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Ewa

Les voyageurs d’affaires sont de retour selon la SNCF

IFTM Salon

Après un discours pessimiste, lié au recul des voyageurs d’affaires (ils représentaient 20 % du trafic mais 40 % du chiffre d’affaires avant la crise), place à l’optimisme ! A l’occasion du salon des professionnels du tourisme IFTM Top Résa, qui se tient à Paris du 5 au 8 octobre, Alain Krakovitch a voulu faire part de « quelques bonnes nouvelles ». Le directeur de Voyages SNCF estime que les professionnels sont de retour : 60 % reprennent le train depuis la rentrée, avec notamment des taux de croissance intéressants sur les lignes internationales des filiales Thalys, Lyria et même Eurostar, indique-t-il.

D’après un sondage réalisé auprès d’entreprises, 10 % des voyages d’affaires en train devraient être durablement remis en cause. La SNCF estime toutefois qu’elle retrouvera en 2023 le niveau de clientèle d’affaires de 2019. Et à la mi-2022 la clientèle loisirs. Des prévisions plus optimistes que celles qui prévalaient avant l’été. Reste que le business model n’est pas encore réglé, le prix moyen du billet devrait encore baisser à l’avenir, que ce soit du côté des voyages d’affaires ou du côté des loisirs en raison de la politique des petits prix et des réductions proposées.

Ainsi, parmi les nouveautés pour relancer le marché, un forfait annuel télétravail est proposé depuis le 1er septembre, permettant d’effectuer deux à trois allers-retours par semaine sur les TGV Inoui et les Intercités en France, du lundi au jeudi (250 voyages sur un an) à un tarif 40 % moins cher que l’abonnement annuel classique. Plus de 3 500 forfaits ont déjà été achetés, se félicite la SNCF.

La compagnie a aussi fait évoluer son offre Business Première sur la liaison Paris – Lyon sur laquelle devrait bientôt s’élancer la concurrence avec Thello. Nouveau « corner business » dans le salon de la gare de Paris – Lyon réservé aux grands voyageurs, accès express, offre de bienvenue à bord, contenu élargi sur le portail à bord ou encore livraison à la place des commandes de bar doivent convaincre les voyageurs qu’ils sont entre de bonnes mains. Un contrat « premium » est en préparation pour compléter l’offre existante, ainsi que des offres de remises plus importantes pour fidéliser les entreprises, à qui sera également proposé un accompagnement RSE avec, par exemple, le calcul individualisé de leur bilan carbone.

Marie-Hélène Poingt

Lire l’interview de Christophe Fanichet lors de notre Club VRT du 9 septembre 2021

Ewa

La Fnaut attribue des tickets rouges aux villes ayant opté pour la gratuité totale de leurs transports

© Arnaud Bouissou/MEDDE-MLETR
A Montpellier, apres la ligne 1 en 2000, puis la ligne 2 en 2006, les lignes 3 et 4 seront ont ete mises en service le 7 avril 2012.

La gratuité totale des transports publics ne passe vraiment pas auprès de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports. Lors de son congrès annuel qui s’est tenu du 1er au 3 octobre à Annecy, elle a décerné ses traditionnels « tickets rouges » aux villes françaises, petites et grandes, qui ont instauré la gratuité totale sur leur territoire.

Pour la Fédération, la gratuité est une fausse bonne idée pouvant conduire à la paupérisation du transport collectif. La gratuité des transports publics ne devrait donc concerner « que ceux qui en ont réellement besoin« , estime-t-elle. En ligne de mire, même si elle ne les cite pas nommément, les villes de Montpellier, Dunkerque ou Calais (35 communes en France sont concernées selon l’Observatoire des villes du transport gratuit).

Ainsi, Bologne a abonné la gratuité pour pouvoir investir, rappelle-t-elle. Et « l’agglomération de Lyon, qui continue à investir, détient un triple record (hors Ile-de-France) : les meilleurs transports publics, les tarifs les plus élevés, et la fréquentation la plus élevée (350 voyages par an et par habitant)« , poursuit la Fnaut.

