fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

La collision de Hal en Belgique soulève des questions sur la sécurité

18 Fév 2010

SNCB

Mis à jour le 15 juin 2017

Avec 18 morts, la collision ferroviaire du 15 février près de Hal (sud-ouest de Bruxelles) est la plus grave survenue sur le réseau belge depuis 1974. Une rame de trois automotrices bicaisses, dont le conducteur n’aurait pas respecté un signal fermé, a percuté un train de 12 voitures, entraînant d’importants dégâts matériels qui ont interrompu pour plusieurs jours tout le trafic ferroviaire entre Bruxelles et le Sud-Ouest de la Belgique, ainsi que les dessertes TGV, Thalys et Eurostar vers la France et l’Angleterre. Outre une grève des cheminots belges le 16 février, la collision de Hal a provoqué un début de polémique entre la SNCB et la Commission européenne, la première accusant la seconde d’être à l’origine du retard pris par l’installation du système TBL 1+ sur les voies ferrées et dans les trains belges. Ce système, qui freine les trains en cas de franchissement de signal fermé, doit en effet être compatible avec le standard européen ERTMS, dont la mise au point a été laborieuse. Reconnaissant que des améliorations ont dû être apportées « au niveau du software », la Commission européenne réfute toute responsabilité. Toujours est-il que sur le lieu de la collision l’infrastructure était équipée TBL 1+, mais pas la rame percutante.

sur le même thème

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat