de la CGT Cheminots et de Sud Rail, dans une sorte de course à l’échalotte, agissant d’abord chacune de leur côté avec des dates et des mots d’ordre différents puis se rejoignant, brouillent la lisibilité de leurs messages. Et semblent pour le moment avoir échoué à faire la jonction entre les différents métiers pour les entraîner dans une grève plus générale comme elles le souhaiteraient.

 

Le sujet majeur de l’info voyageurs

La SNCF prévoit d’envoyer un mail et/ou un SMS à chaque voyageur pour lui indiquer si son TGV circule ou pas. « Pour le pont du 8 mai, tous les clients seront prévenus avant de partir concernant leur train retour : ils seront prévenus avant le début du pont mercredi pour les circulations allant jusqu’à dimanche 11 mai« , précise-t-elle en rappelant que les billets sont échangeables et remboursables sans frais sur TGV INOUI comme sur OUIGO.
Pour les trains régionaux et en Ile-de-France, l’information est communiquée la veille à 17h sur les canaux habituels.

Ewa

Trains de banlieue parisienne : la SNCF devrait conserver l’exploitation de la ligne L

Gare Saint-Lazare Trains de banlieue

La première ligne de train en banlieue parisienne à être ouverte à la concurrence devrait rester à la SNCF : Ile-de-France Mobilités a annoncé le 2 mai que Transilien SNCF Voyageurs est l’opérateur « pressenti » de cette  ligne reliant la gare de Paris-Saint-Lazare à celles de Versailles-Rive-Droite, Saint-Nom-la-Bretèche et Cergy-le-Haut. Le prochain conseil d’administration d’IDFM fixé le 20 mai devrait approuver ce choix.

Une victoire importante pour l’opérateur historique qui devrait aussi rassurer les associations d’usagers inquiets d’une possible complexification du système de transport ferroviaire avec l’arrivée d’opérateurs différents. La ligne L représente 4,2 millions de trains kilomètres commerciaux par an, soit 6,5% du réseau exploité par Transilien. Ou encore près de 297 000 voyages par jour, soit 8,7% du réseau exploité par Transilien SNCF Voyageurs avec 36 gares desservies.

 

 

Ewa

Le tramway T1 repart avec des stations rénovées

Le nouveau terminus Gare de Noisy-le-Sec a été implanté à quelques dizaines de mètres de la gare du RER E.
Fermées pour rénovation depuis plus de sept mois, les six dernières stations du T1, à l’est de la ligne (Bobigny Pablo-Picasso, Jean-Rostand, Auguste Delaune, Pont de Bondy, Petit Noisy et Gare de Noisy-le-Sec) sont à nouveau desservies depuis le 22 avril. Elles ont été inaugurées le 30 avril.
Les quais ont été allongés pour s’adapter aux nouvelles rames TW20 et le mobilier des stations a été changé.
Deux stations ont fait l’objet de transformations plus approfondies. La station Bobigny – Pablo Picasso a été déplacée, agrandie et dotée de quais de 110 m de long pouvant accueillir chacun trois rames de 33 m simultanément. Avec un total de 400 m linéaire, elle pourra servir de station de régulation lorsque le T1 sera exploité en 3 tronçons après la mise en service des prolongements à l’ouest et à l’est. Le terminus du T1, la gare de Noisy-le-Sec, a aussi été déplacé afin d’être rapproché de la gare ferroviaire desservie par la ligne E du RER.
La RATP a aussi profité de l’interruption du trafic pour effectuer des opérations de maintenance, notamment le remplacement d’environ 1 500 mètres de rails et de bitume entre les stations Auguste Delaune et Pont de Bondy ainsi qu’entre Pont de Bondy et Petit Noisy.
Les aménagements et rénovations de ces six dernières gares s’inscrivent dans le programme de modernisation progressive des 26 stations historiques du T1. Il a été financé par Île-de-France Mobilités (55 millions d’euros) et le département de la Seine-Saint-Denis (pour près de 8,5 millions d’euros).
Les travaux à la station Gare de Noisy-le-Sec, ont été mis à profit pour déplacer les réseaux, en prévision du futur prolongement vers Val de Fontenay. Celui-ci est prévu en deux phases, d’abord en 2028 jusqu’à la station Rue de Rosny à Montreuil, puis en 2030 jusqu’à Fontenay-sous-Bois.
À l’ouest de la ligne, la ligne devait atteindre Rueil-Malmaison en 2030, mais cette échéance a été repoussée en janvier, 2025.