Autre tendance très négative à ses yeux : « la mode du BHNS partiel, certes moins coûteux à court terme que le tramway, mais trois fois moins ambitieux en nombre potentiel de voyageurs et plus coûteux à long terme par voyageur transporté« . La Fédération estime aussi irrationnel le choix du BHNS pour desservir les zones périurbaines et rurales sur d’anciennes lignes ferroviaires comme c’est le cas pour Lyon-Trévoux ou Digne-Saint-Auban.

Toujours au chapitre négatif, elle attribue deux « amendes ferroviaires » : l’une à la Bourgogne-Franche-Comté pour « sa décision de privilégier le train à hydrogène, une solution plus coûteuse que l’électrification de la ligne Laroche-Migennes-Auxerre et qui implique le maintien d’une correspondance« ; l’autre amende va à la SNCF qui ferme ses guichets et ses petites gares « pour des raisons budgétaires et sans vision à moyen terme« .

Côté positif, la Fnaut a attribué ses tickets verts à trois études « bien argumentées »  et dont VRT s’est fait l’écho : deux études du Cerema, l’une sur le 80 km/h, l’autre sur les petites lignes ferroviaires, la troisième sur les coûts externes de la route.

Citons aussi le ticket vert Accessibilité décerné à l’agglomération du Grand Dax pour l’accessibilité de son réseau de bus; le ticket Vert Aménagement urbain attribué à la métropole de Nantes pour sa zone à trafic limité créé en 2012, « qui s’appuie sur les zones piétonnes riveraines et a considérablement facilité la circulation des transports publics »; le ticket vert Fret ferroviaire allant à la région Centre-Val de Loire pour ses efforts en faveur des lignes capillaires fret et le ticket Vert Autocar récompensant l’Occitanie et les Pyrénées Orientales pour ses nouvelles lignes de cars transfrontalières.

Enfin, la Fédération a donné des « coups de chapeau » à la SNCF pour la création d’abonnements liés au télétravail, à la région Paca pour la réouverture rapide de la ligne Breil-Tende endommagée par des intempéries, à la métropole de Strasbourg pour le transport à la demande la nuit dans la périphérie de deuxième couronne, et pour l’Occitanie pour ses engagements en faveur de la réouverture de petites lignes : Alès-Bessèges, Bayonne-Saint Jean Pied de Port; et rive droite du Rhône.

Ewa

Trois opérateurs dès décembre sur la grande vitesse espagnole

Frecciarossa 1000
Trenitalia
Perpignan Figueras
Espagne

Au service d’hiver devant démarrer le 11 décembre prochain, la grande vitesse espagnole comptera trois opérateurs, a confirmé Raquel Sánchez, ministre des Transports et de la mobilité le 1er octobre. Selon le plan de dessertes et les sillons 2021-2022 présentés par Adif (le gestionnaire des infrastructures ferroviaires), la ligne à grande vitesse (LAV) Madrid-Barcelone offrira un véritable « match à trois » (selon les termes de médias catalans) : après des tests réussis, Ilsa (Trenitialia) rejoint donc Renfe et Ouigo (Sncf) sur la relation la plus fréquentée du réseau ibérique.

Pour le service d’hiver, Ouigo doit également se lancer sur Madrid-Valence/Alicante (corridor du Levant). Un peu plus tard au cours de l’année 2022, Adif accueillera sur ces lignes Ilsa, en principe lors de la période de Pâques à la forte affluence en Espagne. Puis ce sera le tour de Madrid-Andalousie vers Séville et Málaga, avec les trois mêmes opérateurs.

