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Nantes achète des rames de Tramway CAF

19 Oct 2010

Pays de la Loire , Nantes , CAF , Tramway , CAF , tramway

Tramway CAF Nantes

Mis à jour le 23 mai 2017

Après Besançon cet été, Nantes est la deuxième ville française à choisir le tramway du constructeur espagnol CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles). Elle lui passe commande d’« un complément de parc » de huit rames pour 22 millions d’euros, avec en option quatre rames au prix d’environ 10 millions d’euros supplémentaires. Alstom, Bombardier et Stadler avaient aussi répondu à l’appel d’offres européen. Nantes Métropole a expliqué avoir choisi les rames CAF pour des raisons de coût, de délais et de simplicité d’insertion dans le réseau existant. « Les prix obtenus auprès de CAF sont inférieurs mais ce ne sont pas pour autant des rames low-cost », précisent des sources convergentes à Nantes Métropole. Planchers bas, design revu, les tramways espagnols ressembleront aux rames Bombardier déjà en circulation à Nantes. « Dépourvus d’innovations techniques majeures, ils seront là avant tout pour garantir la continuité du service actuel. Ils ne représentent pas une troisième génération de tramway à Nantes », indique Nantes Métropole. Le parc nantais compte actuellement 46 rames Alstom, datant pour les premières de 1985, et de 33 rames Bombardier arrivées en 2000. « Pour cette commande d’appoint, nous avons choisi CAF, ce que nous n’aurions sans doute pas fait s’il s’était agi, comme ce sera le cas dans une dizaine d’années à peu près, de renouveler une grande partie de notre parc », explique Jean-François Retière, vice-président en charge des déplacements à Nantes Métropole.

Les rames CAF renforceront les moyens techniques sur la ligne 1. Elle est la plus fréquentée du réseau nantais, avec une moyenne de 111 700 voyageurs par jour l’an dernier. Elle sera allongée fin 2012. Les nouvelles rames concourront à assurer la fréquence de passage de 3 minutes sur son tronçon central, dans l’hypercentre de Nantes, en heure de pointe.
Le constructeur espagnol livrera donc les nouvelles rames dans le second semestre 2012. « Son offre était plus rassurante que les concurrentes parce que, maîtrisant lui-même la plus grande part de sa chaîne de production, CAF était plus en mesure de respecter les délais », explique-t-on à Nantes Métropole.

Par ailleurs, d’une capacité de 249 places – la demande de Nantes Métropole était de 240 places –, la rame CAF fait 37 m de long. Elle correspond aux capacités des ateliers de maintenance du réseau nantais. Elles ne demandaient aucun ajustement pour prendre place dans l’exploitation du réseau.

Même si dans son PDU 2010-2020, présenté le 18 octobre prochain, Nantes envisage de nouvelles lignes de transport en site propre, elle ne prévoit plus d’autre achat de tramways « au moins d’ici 2014 ». Jean-Marc Ayrault, son maire, l’avait annoncé au printemps 2009. La ville se concentre à rénover ses rames de première génération (Alstom) et à entretenir ses lignes. Une dépense en cours de 150 millions d’euros. Elle a adopté comme principale innovation de réseau l’aménagement de dix nouvelles lignes rapides jusqu’en son hypercentre, mais c’est du bus.

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