Ewa

La gare modèle de Villiers-Champigny-Bry sur la ligne 15 du Grand Paris Express

Gare de Villiers-Champigny-Bry
Dans la gare de Villiers-Champigny-Bry, sur la future ligne 15 sud (Pont-de-Sèvres – Noisy-Champs), les compagnons s’activent : les travaux doivent être terminés « d’ici deux à trois mois », assure Rémi Herbert, chef de projet de la gare au sein de la Société des Grands Projets (SGP).
Les travaux d’aménagements extérieurs et intérieurs sont en cours. De même que les essais d’alimentation électrique de la gare, préalable au déploiement du raccordement définitif qui permettra de réaliser les essais des équipements de la gare.
En sous-sol, à 23 m de profondeur, les façades de quais sont en cours de tests. Les équipes testent aussi le poste de redressement pour alimenter les trains.
La gare ne sera ouverte qu’au moment de la mise en service prévue au dernier trimestre 2026. Mais elle va servir de modèle aux quinze autres gares de la ligne qui, d’ici là, doivent être achevées.
La SGP va progresser d’est en ouest. D’abord, la zone 1, de la gare de Noisy-Champs à celle de Villiers – Champigny – Bry, puis la zone 2 entre les Champigny Centre et Créteil L’Échat, la zone 3, entre Vert de Maisons et Villejuif – Gustave Roussy et, enfin, la zone 4, entre Arcueil – Cachan et Pont de Sèvres.
Des milliers de tests doivent être réalisés sur chacun des équipements de chacune des gares. La SGP les classe en deux parties : ceux qui concernent le fonctionnement des gares d’une part (escaliers mécaniques, ascenseurs, panneaux d’information voyageurs, alarmes incendie, billettique, etc.) et la circulation des trains d’autre part (rames, automatismes de conduite, radio, façades de quais, etc.).
Il y a d’abord les essais en usine, chez le fabricant avant leur livraison, puis des essais dits “système“, une fois installés en gare et raccordés électriquement. Les compagnons vérifieront ensuite que ces équipements fonctionnent correctement ensemble.
Cette étape des essais “d’intégration“ permet par exemple de s’assurer que les portes-pallières s’ouvrent au bon moment lorsque la rame est à quai. Lors des essais de validation, on teste la résistance du système avec de plus en plus de trains en service ainsi qu’en mode dégradé lorsqu’il y a des aléas.

Le Centre d’exploitation Champigny réunit le poste de commandement et la maintenance du matériel

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Le mur d’images du PCC de la ligne 15 sud au Centre d’exploitation Champigny © Yann Goubin

À quelques centaines de mètres de la gare de Villiers-Champigny-Bry, de l’autre côté de la ligne SNCF emprunté par le RER, le Centre d’exploitation Champigny, abrite le Site de maintenance et de remisage (SMR) de la ligne 15 sud. C’est là que sont livrées les MR6V de la ligne, au rythme d’une toutes les deux semaines. Elles arrivent du centre d’essai ferroviaire de Valenciennes, en convoi exceptionnel par lot de trois voitures qui sont réassemblées à leur arrivée, mécaniquement et électriquement, pour former des rames composées de six voitures, de 18 mètres chacune, soit un total de 108 mètres.

Pour l’instant, neuf rames occupent les voies du centre de maintenance sur les 27 nécessaires à l’exploitation de la 15 sud.
Le matériel est testé, d’abord à sa sortie de l’usine Alstom, à Valenciennes. Puis à Champigny après le réassemblage.
Les rames subissent des essais statiques, puis dynamiques, menés par Systra, Siemens et Hitachi. Elles sont conduites manuellement sur quelques centaines de mètres à la sortie du faisceau du centre de maintenance. Puis les tests se font automatiquement une fois l’ensemble des installations validées.
Le Centre d’exploitation héberge aussi un outil essentiel pour l’exploitation de la ligne : le poste de commandement centralisé (PCC). Il est composé de 25 postes à partir desquels les opérateurs de RATP Dev pourront piloter à distance la circulation des trains, surveiller et réguler le trafic. Ils feront face à un immense mur d’images où pourront s’afficher le plan de la ligne ou des points en particulier grâce aux images de vidéosurveillance.
Derrière les trois rangées de tables occupées par les opérateurs, cinq postes supplémentaires seront installés dans différents box fermés permettant de gérer des incidents isolés, comme un départ d’incendie dans une gare, sans gêner les opérateurs dans la gestion des circulations. Enfin, une salle de crise est en cours d’installation à côté de la salle des opérations du PCC afin d’organiser des réunions en cas d’incidents.
Destiné d’abord à la 15 sud et à ses 27 trains, ce PCC pilotera aussi, à terme, la 15 est (75 km) et ses 110 trains.
RATP Dev a remporté, en groupement avec Alstom, et ComfortDelGro, la première délégation de service,

Ewa

La gare d’Angoulême se couvre de panneaux photovoltaïques

gare d'Angoulème

La gare d’Angoulême innove : avec 840 panneaux photovoltaïques installés sur le toit de sa grande halle voyageurs, le site veut devenir un modèle de développement durable.

Cette halle métallique, couvrant une surface de 3085 m2 est longue de 119 mètres,  large de 26, pour une hauteur de 11 mètres. Construite en 1886 par la Compagnie d’Orléans, elle n’avait pas été rénovée depuis plus de quarante ans. C’est dire l’état dans lequel elle se trouvait lorsque les travaux ont été entrepris en octobre 2024 par l’entreprise mandataire Baudin– Chateauneuf.