Michel Garicoix

Ewa

Nouvelle appli SNCF : pas avant 2022

smartphone

Invité à s’exprimer devant la Fnaut, qui tenait du 1er au 3 octobre son 22e congrès à Annecy, Jean-Pierre Farandou a indiqué que la nouvelle appli SNCF espérée fin 2021 ne serait pas prête à temps. « On l’aura en 2022 », a précisé le PDG du groupe SNCF. Actuellement, l’appli compte 18 millions d’utilisateurs. « On en attend au moins 20 millions », a poursuivi Jean-Pierre Farandou. Cette audience lui donne de grands espoirs : être demain l’intermédiaire incontournable de toutes les mobilités. « Cette appli est peut-être l’ossature de cette fameuse appli centralisant tous les modes à laquelle on rêve tous », espère-t-il.

Ewa

RATP Dev se renforce en Auvergne-Rhône-Alpes et en Suisse

HelveCie RATP DEV suisse

RATP Dev a annoncé le 28 septembre avoir remporté, via des filiales, huit nouveaux contrats en Auvergne-Rhône-Alpes et en Suisse, portant sur trois lignes transfrontalières, deux contrats interurbains, deux contrats de transport scolaire ainsi que le renouvellement d’un réseau urbain.

Plus précisément, Alpbus exploitera, à partir de la mi-décembre, des lignes transfrontalières d’autocars de Haute-Savoie, pour le compte du Groupement Local de Coopération Transfrontalière des Transports Publics. Ces lignes seront intégrées à la politique commerciale des Transports Publics Genevois avec lesquels RATP Dev est associé via le réseau de transports en commun d’Annemasse et le Téléphérique du Salève.

Le Conseil Régional Auvergne-Rhône-Alpes a aussi confié à Alpbus deux nouveaux contrats prévoyant l’exploitation des lignes régulières et touristiques, l’un au départ de Moutiers pour desservir les stations de sport d’hiver de Val Thorens, Les Ménuires, Courchevel et Méribel, l’autre au départ d’Annecy, pour la Clusaz et le Grand Bornand « Une flotte supplémentaire de 80 véhicules neufs sera dédiée aux nouvelles activités dont 27 véhicules circulants au Gaz Naturel Véhicule (GNV)« , précise RATP Dev.

Sa filiale CTLB a de son côté vu renouveler, pour 7 ans, son contrat d’exploitation des lignes Ondéa. Enfin, la suisse de RATP Dev, HelvéCie,  a remporté deux contrats de transports scolaires dans les Cantons de Vaud et Fribourg depuis la rentrée de septembre 2021, grâce à une flotte de 52 véhicules.

Ewa

Keolis remporte deux contrats de transport interurbain dans les Alpes-Maritimes

Bus du réseau Keolis Alpes Maritimes

Keolis a annoncé fin septembre avoir gagné les contrats de délégation de service public pour l’exploitation de deux lots du réseau de transport public régional ZOU !, desservant le littoral des Alpes-Maritimes et le pays Grassois. Ces contrats qui doivent débuter le 1er janvier prochain et durer huit ans, devraient générer un chiffre d’affaires cumulé de près de 260 M€. Ils concernent l’exploitation et la maintenance d’une flotte de 120 bus et cars, desservant 17 lignes.

Parmi ces engagements, Keolis devra faire progresser de 30 % la fréquentation du réseau grâce à une augmentation de l’offre, une meilleure information voyageurs ou encore un renforcement de la complémentarité avec les TER. L’opérateur de transport public devra aussi convertir à l’électrique l’ensemble de la flotte d’ici juillet 2023. « Une première pour un réseau interurbain en France », souligne la filiale de la SNCF.

Ewa

Brice Bohuon, DGA France de Transdev, va devenir directeur général délégué de l’Ile-de-France

Brice Bohuon

Alors qu’une longue grève perturbe fortement des services de bus assurés par Transdev en Ile-de-France, Brice Bohuon, son directeur général adjoint France, s’apprête à quitter l’entreprise. Il sera remplacé par Pierre Talgorn, l’actuel directeur financier.

