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Industrie ferroviaire : le chinois CSR a failli reprendre Translohr

23 Avr 2012

Alstom , industrie

Mis à jour le 23 mai 2017

D’après nos informations, jusqu’à ce que le FSI et Alstom se décident à faire une offre conjointe pour reprendre 85 % de Translohr, c’est le chinois CSR (China South Locomotive et Rolling Stock Corp. Ltd) qui était le mieux placé pour le rachat de la filiale de transports publics du groupe alsacien Lohr Industrie. D’après nos informations, jusqu’à ce que le FSI et Alstom se décident à faire une offre conjointe pour reprendre 85 % de Translohr, c’est le chinois CSR (China South Locomotive et Rolling Stock Corp. Ltd) qui était le mieux placé pour le rachat de la filiale de transports publics du groupe alsacien Lohr Industrie. « L’offre de l’autre société était largement supérieure », nous a indiqué la président-fondateur du groupe, Robert Lohr, sans nommer le constructeur chinois. « On m’a persuadé qu’il valait mieux travailler avec Alstom. Je ne vous dirai pas pour quelles raisons j’ai fait ce choix. Je n’ai pas subi de pression politique et ne crois pas qu’Alstom se soit fait tordre le bras non plus. Alstom estime que le Translohr est un véhicule qui peut lui apporter des marchés et qui élargit sa gamme de manière importante », a-t-il considéré. « Si nous avions opté pour l’autre option, Translohr serait devenu un concurrent important pour Alstom dans le domaine des tramways, mais également sur d’autres matériels », a estimé Robert Lohr. Depuis le début de l’année, CSR a indiqué vouloir essayer de progresser plus vite sur les marchés étrangers. Cité récemment par Bloomberg, son président, Zhao Xiaogang, a indiqué être « à la recherche d’entreprises qui pourront renforcer [sa] technologie. Les entreprises des pays développés connaissent des difficultés et sont prêtes à vendre leurs actifs ». Le groupe Lohr est en difficulté, certes, mais Robert Lohr indique que la revente de Translohr n’était pas la seule option : « J’avais également des propositions sur Lohr Industrie, mais elles impliquaient des licenciements massifs. Je n’ai pas souhaité licencier un personnel dévoué. »

G.L.

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