Un important échafaudage prenant racine sur les quais supporte, à sept mètres du sol au-dessus des caténaires,  un platelage où les ouvriers peuvent évoluer. Au fur et à mesure de l’avancement du chantier, une zone de confinement est installée pour le décapage des composants métalliques, opération préalable à la mise en peinture.

Pour Yannick Nicaud, responsable des travaux, « il s’agit d’un chantier tout à fait inédit en milieu ferroviaire. Il faut assurer la restauration tout en conciliant moderniet respect du patrimoine. »

Un lanterneau à double lame vitrée intégré à une couverture en zinc accueillera chaque panneau photovoltaïque. Les panneaux sont répartis sur plus de 2000 m2, soit les trois quarts de la surface totale de la toiture. Ainsi, cette installation venant en substitution d’une verrière feuilletée va permettre un allègement substantiel de l’ordre de 10 kilos par m2, soit un gain de 16 tonnes de matières.

Les panneaux installés représentent chacun 390 Kc soit une puissance totale de 327,6 KWc et couvriront 40 % des besoins en alimentation électrique de la gare.Par ailleurs, pendant les fortes chaleurs les voyageurs fréquentant la gare devraient bénéficier d’une baisse de la température de l’ordre de 4 degrés.

Les travaux prendront fin en mars 2026 pour accueillir les 6 000 voyageurs quotidiens. SNCF Gares & Connexions assure le financement total de l’opération, soit 17, 4 millions d’euros.

 

Ewa

Transdev renforce ses positions dans le Nevada

Transdev Las Vegas

Transdev étend son offre de services à Las Vegas. L’opérateur de transport public a annoncé le 30 avril avoir obtenu un nouveau contrat de transport adapté dénommé « paratransit » pour le compte de la Commission des transports régionaux du sud du Nevada (RTC).

La filiale de la Caisse des dépôt, qui va bientôt passer sous pavillon allemand, exploitait déjà, depuis juin 2023, le service de  bus de Las Vegas.

Cette activité nouvelle comprend plus de 400 véhicules et l’emploi de 857 collaborateurs, dont 704 conducteurs. « Transdev U.S. gère désormais dans le sud du Nevada une flotte de plus de 800 véhicules et une équipe de plus de 2 300 collaborateurs. Le contrat initial de cinq ans, valorisé à 579 millions de dollars, comprend des options pouvant prolonger l’accord jusqu’à quatre ans », précise un communiqué.

Selon Thierry Mallet, le PDG du groupe, également cité dans le communiqué, Transdev U.S. exploite désormais « l‘un des réseaux de transport les plus étendus du pays ». L’année dernière, l’activité américaine a atteint 2,7 milliards d’euros, soit 27 % du chiffre d’affaires global du groupe, qui se présente comme « le plus grand opérateur privé et intégrateur de mobilités aux États-Unis, comprenant les bus, le transport adapté, le ferroviaire, le transport médicalisé non urgent, la micro-mobilité, les navettes et les véhicules autonomes« .

Ewa

Grand Paris Express: Un nouveau dispositif pour renforcer la sécurité sur les chantiers

Grand Paris Express
Après cinq décès survenus entre 2020 et 2023 sur les chantiers du Grand Paris Express, la SGP cherche à renforcer les mesures de sécurité. Elle a signé le 28 avril un accord avec la Fédération régionale des travaux publics Île-de-France, le Syndicat parisien des travaux publics (SPTP), l’Union des métiers de la terre et de la mer (UMTM), le Syndicat des entrepreneurs des travaux de voies ferrées de France (SETVF), le Syndicat des entreprises de la transition énergétique et numérique (SERCE), la Fédération française du bâtiment (FFB) Grand Paris Île-de-France et Syntec-Ingénierie.

L’objectif est de sensibiliser 8 000 personnes par an, en priorité les nouveaux arrivants, grâce à des modules spécifiques pour les compagnons (une demi-journée), les encadrants (une journée) et les équipes de direction (une demi-journée). La SGP financera le dispositif, les fédérations professionnelles et les syndicats du BTP l’animera.
Un comité de pilotage réunissant les signataires sera organisé durant le mois de mai pour construire le programme et lancer les premiers modules dès janvier 2026.

Ewa

Coup d’envoi à l’extension de la grande vitesse ferroviaire au Maroc

grande vitesse ferroviaire au Maroc

Le roi du Maroc a donné le 24 avril le coup d’envoi des travaux d’extension de la ligne à grande vitesse devant relier, sur 430 km, Marrakech à Kénitra dans le nord ouest du pays. L’objectif est de la mettre en service à l’horizon 2030, à l’occasion du Mondial de foot co-organisé par le Maroc, l’Espagne et le Portugal.

Le projet doit permettre de desservir les deux villes en 2h40, soit avec un gain de temps de plus de deux heures. Il  est évalué à plus de 5 milliards d’euros. selon l’agence marocaine MAP

Un premier tronçon de ligne à grande vitesse s’étend déjà, depuis 2018,  entre Tanger au nord et Casablanca au nord ouest.