De son côté, Brice Bohuon va prendre le poste de directeur général délégué de l’Ile-de-France auprès de David Bonneau, le directeur général des services de la région. « Il l’accompagnera, en lien avec les directeurs adjoints, dans la conduite des projets structurants de la région », nous a indiqué le Conseil régional que nous avons contacté. Et ses missions n’auront aucun lien avec les transports franciliens, nous assure-t-on par ailleurs.

Son départ, qui est évoqué depuis cet été dans l’entreprise nous affirme-t-on en interne, n’aurait donc rien à voir avec le conflit sérieux qui agite depuis plusieurs semaines des dépôts de bus exploités par Transdev. Pour en sortir, la filiale de la Caisse des dépôts et de l’allemand Rethmann a demandé la médiation de l’inspection du travail. Plusieurs réunions ont déjà eu lieu. « Nous essayons d’avoir une formulation claire des enjeux avec un dialogue direct avec les conducteurs autour de l’organisation du travail », explique Transdev.

Rappelons que depuis début septembre, des conducteurs de plusieurs dépôts, dont ceux de Sénart et de Melun (en Seine-et-Marne), sont en grève protestant contre la nouvelle organisation du travail mise en place par Transdev. Ce sont des dépôts d’où partent les bus des lignes gagnées l’année dernière par Transdev dans le cadre de l’ouverture à la concurrence du réseau de bus en grande et moyenne couronnes parisiennes (lignes Optile), et auxquels d’autres sites se sont joints depuis.

M.-H. P.

Ewa

La SNCF et l’Occitanie signent un accord pour avancer sur le plan Rail

Carole Delga

Carole Delga, la présidente de l’Occitanie, également présidente de Régions de France, veut montrer son engagement pour le ferroviaire. « Nous nous inscrivons dans un partenariat de longue durée avec la SNCF » , a-t-elle indiqué en présentant le 28 septembre, en présence de dirigeants de la SNCF, les grands chantiers régionaux dans ce domaine. D’autant que la région engrange des résultats : « Nous sommes la seule région française à enregistrer une augmentation de la fréquentation des trains régionaux : durant l’été 2020, le trafic dans les TER a augmenté de 13 % par rapport à l’été précédent », a rappelé l’élue. Son objectif est de passer de 67 000 voyageurs quotidiens aujourd’hui à 100 000 d’ici 2030. « Je crois au service public ferroviaire », a-t-elle souligné. « Nous partageons les mêmes valeurs », a répondu Jean-Pierre Farandou.

D’où plusieurs grands chantiers lancés dans la région. Après avoir approuvé il y a près d’un an un nouveau plan Rail pour lequel l’Occitanie s’est engagée à financer 800 millions d’euros, la région a demandé à SNCF Réseau de s’impliquer localement en installant une équipe dédiée à la réalisation de son plan. Dans un premier temps, 20 agents seront dédiés à ce plan Rail puis 50 autres seront notamment affectés à l’ingénierie et à la conduite de projets, aux termes d’un accord qui vient d’être passé avec le gestionnaire des infrastructures.

La région demande à l’Etat, comme le lui permet la loi, le transfert de la gestion de deux petites lignes fermées à la circulation depuis quelques années qu’elle souhaite relancer après travaux : elle annonce qu’elle veut consacrer 67 millions pour rouvrir en 2023 la ligne Montréjeau – Luchon (36 km) fermée en 2012 et qui permettra de desservir les hautes vallées du Comminges. Et elle consacrera 66 millions pour relancer la liaison Alès – Bessèges (31 km) fermée depuis 2014, afin de relier de nouveau en 2024 les terres cévenoles. Enfin, parmi d’autres projets, l’Occitanie veut avancer par phases dans la réouverture de la rive droite du Rhône. Première étape, elle prévoit d’ouvrir l’année prochaine le tronçon Pont-Saint-Esprit – Avignon Centre avec cinq allers-retours quotidiens. A terme, l’objectif est de proposer huit allers-retours pour relier en 1 h 20 les 80 km qui séparent Pont-Saint-Esprit de Nîmes.

