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Les affaires sérieuses devraient commencer… après l’adjudication de la LGV

06 Avr 2011

Grande vitesse

Mis à jour le 23 mai 2017

C’est le 11 avril que devraient être remises les offres pour la ligne à grande vitesse brésilienne Rio de Janeiro – São Paulo – Campinas. C’est le 11 avril que devraient être remises les offres pour la ligne à grande vitesse brésilienne Rio de Janeiro – São Paulo – Campinas. Le constructeur Talgo, cependant, a demandé un nouveau report de la date limite, le temps de boucler ses négociations avec les entreprises du BTP. Peu de temps avant la date limite, seul semblait prêt le consortium dans lesquels ont pris place les Coréens de Rotem. Même si le 11 avril est maintenu et que l’ouverture des enveloppes contenant la proposition commerciale reste fixée au 29 avril, ces rendez-vous marquent plutôt le début de négociations que sa conclusion. On parle de scénario Belo-Monte, du nom de la centrale géante hydroélectrique d’Amazonie réalisée à la suite de recompositions par un groupement qui n’a plus rien à voir avec celui à qui le marché avait été confié.

Dans ce contexte, selon nos informations, la SNCF en tant qu’exploitant et Alstom en tant que fournisseur pourraient tenter de vendre a posteriori leurs services au consortium qui sera désigné. Les deux groupes français n’ont pas très envie de monter en première ligne, sur un projet risqué, dont 80 % de l’investissement sera consenti par le BTP qui aura le droit de se retirer du projet au bout de cinq ans, l’exploitant, lui, devant assumer le risque commercial pendant 40 ans en n’ayant guère de pouvoir s’il se met en groupement. Les deux groupes français ne sont pas les seuls attentistes. Fin mars, les grands du BTP brésilien n’étaient pas encore sortis du bois. Les études qu’ils ont commandées montrent, dit-on, que, tout compris, le projet devrait coûter 20 à 25 % plus cher que les 33 milliards de reals (environ 14 milliards d’euros) estimés par le gouvernement. Cela sans tenir compte des risques inhérents aux incertitudes géologiques, qui pourraient amener à construire plus d’ouvrages d’art que prévu.

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