M.-H. P.

Ewa

Citroën imagine le véhicule urbain et autonome de demain

Urban Collectif, le projet de déplacement du futur de CITROËN

Comment se déplacera-t-on demain en ville ? Pour répondre à cette question, Citroën a laissé libre cours à son imagination et a présenté le 29 septembre Urban Collëctif, son concept de transport urbain.

« En 2050, 60 % de la population vivra dans en zone urbaine », rappelle Laurence Hansen, directrice du Produit et de la Stratégie de Citroën. Le constructeur a choisi de dissocier son véhicule en deux parties : la partie châssis-moteur, présentant la forme d’un skate (2,60 m de long, 1,60 m de large et 51 cm de haut), vient se fixer sous une deuxième partie, la carrosserie-habitacle (les pods).

Avec deux avantages : le Citroën Skate (capable de tourner sur son ère grâce ses roues-billes Goodyear) est interchangeable puisqu’il vient se glisser sous les pods pour les motoriser, et chaque pod est personnalisable en fonction des usages. « Lorsqu’on a soumis le projet à notre responsable du design et son équipe, ils en ont trouvé 63 usages en une journée ! », raconte Laurence Hansen.

Pour l’instant, le constructeur en a dévoilé trois : deux avec Accor et ses marques Sofitel et Pullman, et un avec JCDecaux. Le Pullman permettra de faire du sport tout en se déplaçant, et le Sofitel sera une sorte de lounge au standard de confort propre à l’hôtellerie. Le pod de JCDecaux se rapproche le plus d’un transport en commun, puisqu’il pourra transporter jusqu’à cinq personnes. Ils fonctionneront comme du trajet à la demande, réservables depuis un smartphone.

Au cours du trajet, le véhicule pourra s’arrêter pour embarquer d’autres passagers si leurs destinations sont proches ou si leurs trajets sont en partie identiques. Au cours du trajet, un grand écran affichant le trajet proposera des visites de musées, des expositions à proximité du parcours, voire des promotions dans des magasins.

Tout cela reste à définir plus précisément, au gré des entreprises intéressées, des collectivités. Car Urban Collëctif est avant un concept qui doit servir à faire émerger des idées. « Demain, de nouveaux usages seront possibles, comme un réseau de coiffeurs qui vous couperaient les cheveux pendant vos déplacements, ou une enseigne de bricolage qui exploiterait une flotte de pods pour rapporter vos achats chez vous », suggère Laurence Hansen. « On a imaginé le poids d’un pod entre 500 à 700 kg. Le skate lui fait 500 kg », précise-t-elle. Une masse qui s’explique surtout par l’emport de batteries.

Citroën imagine que ses véhicules, autonomes grâce à leurs capteurs embarqués et une recharge par induction en roulant ou sur des bornes, pourraient circuler sur les voies de bus, ou des voies dédiées, à 25 km/h maximum, selon des itinéraires programmés par des clients réguliers ou selon des demandes ponctuelles. L’entreprise affirme vouloir aujourd’hui interpeller, proposer une matière à réflexion. Avant, espère le constructeur, d’aller plus loin.

Yann Goubin

Ewa

Bientôt la fin des carnets de métro

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Ile-de-France Mobilités prépare la fin de la vente des carnets de métro, qui se fera progressivement entre octobre prochain et mars 2022. A ce moment-là plus aucune station et gare ne vendront le carnet papier. A place, la carte Navigo Esay d’un coût de 2 euros sera proposée et pourra être rechargée au prix de l’ancien carnet. La vente de tickets à l’unité sera en revanche toujours possible.

L’autorité organisatrice vise des économies tant financières qu’écologiques (550 millions de tickets sont émis chaque année).